Puiseux-Pontoise est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Puiseux.
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Puiseux-Pontoise fait partie de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, dont elle est la commune la moins peuplée. Elle se situe à environ 30km au nord-ouest de Paris.
Elle est desservie par l'autoroute A15 et l'ancienne route nationale 14 (actuelle RD 14).
La commune est limitée au nord par les marais de Boissy-l'Aillerie et la vallée de la Viosne, un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.
Urbanisme
Typologie
Puiseux-Pontoise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6],[7].
Toponymie
Le nom de Puiseux-Pontoise provient du latin puteolum, puits[réf.nécessaire].
Histoire
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Des outils en silex du néolithique ont été découverts aux lieudits Le Bas de Boissy et Les Sables du Planite, ainsi qu'un silo et un fossé remontant à la fin du Hallstatt final ou à La Tène ancienne, et les vestiges d'une ferme gauloise de La Tène finale ont été découverts au sud de la ZAC de la Chaussée Puiseux. Des fosses du début de l'Antiquité ont également été relevées, démontrant ainsi une occupation humaine très ancienne[8].
Situé sur la chaussée Jules-César, voie romaine de Lutèce à Lillebonne (près du Havre), une petite agglomération se développe, sa population servant probablement de relais, avec quelques fermes. Des fondations gallo-romaines ont été notées dans le Bois Angot. vers Courdimanche, et, au lieudit Le Champ-Tibout, des prospecteurs ont ramassé de la céramique datée du IerauIVesiècle[8].
La tradition locale évoque un prieuré au croisement de la chaussée Jules-César et de l'ancien chemin de Meulan à Beauvais, au lieudit Saint-Léger, emplacement qui dépendait jusqu'en 1969 de Boissy-l'Aillerie[8].
Vers 1100, Ite, femme de Foulques de Chaudry, et Guibert de Saint-Denis donnent les dîmes de Puiseux aux bénédictins de l'Abbaye Saint-Martin de Pontoise, qui nommait le curé de l'église et exploitaient la grande ferme de la Seaule, sur le territoire actuel d'Osny. Le site de la maladrerie Sainte-Appoline se trouve, lui, sur Cergy[8].
Pendant la guerre de Cent Ans, en 1433, les godons prennent pillent et brûlent Puiseux, Courdimanche et Vauréal.
Le «petit château» se dressait à l'ouest de la rue de l'Église et était relié par une galerie au «château moderne» dont la façade principale donnait sur une esplanade qui, au-delà de la route royale, se prolongeait par une allée d'arbres jusqu'au bois du Hazay. Le vaste parc aux allées en étoile s'étendait vers Boissy. Les communs longeaient la sente de la Dîme, remplacée en 1803 par la rue Neuve[8].
La ferme seigneuriale avec son pigeonnier circulaire se dressait au sud de l'église. En 1819, Charles Théophile Thomassin, régisseur du domaine depuis 1765, en devient propriétaire et démolit le château. Ses descendants occupent la ferme au pigeonnier carré qui donne sur la Grande-Rue[8].
Sous l'Ancien Régime, le village est rattaché au diocèse de Paris, parlement et intendance de Paris, élection et grenier à sel de Pontoise.
L'ancienne distillerie en 2015.
Le un orage causa de gros dégâts à Neuville, et dévasta Jouy-le-Moutier, Vauréal, Boisemont, Courdimanche, Osny, Cergy, Puiseux-Pontoise, et Pontoise.
Son activité reste essentiellement agricole, et ce jusqu'au XIXesiècle. Une petite activité industrielle s'y développe alors: une distillerie d'alcool de betterave est construite en 1913 face à l'écart du Point-du-Jour situé sur l'ancienne route royale reliant Paris à Rouen, et qui n'a disparu que récemment[8], et une importante briqueterie, reconvertie de nos jours en fabrique de matériaux de construction.
Au début de la Première Guerre mondiale, en 1914 une batterie de DCA était installée à Puiseux.
L'évolution radicale de la commune intervient durant les années 1960: en effet, le village est intégré à la ville nouvelle en construction de Cergy-Pontoise. Le village et ses deux hameaux (la Briqueterie et la Jardinerie) ont été pris dans la dynamique de la ville nouvelle essentiellement à la fin des années 1980. Les terres agricoles ont en majorité disparu, la population n'est plus totalement rurale, des équipements publics ont surgi de terre. Les grands travaux entrepris dès cette époque (réfection totale du réseau d'eau potable et d'assainissement, enfouissement des lignes électriques et téléphoniques, lancement des programmes de lotissements) ont permis de transformer «en douceur» la commune, qui reste un village tout en bénéficiant des équipements destinés à la population: un stade, une nouvelle école de trois classes, une mairie agrandie avec sa salle du conseil, une salle des fêtes.
Cette transformation de la commune s'est faite avec le concours du SAN pour la construction des équipements, et avec celui de l'EPA pour implanter quelques activités économiques et leurs emplois correspondants; les activités nouvelles sont aujourd'hui partagées entre les activités industrielles, commerciales, de services et artisanales, créant ainsi un bon équilibre. Cette profonde mutation du village s'est faite avec la coopération d'une large majorité de la population, qui reste attachée aux racines de la commune tout en vivant bien son intégration dans l'agglomération de Cergy-Pontoise.
Politique et administration
Cergy-Pontoise dans le département du Val-d'Oise.
Le territoire communal, qui s'étendait sur 590ha a été réduit à 389ha en 1969, agrandissant ceux de Cergy et d'Osny. Inversement, la commune a alors gagné 80ha prélevés sur Boissy-l'Aillerie, au nord de la Chaussée Jules César[8]
Rattachements administratifs et électoraux
Jusqu’à la loi du [9], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-d'Oise et son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif le .
La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Pontoise. Celui-ci est scindé en 1976 et la Puiseux-Pontoise est rattaché au nouveau canton d'Osny. Une nouvelle modification intervient en 1985 et la commune intègre le canton de Cergy-Nord. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Cergy-1.
La commune fait partie du ressort du tribunal judiciaire ainsi que de commerce de Pontoise[10],[11].
Intercommunalité
La commune fait partie de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, gérée par la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise.
Maraîcher[15] Fils du précédent Réélu pour le mandat 2020-2026[16],[17]
Articles connexes: Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République.
Équipements et services publics
Culture
L’ancienne distillerie d’alcool de betterave a été cédée en 2018 par la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise à Éric Vialatel, patron des résidences sociales intergénérationnelles les Maisons de Marianne et du Festival du Regard, qui la réhabilite afin d'y aménager une galerie d’art baptisée Marianne Art Gallery de rayonnement international consacré à la culture et à la production sur le thème des arts visuels et graphiques (photographie, peinture, sculpture…)[18].
Autres équipements
Le centre de production florale de la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, qui, en 2018, produit 170 000 plantes par an, est implanté à Puiseux-Pontoise, sur un site de 6ha qui comprend 2 000 m2 de cultures sous serres[19],[20].
La commune accueille également le cimetière de la ille nouvelle.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2019, la commune comptait 583 habitants[Note 3], en augmentation de 43,6% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
198
188
210
173
146
135
138
142
155
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
162
187
171
182
189
190
223
240
244
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
278
270
277
253
265
323
310
224
341
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
307
366
330
282
175
422
471
474
410
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
603
583
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Zone d'activité de la cour de l'église.
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La commune dispose d'une zone d'activité, où un entrepôt de 52 243 m2 est construit en 2018 pour la société Panhard pour accueillir une entreprise de logistique[25].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Puiseux-Pontoise compte deux monuments historiques sur son territoire:
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue de l'Église (inscrite monument historique en 1966[26]): Sa fondation est antérieure au XIIesiècle, et sa nef d'origine, très simple est basse, a subsisté jusqu'en 1895. Grâce à la générosité de la famille Thomassin, elle a été substituée à une nef néo-gothique avec bas-côtés et chapelles, qui a été bénite en 1898. Au moins son vaisseau central imite bien le style gothique en vigueur pendant la première moitié du règne de saint Louis, qui est celui du transept des années 1230. Ses croisillons étaient d'emblée conçus pour se raccorder à des bas-côtés, mais ne communiquaient avec la nef que par des passages provisoires. En s'ouvrant largement sur le transept, la construction néo-gothique met enfin en valeur les parties anciennes de l'église, et forme avec eux un espace presque homogène. Sans toucher aux colonnettes à chapiteaux anciennes, la croisée du transept et le croisillon nord ont été revoûtés à la période flamboyante, au début du XVIesiècle, et les délicats réseaux des fenêtres des croisillons datent de cette époque, ainsi que le clocher en bâtière qui s'élève au-dessus de la croisée du transept.
Son style est assez insipide comparé à la plupart des autres clochers du Vexin français. La partie la plus ancienne de l'église est le petit chœur rectangulaire au chevet plat. Extrêmement austère à l'extérieur, il se distingue néanmoins par une belle petite voûte à six branches d'ogives des années 1190 / 1210, qui constitue une curiosité archéologique: ce type de voûte est habituellement réservé aux grandes églises[27].
Article détaillé: Église Saint-Pierre de Puiseux-Pontoise.
Croix de cimetière (classée monument historique en 1938[28]): Seuls le grand socle carré et la base du fût remontent au XIIIesiècle. À en juger d'après cette base, le fût actuel remplace certainement une colonnette à chapiteau assez mince. Il a été refait au XVIIe ou XVIIIesiècle, ainsi que la croix[29].
Église Saint-Pierre.
Le chœur et l'autel de l'église.
Croix de cimetière.
Personnalités liées à la commune
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Vers 1069, Raoul de Cergy fait don à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise d'une terre située près de la chaussée romaine entre Puiseux et Pontoise[30].
Vers 1100, Ite femme de Foulques de Chaudry[31] donne à l'abbaye Saint-Martin de Pontoise ses droits sur l'église et la dîme de Puiseux, du consentement de ses enfants Gauthier, Hugues, Gervais et de sa fille Livie[32],[30].
Vers 1240, Richard de Puiseux est cité dans les comptes de construction de l'abbaye de Maubuisson à Saint-Ouen-l'Aumône. Il tenait plusieurs biens en fief du châtelain de Gournay. La famille de L'Isle détenait une autre partie de la seigneurie grâce au mariage de Pierre (mort en 1272) avec Eustachie de Puiseux. Leur fille Marie est abbesse de l'abbaye de Saint-Paul-lès-Beauvais entre 1279 et 1294[8].
Détail du monument funéraisre des familles Berthelot de Baye et de Girardin.
En 1545, Barthélemy de L'Isle rendait aveu à Louis de Silly, conseiller et chambellan du roi, seigneur de La Roche-Guyon, pour la «maison, cour, colombier à pied, jardin, granges, cave, étables» situé au sud de l'église où s'élevait jadis le «château qui fut à Messire Adam de L'Isle, chevalier». Ce même seigneur revendique la ferme de la Seaule et, à la suite de l'accord passé avec les religieux de Saint-Martin, un pieu est planté près de l'exploitation sur lequel on lisait: «je suis borne poteau par justice le treizième jour d'octobre Mil VCLXII [1562] faisant le devis et separacion du terrover et dismage de Puyseulx alencontre du terrover et dismage d'Osny. La dite dîsme dudict Puyseulx apartenant ... deux pars à l'abbaye Saint-Martin de Ponthoise... tiers à noble seigneur Barthélemy de Lisle escuyer, seigneur du dict Puyseulx». Jusqu'à la fin du XVIIesiècle, la famille de L'Isle tint aussi les seigneuries d'Andrésy (Yvelines), Boisemont et Courdimanche[8].
Pierre François Ogier d'Ivry (1665-1735), grand audiencier de France et seigneur d'Hénonville, Ivry-le-Temple et Orly, lègue à la paroisse 600 livres de rente annuelle avec une maison, cour et jardin. René Hatte († 1759), écuyer, conseiller du roi et fermier général, achète le domaine en 1737. À sa mort, une de ses filles, épouse de Louis Alexandre de Girardin (mort en 1782), marquis de Vauvray, conseiller du roi, ancien maître des requêtes, en hérite[8].
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
«Puiseux-Pontoise, de la ferme à l’agglo: De génération en génération, les Thomassin ont presque toujours présidé aux destinées de Puiseux-Pontoise», Cergy, ma ville - Le magazine de la ville de Cergy, no117, , p.14 (lire en ligne[PDF]).
Élie Julien, «Jean Thomassin, maire de Puiseux-Pontoise pendant 30 ans, est décédé», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne)«Jean Thomassin était «un amoureux de la vie locale, il a participé à la création de la ville nouvelle, il voulait rendre service aux habitants», continue son fils. «Être maire, dans la famille, ce n’est pas un choix mais une fonction. Il est resté mon conseiller municipal et élu de l’agglomération jusqu’en 2007. »Né le 10 juin 1928, deuxième d’une fratrie de quatre, Jean Thomassin était malade depuis plusieurs années. Ce paysan était connu des habitants de l’agglomération pour avoir lancé, en 1976, le premier champ de fraises en cueillette libre».
Caroline Braud, «Redécouvrez la cueillette des fraises», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Jérôme Cavaretta, «Municipales 2020. Puiseux-Pontoise: Thierry Thomassin vers un dernier mandat: Les quinze sièges ont été pourvus dès le premier tour. Candidat à sa succession, Thierry Thomassin devrait à nouveau être élu maire lors du prochain conseil municipal», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le )«Élu pour la première fois en mars 2001 à la suite de son père Jean-Gérard, l’agriculteur de profession va entamer son quatrième mandat».
Jérôme Cavaretta, «Puiseux-Pontoise: la reconversion de l'ancienne distillerie est actée: L'ancienne distillerie de Puiseux-Pontoise (Val-d'Oise) sera reconvertie en galerie dédiée aux arts visuels et graphiques», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Jérôme Cavaretta, «Puiseux-Pontoise: le centre horticole se visite: Une visite du centre horticole est organisée le samedi 19 mai de 9h30 à 11h», La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Marie Persidat, «Dans les espaces verts de Cergy-Pontoise, les plantes sont 100% locales: L’agglomération a fait le choix de développer sa propre production végétale plutôt que d’avoir recours à de grands groupes. C’est l’une des rares collectivités à avoir sa propre serre», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Julie Ménard, «Puiseux-Pontoise: l’entrepôt géant décrié par les écologistes est en construction: L’ensemble logistique de 52 243 m2 de la société Panhard, qui faisait déjà polémique en 2015, va finalement bien voir le jour à l’été 2019», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Louis Régnier, Excursions archéologiques dans le Vexin français, première série: Puiseux, Évreux, Imprimerie de l'Eure, , 278p. (lire en ligne), p.185-194.
«Croix de cimetière», notice noPA00080179, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Régnier 1922, op. cit., p. 194-195.
[archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta520266b830f5d/daogrp/0#id:1547252722?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1751.450,-2071.389&zoom=11&rotation=0.000 Monographie de Puiseux-Pontoise]
ouvrage collectif dirigé par Monique Wabont, Franck Abert et Didier Vermeersch, Carte archéologique de la Gaule: le Val-d‘Oise, 95, Paris, Maison des sciences de l'homme, 2006, p. 265.
abbé Jean Lebeuf, Histoire de la ville et du diocèse de Paris, Paris, Prault père, 1755.
Ouvrage collectif, Le Patrimoine des communes du Val-d'Oise, Flohic Éditions, 1999, volume 1, p. 377-383 (collection Le Patrimoine des communes de France).
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