Courdimanche est une commune française située dans le département du Val-d'Oise, en région Île-de-France.
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Courdimanche
Le château d'eau visible à plusieurs kilomètres à la ronde.
La ville se trouve à 30 km au Nord-Ouest de Paris (Notre Dame) dans le département du Val-d’Oise. Son emplacement géographique offre une attractivité de par sa proximité de la capitale et son accessibilité pour tout type de transports.
Ses habitants sont appelés les Courdimanchois.
Géographie
La partie la plus ancienne du village est située sur une colline. Courdimanche est visible de loin grâce à son château d'eau. La partie la plus récente est située en contrebas et dispose d'un golf. Jouxtant Cergy-le-Haut, Courdimanche dispose du RER de la gare de Cergy-le-Haut à quelques minutes. Depuis le début des années 2000, la ville connait une explosion démographique due à une urbanisation plus tardive que celle des communes environnantes.
Courdimanche compte 5 quartiers:
Le village, quartier historique
Le quartier des Croizettes, réunit les résidences sociales et le quartier pavillonnaire
Le quartier de la Louvière, centre de la Ville
Le quartier du Golf, zone pavillonnaire
ZAC du Bois d’Aton, nouveau quartier écologique
Localisation
Appartenant à l’agglomération de Cergy-Pontoise, comptant treize communes, Courdimanche est située à la limite du parc naturel régional du Vexin français. La ville est limitrophe avec Menucourt, Cergy, Vauréal, Boisemont et Puiseux-Pontoise.
Située à la sortie 13 et à environ 40 km de Paris, Courdimanche bénéficie de l'autoroute A15 et de la RN 14 qui devient la RD 14 et continue vers Magny-en-Vexin et Rouen, en voie rapide à deux fois deux voies sur une grande partie de son parcours francilien.
Depuis le 21 mars 2009, Courdimanche est doté d'un système de vélopartage appelé VélO2 qui permet une liaison avec l'ensemble de Cergy-Pontoise.
Transports en commun
On accède à Courdimanche, qui se situe en zone 5, par la RER A, à la station terminus de Cergy-le-Haut.
Les trains du RER A circulent toutes les 10 min du lundi au vendredi et toutes les 20 min le week-end[1].
Le schéma directeur du RER A[2] prévoit un renforcement de la fonction de terminus sur le territoire de Courdimanche.
Les transports urbains sont assurés par le réseau de bus STIVO, le réseau de l'agglomération de Cergy-Pontoise, dont 2 lignes régulières desservent Courdimanche[3].
Climat
Contrairement à Courdimanche sur Essonne, Courdimanche ne dispose pas de station météo sur son territoire, la station météo la plus proche étant sur la commune voisine de Boissy-l'Aillerie (ID: 95078001)
Urbanisme
Typologie
Courdimanche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Cordomange en 1248, Curai dominica en 1249[12], Curia dominica en 1337.
Le nom de la commune provient du bas latin curtis dominica, «le domaine du seigneur», «la demeure du maître».
Histoire
La découverte d'outils sur le site permet d'affirmer que Courdimanche était habité au néolithique[13],[14].
À l'époque gauloise l'oppidum de Courdimanche aurait été un centre religieux où les druides perpétraient des sacrifices[15],[16].
Les Romains construisent sur cette colline un temple dédié à Apollon à partir duquel on pouvait communiquer avec deux autres montagnes sacrificielles; le mont Mercure (Montmartre) à l'est et le mont Jupiter (Montjavoult) à l'ouest[14],[16].
En 2009, lors des travaux pour la création de la gendarmerie, les archéologues ont découvert des traces d'un habitat gallo-romain[17],[18].
Par la suite, les moines de l'abbaye Saint-Martin de Pontoise, fondent une chapelle, puis une église, sous le vocable Saint-Martin[14].
Au début du Moyen Âge, le territoire est divisé entre les seigneurs de Courdimanche, vassaux des comtes de Meulan, l'abbaye Saint-Martin de Pontoise et l'abbaye Notre-Dame du Bec qui sera propriétaire de l’église et du village jusqu’à la Révolution[13].
En 1160, Courdimanche appartient aux seigneurs Mauvoisin, barons de Rosny[19]. par le mariage de Raoul IV Mauvoisin avec Agnès d'Aulnay, veuve de Guillaume III de Garlande[20]. La seigneurie passe, en 1217, aux mains de Guy III Mauvoisin et en 1248 à Guy IV Mauvoisin.
Au cours du XIIesiècle, Courdimanche est fortifiée afin de protéger le village des incursions des barbares.
Au XIIIesiècle l'abbaye Saint-Martin de Pontoise créée au Hazay, au lieudit «les friches aux malades», une léproserie[21],[22].
Durant la guerre de Cent Ans, le village subit plusieurs assauts et est pris par les Anglais, une première fois en 1429 et une seconde en 1433[23], ou les godons prennent, pillent et brulent Courdimanche, Lieux et Puiseux.
De 1482 à 1709, la seigneurie dépend de la famille de l'Isle[24]qui est également seigneur de Boisemont. Elle est ensuite achetée par Jean-Baptiste Dufour de Villeneuve, chevalier, conseiller du roi, maître des requêtes en son hôtel, intendant de justice, police et finances du Berry[25],[26]
Circulant en voiture le 27 août 1944, après la libération de Paris, Claire Girard et deux FFI, dont Raymond Berrivin, sont arrêtés au pont de Cergy par une patrouille allemande qui les emmène à Courdimanche. Après un simulacre de procès, les 3 jeunes gens sont condamnés à mort pour terrorisme. L'un d'eux parviendra à s'échapper mais Claire Girard et Raymond Berrivin seront abattus par balles dans le dos[27],[28].
C'est à Courdimanche que se situe l'ancien parc d'attractions Mirapolis, en fonction de 1987 à 1991, qui était dominé par la statue Gargantua détruite en 1995.
Politique et administration
La mairie.
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1793 à 1976 du canton de Pontoise de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise, année où elle est rattachée au canton de Cergy. En 1985 un nouveau découpage intervient et la commune intègre le canton de l'Hautil[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[31],[32].
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vauréal
Articles détaillés: Liste des cantons du Val-d'Oise, Conseil départemental du Val-d'Oise et Liste des conseillers généraux du Val-d'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription du Val-d'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives du Val-d'Oise et Liste des députés du Val-d'Oise.
Intercommunalité
La commune se trouve dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, aménagée à partir de 1970 par un syndicat communautaire d'aménagement (SCA), puis, en 1984, par un syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) créé en 1984.
L'aménagement de la ville nouvelle étant achevée, celui-ci se transforme en 2004 en communauté d'agglomération, qui a pris la dénomination de Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise et dont Saint-Ouen-l'Aumône est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Pour les échéances électorales de 2007 Courdimanche faisait partie des 82 communes[33] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter.
La nouvelle municipalité, élue en mars 2008, a décidé de revenir au vote «papier»[34] dès les élections européennes du 7 juin 2009.
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours:
Élection présidentielle de 2002: Jacques Chirac (RPR) 87,22%, Jean-Marie Le Pen (FN) 12,78%[35].
Élection présidentielle de 2007: Nicolas Sarkozy (UMP) 52,42%, Ségolène Royal (PS) 47,58%[36].
Élection présidentielle de 2012: François Hollande (PS) 54,00%, Nicolas Sarkozy (UMP) 46,00%[37]
Élection présidentielle de 2017: Emmanuel Macron (LREM) 77,31%, Marine Le Pen (FN) 22,69%[38].
Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours:
Élections législatives de 2002: Axel Poniatowski (UMP) 56,58%, Dominique Gillot (PS) 43,42%[39].
Élections législatives de 2007: Axel Poniatowski (UMP) 56,11%, Dominique Lefebvre (PS) 43,79%[40].
Élections législatives de 2017: Aurélien Taché (LREM) 64,85%, Katia Noin Ledanois (LFI) 35,15%[42]
Référendums
Référendum français sur le traité de Maastricht de 1992: Oui 57,33%, Non 42,67%[43]
Référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe de 2005: Oui 58,37%, Non 41,63%[44]
Élections régionales
Résultats des deuxièmes tours:
Élections régionales de 2004: Jean-Paul Huchon (Union de la gauche) 50,21%, Jean-François Copé (Union de la droite) 41,38%, Marine Le Pen (FN) 8,41%[45].
Élections régionales de 2010: Jean-Paul Huchon (Union de la gauche) 62,79%, Valérie Pécresse (Union de la droite) 37,21%[46].
Élections régionales de 2015: Claude Bartolone (Union de la gauche) 47,92%, Valérie Pécresse (Union de la droite) 37,33%, Wallerand de Saint-Just (FN) 14,75%[47].
Élections cantonales puis départementales
Résultats des deuxièmes tours:
Élections cantonales de 2008: Jackie Breton (DVG) 65,31%, Louis Pene (UMP) 34,69%[48]
Élections cantonales de 2011:
Élections départementales de 2015: Sylvie Couchot - Jean-Pierre Muller (PS) 71,49%, Denise Cornet - Thomas Le Breton (FN) 28,51%[49].
Fonctionnaire Conseillère régionale (2010 → 2021) Vice-présidente de la CA de Cergy-Pontoise (2008 → ),[59]
2026
Sophie Matharan
Adjointe à la coéducation et à la petite enfance et ancienne directrice d'école Vice-présidente de la CA de Cergy-Pontoise (2022 → )
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[61].
En 2019, la commune comptait 6 709 habitants[Note 3], en augmentation de 1,5% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
328
329
381
431
430
428
432
450
436
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
453
427
452
451
434
503
440
458
414
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
398
389
382
367
401
408
365
343
350
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
560
663
725
775
1 537
5 895
6 428
6 581
6 610
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
6 650
6 709
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin
L'église Saint-Martin est l'unique monument historique du Val-d'Oise[63], cette église dédiée à saint Martin est située rue Claire-Girard et sur la place Claire-Girard. Fondée pendant la seconde moitié du XIIesiècle, l'édifice est endommagé pendant la guerre de Cent Ans, en 1429, et une seconde fois quelques années plus tard, puis reconstruit partiellement au XVIIeouXVIIIesiècle. C'est une petite église villageoise rustique, d'un style gothique primitif réduit à sa plus simple expression, avec des baies en plein cintre, un clocher central en bâtière gardant des vestiges d'une corniche à modillons sculptés en masques, avec deux baies abat-son par face, sans colonnettes ni cordons.
De plan cruciforme, l'église se compose d'une nef non voûtée de trois travées accompagnée d'un seul et étroit bas-côté au nord; d'un transept dont le croisillon sud est incomplet; d'un chœur carré d'une travée au chevet plat; et d'une chapelle latérale au nord. Le transept se termine par un pignon au nord et au sud. Exception faite des contreforts du clocher et des chaînages d'angle, tout le bâtiment est construit en moellons noyés dans le mortier; les façades de la nef étant entièrement recouvertes d'enduit. L'on note l'absence de contreforts pour tous les composants de l'église hormis du clocher, la faible hauteur des murs ne les ayant pas rendu nécessaires. L'entrée se situe sous un porche devant la façade occidentale.
À l'intérieur, le transept, le chœur et la chapelle sont voûtées d'ogives dans le style gothique, mais les arcades autour de la croisée du transept sont en partie en plein cintre, en partie en tiers-point. Des chapiteaux ne restent que des vestiges, sauf à l'entrée du croisillon sud. La plupart des nervures des voûtes, des arcs-doubleaux et des formerets retombent sur des faisceaux de colonnettes. La chapelle latérale ne communique pas avec le croisillon du transept adjacent et est entièrement dépourvue de fenêtres[64],[65]. Le clocher contient une cloche particulièrement ancienne, nommée Marie et fondue en 1554 par Lemaître. Elle est classée monument historique au titre objet[66]. Deux nouvelles cloches, nommées Claire et Apolline, sont installées en 1992.
L'église Saint-Martin
Autres éléments du patrimoine
Escaliers de l'église: l'église étant construite sur un promontoire naturel, ayant sans doute servi de poste d'observation et ayant déjà accueilli un temple voué au culte d'Apollon selon la légende, l'on ne peut y accéder que par des escaliers. L'un est situé au sud, à côté de la mairie; l'autre est situé à l'ouest et part de la place du village[65].
Mare Saint-Martin, chemin de la Mare-Saint-Martin: cette mare pavée au sud du village est un aménagement communal du XIXesiècle, servant d'abreuvoir au bétail et de pédiluve aux chevaux. Les mares de ce type ont également été utilisées pour le trempage du chanvre[65].
Lavoir dit la mare Bicourt, au bout d'une courte impasse en herbe partant de la rue Vieille-Saint-Martin: ce lavoir depuis longtemps abandonné est devenu méconnaissable. Envahi par la végétation, il attend une potentielle réhabilitation.
Le village conserve cinq fermes datant pour la plupart du XVIIIesiècle, dont deux sont encore en exploitation. Les bâtiments s'organisent autour de cours rectangulaires et ne présentent que des murs aveugles sur la rue. Plusieurs fermes possèdent des portails avec des arcs plein cintre[65].
Vues du vieux village de Courdimanche
Abreuvoir communal de la mare Saint-Martin.
Abreuvoir communal de la mare Saint-Martin.
Petite pierre levée, rue Vieille Saint-Martin.
Ferme Cavan située aux angles des rues du Vexin et Charles-Cavan.
Rue Fleury.
Rue Fleury.
Rue Vieille Saint-Martin.
Rue de Puiseux.
Vue sur les nouveaux quartiers de Courdimanche.
Personnalités liées à la commune
Le chanteur Carlos a habité à Courdimanche et s'est présenté aux élections municipales de 1989[67],[68].
André Bouchet, acteur de Passe-partout de Fort Boyard, vit actuellement[Quand?] à Courdimanche[réf.nécessaire].
Jean-Germain Surbled (1746-1811), ancien vicaire constitutionnel en provenance de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris où il est présent le , venant de l'église Saint-Gilles de Bourg-la-Reine, il sera ensuite nommé curé de Guernes, avant de terminer en 1810 à la cure de Courdimanche (canton de Pontoise) où il meurt le . Il était né le [69]
Le chanteur Thomas Boissy est originaire de Courdimanche[réf.nécessaire].
Héraldique
Les armes de Courdimanche se blasonnent ainsi: «De gueules au chevron d'argent accompagné d'un mont d'or mouvant de la pointe, au chef aussi d'or chargé d'une fleur de lys cousue d'argent.»
Courdimanche au cinéma et à la télévision
Article détaillé: Liste de films tournés à Courdimanche.
Voir aussi
Bibliographie
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Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Eric Bureau, «On se bouscule pour succéder au maire», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Robert Marseille a présidé jeudi dernier son 137e et dernier conseil municipal. Après «deux ans de réflexion» et avec «quelques regrets», le maire (DVD) de Courdimanche a décidé de ne pas participer aux municipales».
Éric Bureau, «La surprenante démission du maire», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne)«L'UMP Alain Lahaye, élu en 2001 à la tête de cette commune de 6 200 habitants après avoir travaillé pendant six ans aux côtés de l'ancien maire, Robert Marseille, a transmis la semaine dernière sa démission au préfet et annoncé sa décision à son équipe et au personnel municipal».
«Monique Hervé suppléante d'Axel Poniatowski», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Le maire de L'Isle-Adam a révélé le nom de sa suppléante, hier matin, à Vauréal, en présence de l'intéressée, qui occupe les postes de première adjointe au maire de Courdimanche et de vice-présidente du SAN de Cergy-Pontoise depuis les municipales de l'an dernier».
«Elvira Jaouën (PS) officiellement candidate à Courdimanche», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Jérôme Cavaretta, «Municipales 2020. Courdimanche: Elvira Jaouën, sans rival(e): La maire (dvg) de Courdimanche (Val-d'Oise) briguera un troisième mandat en mars 2020. Avec la certitude d'être réélue puisque personne n'a osé lui disputer la victoire.», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Élue pour la première fois maire de Courdimanche (Val-d’Oise)en 2008 aux dépens de Monique Hervé (Ump), réélue en 2014 face à Antoine Vandaele (Ump), Elvira Jaouën se présentera en mars prochain devant les électeurs avec la certitude de l’emporter. Et pour cause, la maire (dvg, ex-Ps) de Courdimanche sera seule en lice».
Jérôme Cavaretta, «Courdimanche. Elvira Jaouën rendra son écharpe de maire en octobre: Un secret de polichinelle. Elvira Jaouën, la maire (dvg) de Courdimanche, n'ira pas au bout de son mandat. Elle transmettra le flambeau à Sophie Matharan à la rentrée», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Réélue dès le premier tour lors des dernières municipales sans liste concurrente face à elle, la femme de gauche, ancienne membre du PS, passera la main le 1er octobre prochain, transmettant son écharpe de maire à Sophie Matharan, 60 ans, adjointe à la coéducation et à la petite enfance et ancienne directrice d'école».
Inscrite aux monuments historiques par arrêté du , Notice noPA00080038, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français: Courdimanche, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344p. (ISBN2-905684-23-2), p.109-110.
Véronique Daver et Hautem Bali, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Courdimanche», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol.I, , p.362-364 (ISBN2-84234-056-6).
«Cloche», notice noPM95000210, base Palissy, ministère français de la Culture.
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