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Nourard-le-Franc est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Nourardais et les Nourardaises.

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Nourard-le-Franc

L'église Saint-Vaast.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Sylvie Soudet
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60468
Démographie
Gentilé Nourardais, Nourardaises
Population
municipale
311 hab. (2019 )
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 58″ nord, 2° 22′ 29″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 176 m
Superficie 11,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Nourard-le-Franc
Géolocalisation sur la carte : France
Nourard-le-Franc
Géolocalisation sur la carte : Oise
Nourard-le-Franc
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Nourard-le-Franc

    Géographie



    Localisation


    Communes limitrophes de Nourard-le-Franc.
    Communes limitrophes de Nourard-le-Franc.

    Nourard-le-Franc est une commune située à 71 km au nord de Paris, 22 km à l'est de Beauvais, 34 km à l'ouest de Compiègne et à 44 km au sud d'Amiens[1].

    Elle est traversée par le méridien de Paris, matérialisé depuis l'an 2000 par la méridienne verte.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Nourard-le-Franc
    Bucamps Catillon-Fumechon
    Le Quesnel-Aubry
    Le Plessier-sur-Bulles
    Saint-Just-en-Chaussée
    Le Mesnil-sur-Bulles Valescourt

    Topographie et géologie


    La commune de Nourard-le-Franc est établie plateau picard, à l'origine de plusieurs vallées sèches (Vallée Collot, Fond du Bois, Vallée Saurette) orientées vers le sud-ouest. Le creusement du plateau par ces fonds a créé un dénivelé d'environ 70 mètres entre le point culminant du territoire au nord-est localisé à 179 mètres par une borne géodésique au bois de la Sablonnière, et le point le plus bas au sud, à 109 mètres dans le fond du bois à la limite avec Le Mesnil-sur-Bulles. Le village est situé entre 143 et 163 mètres d'altitude, la ferme de Busmaubert à 166 mètres, le bois de Mont à 164 mètres[2]. Nourard-le-Franc se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].


    Hydrographie et eau potable


    La commune de Nourard-le-Franc n'est traversée par aucun cours d'eau permanent. Les différents écoulements empruntant les vallées sèches et les talwegs s'orientent vers le bassin versant de la Brêche, sous affluent de la Seine par l'Oise.

    La commune est équipée de son propre château d'eau ainsi que d'une station de pompage hydraulique.

    À l'instar des villages de la région, le territoire conserve plusieurs mares, l'une dans le village à l'angle des rues de Beauvais et de la Belle levée, la seconde à la ferme de Busmaubert[2]. Les zones les plus basses du territoire sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].


    Voies de communications et transports


    Article détaillé : Route départementale 938.

    La commune est desservie par deux routes départementales, la D 94 et la D 938. La route départementale 938, ancienne RN 38reliant Beauvais à La Fère dans l'Aisne par Saint-Just-en-Chaussée est le principal axe routier transitant sur le territoire. Il traverse le village par les rues de Beauvais et Laurent. La route départementale 94, de Bresles à Mory-Montcrux du nord au sud coupe la D938 au niveau du cimetière communal. Une route communale rejoint également Le Quesnel-Aubry en passant par la ferme de Busmaubert[2].

    La gare SNCF la plus proche est celle de gare de Saint-Just-en-Chaussée à km à l'est, sur la ligne Paris-Amiens[1].

    En 2017, la commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par la ligne de transports interurbains 32 reliant Beauvais à Saint-Just-en-Chaussée ainsi que par une ligne de transport scolaire vers le collège de Saint-Just-en-Chaussée[5].

    En 2017, la commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6].

    Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village aux communes voisines de Catillon-Fumechon, Le Mesnil-sur-Bulles et du Plessier-sur-Bulles[7].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 19 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 56 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Le sentier de grande randonnée GR 124, de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune du nord au sud par la ferme de Busmaubert[2].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 722 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 19 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].


    Milieux naturels


    Hormis les espaces bâtis couvrant 27 hectares pour 2 % de la surface communale, le territoire comprend plus de 84 % d'espaces cultivés sur 960 hectares et 22 hectares de vergers et de prairies. La commune possède enfin 12 % d'espaces boisés sur plus de 137 hectares, composés par le bois de Mont et le bois des Pentes au sud, le bois de Busmaubert et le bois Ragon au nord-ouest ensemble auquel on peut ajouter un important bosquet au nord du village[21],[2].

    Le larris du bois de Mont, à l'extrémité occidentale de cet espace naturel constitue une zone Natura 2000 inscrite dans l'ensemble du réseau de coteaux crayeux du Beauvaisis[22]. L'ensemble de ce bois est également classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 [23] et forme un corridor écologique potentiel pour de nombreuses espèces animales[24].


    Hameaux et lieux-dits


    Hormis le chef-lieu, la ferme de Busmaubert à l'ouest demeure le seul écart habité sur la commune[2].


    Urbanisme



    Typologie


    Nourard-le-Franc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,3 %), forêts (9,2 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].


    Toponymie


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    Histoire


    Article détaillé : Chaussée Brunehaut.
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    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 29 à 84 communes.


    Intercommunalité


    La commune fait partie de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1989.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1957[33] après 1957 Louis Dumont    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 2014 Yves Marielle[34] UDF[35] Dessinateur à la DDE
    4 avril 2014[36] juillet 2014 Marie-Claude Kapela   Enseignante retraitée
    Démissionnaire[37]
    26 juillet 2014[38] En cours
    (au 21 mars 2018)
    Sylvie Soudet   Adjoint administratif à Cambronne-les-Clermont

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].

    En 2019, la commune comptait 311 habitants[Note 8], en diminution de 8,26 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    405415451445504513501520500
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    501484477422437353373367339
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    322332330290270223230260249
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    227217250242269326358363332
    2014 2019 - - - - - - -
    348311-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 164 femmes, soit un taux de 50,46 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90 ou +
    0,6 
    11,0 
    75-89 ans
    9,6 
    16,9 
    60-74 ans
    17,2 
    26,6 
    45-59 ans
    25,5 
    18,2 
    30-44 ans
    14,6 
    12,3 
    15-29 ans
    10,8 
    13,6 
    0-14 ans
    21,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Voir aussi


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 10 août 2017)..
    3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Nourard-le-Franc », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun à Nourard-le-Franc (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    6. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. « Navette de Regroupement Pédagogique Intercommunal », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    14. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Nourard-le-Franc et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Nourard-le-Franc et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Réseau de coteaux crayeux du bassin de l'Oise aval (Beauvaisis) », sur natura2000-picardie.fr (consulté le ).
    23. « Larris et bois de Mont, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    24. « Carte des corridors écologiques potentiels au Plessier-sur-Bulles », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. « Noces de diamant pour Evelyne et Gilbert Gossent », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3442, , p. 25 « C’est le 2 février 1957 à la mairie de Nourard-le-Franc que Louis Dumont (maire de l’époque) a unis pour le meilleur et pour le pire, selon la formule consacrée, Evelyne Sthal et Gilbert Gossent ».
    34. Armand Prin, « Y. Marielle est décédé le 16 mars « Je ne veux pas qu’on oublie mon mari » : L’ancien maire du village s’est éteint à l’âge de 72 ans. Son épouse lui rend un vibrant hommage. Elle en dévoile des facettes peu connues », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3490, , p. 16 « Yves Marielle a été un maire controversé. Son épouse ne cache pas : « Les polémiques qui ont existé à Nourard- le- Franc l’ont beaucoup fait souffrir. Car, s’il avait l’air d’un roc, c’était quelqu’un de très sensible. » Françoise Marielle défend un bilan très positif à la tête de Nourard- leFranc, bilan marqué par de nombreuses réalisations : « Il a quand même concrétisé 70 projets. Il a transformé le village avec la création d’une salle multifonctions, d’une bibliothèque, d’un terrain multisports, il a fait rénover l’école… Pour sa veuve, « Yves Marielle était un homme passionné et généreux. Il faisait beaucoup pour les habitants du village. Il a donné du travail à des gens… ll voulait le bonheur des habitants » ».
    35. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    36. « Marie-Claude Kapela à la tête du village », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 20 (ISSN 1144-5092).
    37. Armand Prin, « Nourard-le-Franc : Marie- Claude Kapela quitte également son siège », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3299, , p. 20.
    38. Céline Sol, « Sylvie Soudet, nouveau maire, souhaite réinstaller un climat serein : Après la démission de Marie-Claude Kapela, qui reste conseillère, les élus ont choisi samedi leur nouveau maire : Sylvie Soudet, par 10 voix « pour » et un vote blanc. », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3300, , p. 13.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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    На других языках


    [de] Nourard-le-Franc

    Nourard-le-Franc ist eine französische Gemeinde mit 311 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Oise in der Region Hauts-de-France (vor 2016: Picardie). Die Gemeinde ist Teil des Arrondissements Arrondissement Clermont und ist Teil des Kantons Saint-Just-en-Chaussée. Die Einwohner werden Nourardais genannt.

    [en] Nourard-le-Franc

    Nourard-le-Franc (French pronunciation: ​[nuʁaʁ lə fʁɑ̃]) is a commune in the Oise department in northern France.
    - [fr] Nourard-le-Franc



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