Neuville-sur-Oise est une petite commune du Val-d'Oise faisant partie de la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise.
Au nord, Neuville-sur-Oise forme avec Cergy la base de plein et de loisirs des étangs de Cergy-Neuville (étangs des Cayennes, des Galets, des Hautes Bornes et du Petit Bois ainsi que le petit mont Volvic).
À l’est, se trouvent le site de Neuville de l'université de Cergy-Pontoise, bordée par la voie rapide de la RD 203 qui relie Neuville rapidement à Conflans et Saint-Germain-en-Laye, ainsi que la gare de Neuville-Université du RER A, comportant une gare routière.
Un bus articulé en gare routière de Neuville Université.
Tout au sud, excentrée et près de Conflans-Sainte-Honorine, se trouve la station d’épuration des eaux de Cergy-Pontoise (site Fin d’Oise). La gare d'Éragny - Neuville, qui porte le nom de la commune, est située sur le territoire communal d'Éragny. À l'issue de l'enquête d'utilité publique de , le tracé envisagé de l'A104 ne passe plus sur le territoire de la commune.
La commune se trouve dans un méandre de l'Oise, affluent de la Seine. Son territoire est limité par la riviére au sud, et, pour une faible partie, au nord.
Urbanisme
Typologie
Neuville-sur-Oise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Le toponyme est une formation médiévale en -ville caractéristique du nord de la France (cf. Neuville). Le premier élément s'explique par le mot neuve- devenu neu par assimilation au -v- de -ville. Il signifie «nouvelle ferme ou maison», complété par le nom de la rivière qui borde la commune[réf.nécessaire].
Histoire
La présence de l'homme préhistorique sur la commune est attestée par les fouilles qui ont révélé plusieurs haches, lances et racloirs.
Neuville, comme domaine seigneurial puis comme hameau a toujours fait partie intégrante d'Éragny, jusqu'en 1868 époque de son érection en commune.
Neuville (Nova Villa, nouvelle maison de campagne) doit sa naissance comme hameau, au domaine et au château qui attira près de lui quelques journaliers.
Le premier seigneur connu de Neuville est Amaury de Neuville (Amaury II de Lies) (avant 1099). Celui-ci se fit moine et donna à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise la moitié du moulin de Rouxménil ainsi que sa maison de campagne à Crouy[12].
On sait qu'il existait un château construit avant le XVIesiècle, une chapelle y fut adjointe au siècle suivant. Il ne s'agit pas de l'actuel château de Neuville, qui date du XVIIIesiècle. L'ancien fut sans doute démoli ou transformé en ferme. Le château est habité par le comte Émile Cornudet des Chomettes, ancien député et pair de France, son second fils, Eugène-Joseph Cornudet, deviendra maire de Neuville, conseiller général du canton de Pontoise et député de Seine-et-Oise il donne alors son nom à la rue principale de Neuville.
Le un orage de grêle dévaste la paroisse.
Neuville-sur-Oise, jusqu'alors un simple hameau d'Eragny, est érigé en commune autonome en 1869[13]
Après la création de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, la population a peu augmenté jusque dans les années 2000. Une base de loisirs a été construite dans les anciennes sablières et gravières, où l'eau s'infiltrait (d'où les étangs de Neuville)[14]. Elle est maintenant une des plus fréquentées d'Île-de-France. La ville accueille aussi depuis 1994 la gare de Neuville-Université depuis l'extension de la ligne A du RER jusqu'à Cergy-le-Haut.
Politique et administration
La mairie.
Rattachements administratifs et électoraux
La commune est créée en 1868 par détachement d'une partie du territoire d'Eragny[15]
Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1868 à 1976 du canton de Pontoise de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise, année où elle est rattachée au canton de Cergy. En 1985 un nouveau découpage intervient et la commune intègre le canton de l'Hautil[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[17],[18].
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Cergy-2
Articles détaillés: Liste des cantons du Val-d'Oise, Conseil départemental du Val-d'Oise et Liste des conseillers généraux du Val-d'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives du Val-d'Oise et Liste des députés du Val-d'Oise.
Intercommunalité
La commune se trouve dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, aménagée à partir de 1970 par un syndicat communautaire d'aménagement (SCA), puis, en 1984, par un syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) créé en 1984.
L'aménagement de la ville nouvelle étant achevée, celui-ci se transforme en 2004 en communauté d'agglomération, qui a pris la dénomination de communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise et dont Neuville-sur-Oise est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections municipales de , la liste conduite par Gilles Le Cam a battu de 2 voix, avec 45,03 % des suffrages exprimés et 376 voix, celles du maire sortant, Jacques Feyte, avec 44,79 %, soit 374 voix, la troisième liste de Michel Pierson obtenant 10,18 % et 85 voix[19].
À la suite d'un recours formé par Jacques Feyte qui se plaignait d'une distribution de tracts après la fin de la campagne électorale, le tribunal administratif a annulé le scrutin, et la commune a été gérée par une délégation spéciale de juillet à [20]. Le scrutin du a vu la victoire de la liste de Gilles Le Cam avec 489 voix, devançant à nouveau Jacques Feyte (DVD), qui a obtenu 347 voix[21].
Lors des élections municipales de 2020[22] , la liste menée par le maire sortant Gilles Le Cam obtient la majorité absolue des suffrages exprimés dès le premier tour, avec 55,41% des voix, face à celle menée par Frédéric Pain (44,59%) lors d'un scrutin marqué par 45,61% d'abstention[23].
Retraité de la SNCF Vice-président de la CA de Cergy-Pontoise (2014 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[23]
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2019, la commune comptait 2 043 habitants[Note 3], en augmentation de 1,49% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
443
656
427
457
450
442
404
458
408
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
371
379
381
356
392
495
708
905
858
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
2019
-
885
1 036
1 433
1 478
1 560
1 588
2 022
2 043
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
L'île de loisirs de Cergy-Pontoise occupe une surface de 250 hectares dont 150 en plans d'eau, au centre de la boucle de l'Oise à Cergy et Neuville-sur-Oise. Elle permet la pratique de nombreux sports et loisirs, planche à voile, baignade, tennis, badminton, parcours de mini-golf... tout comme la simple promenade. Un stade d'eau vive et un téléski nautique permettent la pratique du rafting, kayak, wakeboard et autres sports de glisse. Trois parcours de golfs sont situés à Vauréal, Jouy-le-Moutier et Saint-Ouen-l'Aumône.
En 1975 voit le jour le club de football de l'Association sportive de Neuville-sur-Oise (ASNO) dont le stade est basé chemin des Dagnaudes[29]. Le président fondateur est Claude Pomares[30]. Le club joue en jaune et noir rayé[30]
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Neuville-sur-Oise.Pavillon d'Amour.Colombier du château.
Neuville-sur-Oise compte un monument historique sur son territoire:
Château de Neuville, rue Joseph-Cornudet (parc et pavillon Amour avec balustrade et soubassement inscrits monument historique par arrêté du [31]): La seigneurie de Neuville appartenait autrefois à la famille Delies de Pontoise, descendants des Valois[Note 4]. Le château actuel est construit vers 1642/1654 pour Charles de La Grange, baron de Conflans, maître des comptes à Paris, conseiller au Parlement de Paris et seigneur de Neuville, père d'Anne de La Grange-Trianon. Il habite jusque-là un modeste hôtel seigneurial.
Lorsqu'il achète la baronnie de Conflans-Sainte-Honorine à son cousin le prince de Condé, il acquiert en même temps le titre de baron et souhaite pour lui une demeure plus prestigieuse. Ce nouveau château, de style classique, se compose de deux longues ailes à un étage se faisant face, reliées entre elles par un corps central sans étage, au toit sous forme de terrasse délimité par des balustrades. Le parc est aménagé à la façon d'André Le Nôtre[32].
Le château deviendra en 1775 la résidence du comte de Mercy d’Argenteau, ambassadeur de l’empereur d’Autriche auprès de la reine Marie Antoinette. Finalement il sera acheté par la famille des comtes Cornudet des Chomettes en 1822. Il sera alors totalement restauré et deviendra, surtout en raison de ses propriétaires, un centre politique. En 1960 il devient la propriété de Bertrand de La Poeze d’Harambure maire de Neuville-sur-Oise. À la suite des expropriations successives il le vend à l’Établissement public de la Ville Nouvelle de Cergy-Pontoise en 1981. Il fera alors l’objet d’une longue période d'abandon pour finalement être réhabilité en logements à partir de 2012[33].
Le pavillon d'Amour à proximité du pont de l'Oise, aujourd'hui situé en dehors du domaine du château, ne date que du XVIIIesiècle. La seigneurie appartient alors au marquis de Castellane, qui, en date du , la vend au comte de Mercy-Argenteau. Ce dernier fait restaurer le château sous la direction de l’architecte Firmin Perlin, qui pourrait en même temps être le concepteur du pavillon. De plan octogonal, le pavillon contient un petit salon de jardin, ouvert sur le parc par quatre portes-fenêtres surmontées d'un petit fronton. Les façades d'un aspect sévère sont uniquement ornées de bossages. Une coupole couverte d’ardoise coiffe le petit édifice. À l’intérieur, le plafond était peint d'un ciel[32]. Aujourd’hui ce pavillon d’Amour fait partie de la place du village, terrain de plus de 5 000 m2, qui a d’abord été mis à disposition puis donné en 1960 à la municipalité par Bertrand de La Poeze d’Harambure, alors propriétaire du château et maire de Neuville-sur-Oise depuis 1959.
On peut également signaler:
Colombier du château, rue Joseph-Cornudet: Ce colombier cylindrique à un étage et coiffé d'un toit en poivrière se remarque par sa construction soignée. La façade est consolidée par de nombreux chaînages en pierre de taille, et l'appareil est constitué de moellons de forme très régulière. L'étage est éclairé par plusieurs demi-lunes. Le colombier se situe au centre de la ferme du château, se composant d'une basse-cour et de deux corps de ferme, avec une bergerie, une étable, des écuries, des granges et des greniers[32].
Église Saint-Joseph, rue Joseph-Cornudet: Neuville dépendait de la paroisse de Conflans jusqu'à la construction de cette église d'un style éclectique historisant en 1863. Financée grâce à une souscription auprès des habitants, elle est élevée sur un terrain mis à disposition par le comte Cornudet, prélevé sur le parc du château. Les plans sont de l'architecte Élie Tremblay. D'orientation nord-ouest - sud-est, l'édifice se compose d'une large nef de quatre travées et d'un chœur de deux travées, au chevet polygonal. Ce dernier n'est éclairé que par un unique oculus. Les fenêtres de la nef sont plein cintre, tout comme par ailleurs le portail, cantonné de deux colonnes d'inspiration néo-byzantine et surmonté par un gable, suivi plus haut par un second gable plus petit servant de cadre à l'horloge. Le pignon s'achève par un clocheton purement décoratif, cachant un petit clocher en charpente qui abrite la cloche. L'ensemble des 480 habitants que compte le village en 1863 pouvaient trouver place à l'intérieur[32].
Pont de Neuville:
Jusqu'en 1839, la liaison entre Jouy-le-Moutier et Neuville s'effectue par bac. Cette année là un pont suspendu, à voie unique et à péage est bâti.
Durant la guerre franco-prussienne, le 15 septembre 1870, le pont est détruit afin de contrarier l’envahisseur dans l'investissement de Paris. Le , le pont, la circulation et le péage sont rétablis. Le le péage du pont de Neuville est racheté par la commune.
En 1934, le pont suspendu étant devenu vétuste et dangereux, le Conseil général de Seine-et-Oise décide de le remplacer par un pont fixe. Le le pont, en béton armé, est inauguré sous le nom de «pont Cornudet». Durant la campagne de France, le les troupes françaises font sauter le pont. La traversée de l'Oise s'effectue alors par barques. Après la Libération, en , les communes de Jouy-le-Moutier et de Neuville réclament l'établissement d'un bac, qui est refusé.
Le un pont Bailey de 120 mètres de long est mis en service. En 1970, la vétusté de cette passerelle oblige sa fermeture totale. En 1972, le projet d'un nouveau pont qui serait mis en service en 1974 est acté. Il est inauguré par Michel Poniatowski le
[réf.nécessaire]
.
Personnalités liées à la commune
Florimond de Mercy-Argenteau (1727-1794), diplomate, dernier seigneur de Neuville de 1775 à la Révolution.
Honoré Cornudet des Chaumettes (1861-1938), député et sénateur, propriétaire du château
Seigneurs de Neuville
Vers 1210, Raoul de Conflans,
Antoine de Neuville qui vendit ses droits en
En 1314, la terre appartient à Jean de Neuville
En 1343 à Michel Ababos fils de Anceuil Ababos, prévôt, maire de Pontoise.
En 1381 au connétable Charles de Montmorency baron de Conflans puis en 1399 à Jacques de Montmorency.
En 1460 la seigneurie de Neuville passe dans les mains de Nicolas Thude, bourgeois de Pontoise,
puis à Thibaut Thude qui revient à sa mort à
Etienne Guibert époux de Nicole Thude fille de Thibaut.
En 1509 Claude Guibert, fils des précédents possède la seigneurie
En 1538, elle passe à Jean Guibert puis à sa mort à
Etienne Guibert, son frère, avocat au parlement de Paris, notaire et secrétaire du roi
Philippotte Guibert
En 1591, Neuville est détenue conjointement par les tantes de Philippotte Guibert
Louis Guibert, veuve de Louis de la Grange de Tryanon (près de Luzarches), en son vivant greffier au bailliage de Sens et seigneur d'Ermenonville en Beauce
Antoinette Guibert, veuve de Jacques de Fontenay
Marie Guibert épouse de Michel de Pommereuil de la Bretèche
1637, Sébastien de la Grange aumônier du roi, chanoine de la Sainte-Chapelle du Palais à Paris, abbé de Saint-Acheul près d'Amiens, décédé à Issy près de Paris en .
1637-1654: Charles de la Grange, frère du précédent qui acheta le la baronnie de Conflans-Sainte-Honorine pour 54 000 livres.
1654-1690: Louis de Buade Frontenac, comte de Palluau époux de Anne de la Grange fille du précédent.
1690-1752: Marie-Françoise de la Grange, sœur consanguine de la précédente qui épousa Jean-Jacques Charon de Ménars
1752-: Marie Thérèse Charon de Ménars, fille des précédent qui en fit don à
Marie-Charlotte Louise de Ménars, sa nièce, fille de Jean-Baptiste Charon de Ménars, dame d'honneur de Madame Sophie fille de Louis XV.
-1775: Esprit François Henry marquis de Castellane, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, capitaine lieutenant des gendarmes anglais, gouverneur de la ville et du château de Blois qui vend la baronnie de Conflans et la terre de Neuville à
1775-1791: Florimond de Mercy-Argenteau ambassadeur d'Autriche en France qui la revend en
1791-: Piquefeu de Bermont, un armateur du Havre qui en devient maire.
Héraldique
Les armes de Neuville-sur-Oise se blasonnent ainsi: Parti de sinople et d'azur, au Pavillon d'Amour d'argent brochant sur le tout, surmonté en chef à senestre de huit ellipses du même passées en croix et en sautoir
Voir aussi
Bibliographie
F. Fouque, «Histoire de Neuville-sur-Oise», Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie A. Pâris, vol.41, , p.28-50 (ISSN1148-8107, lire en ligne)
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Le chartrier du château de Neuville fait l´objet d´un contrat de dépôt privé entre la famille La Poeze d´Harambure et les archives départementales du Val d´Oise et d´un répertoire numérique sous la série 6J par Yvette Coudene et Geneviève Daufresne, Cergy-Pontoise, 1994.
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus étampois.
[archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta520266b7d5255/daogrp/0#id:1820592691?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1433.257,-968.091&zoom=9&rotation=0.000&lock=true Monographie de Neuville]
Julie Ménard, «Neuville-sur-Oise souffle ses 150 bougies: Hameau d’Eragny, Neuville a pris son indépendance en 1869. Retour sur ce siècle et demi d’histoire», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Jean Aubert, La Grande Histoire du Val-d'Oise, Edijac, , 319p. (ISBN9782904675171), p.127.
Jérôme Cavaretta, «Gilles Le Cam pour deux voix: Gilles Le Cam a été élu pour deux voix maire de Neuville-sur-Oise. Jacques Feyte a déposé un recours», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Jérôme Cavaretta, «L’ex-maire d’Épiais-Rhus à la tête de la ville: Une délégation spéciale installée par le préfet jusqu'aux élections municipales des 25 septembre et 5 octobre», La gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne).
«Neuville-sur-Oise: Gilles Le Cam (DVD) élu maire», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Julie Ménard, «Municipales à Neuville-sur-Oise: le maire attaqué par un duo: Face au maire sortant qui brigue un second mandat, une liste se constitue portée par un binôme: l’un pour la mairie, l’autre pour la communauté d’agglomération», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Gilles Le Cam, maire (DVD) de Neuville-sur-Oise, siège au conseil municipal depuis 2008. Élu aux manettes de la ville en 2014, il briguera un second mandat de maire lors des prochaines élections municipales (...) Si Gilles Le Cam avait gagné en 2014 face à Jacques Feyte, resté maire pendant 25 ans, deux des proches de ce dernier présentent également une liste. Michelle Fouque-Duval et Frédéric Pain (DVD), tous deux conseillers municipaux depuis 2008, se lancent dans la campagne électorale en duo: lui, tête de liste, brigue la vice-présidence de l'agglomération, elle le poste de maire.».
Jérôme Cavaretta, «Municipales 2020. Neuville-sur-Oise. Gilles Le Cam haut la main: Le maire (dvd) sortant s'impose sans peur avec 55,40% des voix», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Véronique Daver et Hautem Bali, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Neuville-sur-Oise», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic éditions, vol.I, , p.369-371 (ISBN2-84234-056-6).
Des seigneurs de Neuville à Epinomis. La renaissance du château de Neuville-sur-Oise. Chambors. (ISBN2-9517929-1-3).
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