Rosny-sur-Seine [ʁonisyʁsɛn][1] est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France, juste à l'ouest de Mantes-la-Jolie, les deux communes étant limitrophes.
Cette petite ville, située dans une boucle de la Seine, est pour l'histoire le pays de Sully. La commune est jumelée avec Lustadt (Allemagne) depuis avril 1981.
Ses habitants sont appelés les Rosnéens.
Géographie
Localisation
Carte de la commune.
La commune de Rosny-sur-Seine se trouve dans le nord-ouest des Yvelines à environ soixante kilomètres à l'ouest de Paris, dans la vallée de la Seine, sur la rive gauche du fleuve, dans la plaine alluviale qui se resserre avant la concavité du méandre de Guernes.
Le territoire de la commune englobe également sur le plateau la forêt de Rosny (point culminant à 144 m)
La commune est bordée par la Seine et est arrosé par le ru de Bléry.
Communications
L'autoroute de Normandie (A13) la traverse entièrement sans la desservir directement. Une aire de services y est implantée dans la traversée de la commune.
La commune se voit aussi desservir par le réseau de bus du Mantois (ex-Tam en Yvelines), due au fait que cette dernière appartient à la Communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (maintenant la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise depuis le 1er janvier 2016).
Urbanisme
Typologie
Rosny-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Rosny-sur-Seine, une unité urbaine monocommunale[6] de 6 433 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Tissu urbain discontinu
11,3%
217
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques
5,4%
104
Réseaux routier et ferroviaire et espaces associés
La commune de Rosny-sur-Seine est composée de 6 principaux secteurs:
Le Centre-Ville.
Les Baronnes, quartier pavillonnaire à l'Ouest de la ville.
La Justice, à l'Est, qui contient les nouveaux HLM Régine Pernoud, la Rue de la Haie Robert, etc.
Le Quartier de la Gare, avec le quartier HLM Maria Montessori.
Le Quartier Henri IV, quartier HLM et pavillonnaire chevauchant le quartier des Baronnes.
La Zone Industrielle.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Rodoniacum en 1204[12], Rooniacum en 1162, Roni en 1248, Roniacum en 1249, Rodonium vers 1320[13].
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise (-acon) marquant le lieu, puis la propriété. Le premier élément Rosn- représente le nom de personne gaulois Rutenus, variante Rutenius de type ethnique (voir Rutènes, Rodez)[14]. Il a pour homonyme les nombreux Rognac, Rosnay, Rogny, etc.[14].
Remarque: On attendrait *Ruteniacum > *Rodeniacum, pas Rodoniacum. Le s de Rosny n'est pas étymologique, il sert a indiquer la fermeture et l'allongement de la voyelle o. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il ne doit pas être prononcé.
Histoire
Des fouilles effectuées dans le parc de Rosny ont mis au jour des médailles et pièces de monnaie à l'effigie de Constantin, Valérien, Gallien Philippe II, Antonin le Pieux, Aurélien et Probus ainsi qu'une nécropole des périodes gallo-romaine et carolingienne de 145 sarcophages sur l'emplacement de l'ancienne église.
En 848, une ordonnance de Charles le Chauve nomme l'église paroissiale de Rosny au nombre des possessions qui dépendaient de l'abbaye de Fontenelle[15].
Au Moyen Âge, Rosny était le chef-lieu d'une puissante seigneurie avec un centre judiciaire très important ou résidaient des baillis, procureurs, huissiers, notaires...
Le seigneur avait droit de haute, moyenne et de basse justice. Il pouvait statuer sur toutes les causes, juger tous les crimes commis sur l'ensemble de son domaine et condamner à la peine de mort et on pouvait apercevoir les potences de la plaine environnante.
Dans son histoire généalogique de la maison de Béthune, André Du Chesne s'exprime ainsi sur Rosny:
«Rosny est une ancienne et célèbre seigneurie tenue du Roy, à cause de sa comté de Mantes. Elle a été possédée premièrement par des seigneurs qui portaient le surnom de Mauvoisin. Mais les filles de leur Maison prenaient ordinairement celuy de Rosny. Entre lesquels Ide de Rosny fut mariée avec Jean III comte de Dreux, seigneur de Montpensier, prince de sang royal. Le dernier de ces seigneurs fut Guy V Mauvoisin fils de Guy IV Mauvoisin et de Laure de Ponthieu (également appelée Laure d'Aumale), fille de Jean de Ponthieu comte d'Aumale qui estait petit-fils de Jeanne de Dammartin, comtesse de Ponthieu reine de Castille et de Léon et petite fille elle même de Louis VII roy de France».
Le 1er seigneur de Rosny, en 1070, fut Raoul Ier Mauvoisin dit le Barbu qui avec les seigneurs de Jouy, de Septeuil et autres chevaliers de Mantes, aide Philippe Ier, roi de France à repousser Guillaume le Conquérant duc de Normandie. Il fait construire un château médiéval[16].
Afin d'éviter le morcellement de la propriété seigneuriale, Guy IV Mauvoisin et ses enfants firent une convention par laquelle l'ainé hériterait de la totalité des biens et ferait une rente annuelle à chacun de ses frères et sœurs.
Au XVIesiècle, Rosny, propriété des Melun, passe, par mariage[17], à la maison de Béthune: où naquit Sully, ministre d'Henri IV, en 1559; ce dernier, conseiller du roi Henri IV, qui fut aussi surintendant des finances, fit construire le château actuel.
On a donné aux ormeaux que fit planter Sully, marquis de Rosny, en bordure des routes, le nom de rosny ou rosne[18], «Sully fit entourer d’ormes les cimetières des campagnes et ces ormes plus tard furent appelés de son nom des rosnys par la reconnaissance du peuple»[19].
Le 14 mars 1590, après la bataille d'Ivry, le roi de France Henri IV se rend au château de Rosny où il fait un souper en public et, rompant avec l'étiquette, il admit à l'honneur de sa table les généraux qui avaient combattu à ses côtés.
En mars 1814, après le retour de Napoléon, le château de Rosny fut incendié.
1824: ouverture de l'hospice Saint-Charles, construit par la duchesse de Berry.
1843: inauguration de la gare par la Compagnie du chemin de fer de Paris au Havre.
1943: création de l'école d'agriculture Sully dans les locaux de l'hospice Saint-Charles (école transférée à Magnanville en 1968).
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, la commune appartient à la huitième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale
Chef-lieu du canton de Rosny-sur-Seine de 1793 à 1801, elle intègre de 1801 à 1976 le canton de Mantes-la-Jolie. En 1976, est créé le canton de Mantes-la-Ville, où elle est rattachée[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre à nouveau le canton de Mantes-la-Jolie, dont la composition est modifiée.
L'ancienne communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines
La commune adhérait depuis 1999 à la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY), qui a succédé au district urbain de Mantes.
Afin d'équilibrer les rapports avec la métropole du Grand Paris, La Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) impose la création en Île-de-France de territoires d'au moins 200 000 habitants.
Dans ce cadre, la CAMY fusionne avec d'autres intercommunalités pour former, le , la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Yvelines.
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En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[36]:
total des produits de fonctionnement: 4 721 000 €, soit 844 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 5 022 000 €, soit 898 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 2 477 000 €, soit 443 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 2 931 000 €, soit 524 € par habitant.
endettement: 7 866 000 €, soit 1 406 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 13,36%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 14,22%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 63,52%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Jumelage
1981: jumelage avec Lustadt (Rhénanie-Palatinat, Allemagne).
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2019, la commune comptait 6 883 habitants[Note 3], en augmentation de 19,37% par rapport à 2013 (Yvelines: +2,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
656
589
571
584
710
682
674
714
661
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
706
703
721
708
675
667
791
745
833
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
911
829
946
937
993
1 067
1 036
1 189
1 343
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
1 560
2 796
3 541
3 932
4 606
4 758
4 901
5 043
5 454
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
5 842
6 883
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,5%, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2% la même année, alors qu'il est de 21,7% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 221 hommes pour 3 437 femmes, soit un taux de 51,62% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,6
5,1
75-89 ans
7,4
13,4
60-74 ans
13,4
19,8
45-59 ans
19,3
19,7
30-44 ans
19,6
17,5
15-29 ans
17,4
24,0
0-14 ans
22,3
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[41]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,3
5,7
75-89 ans
7,7
13,4
60-74 ans
14,5
20,6
45-59 ans
20,3
19,8
30-44 ans
19,9
18,4
15-29 ans
17
21,5
0-14 ans
19,4
Sports
Le club sportif municipal de Rosny-sur-Seine (CSMR) compte, en 2011, de nombreuses sections dont athlétisme, badminton, boxe française, cyclotourisme, duathlon, handball, judo-jujitsu, football, gymnastique volontaire, karaté, naginata, randonnée pédestre, tennis, tennis de table, volley-ball, yoga[42].
Économie
La commune dispose[Quand?] de différents services tels que les pharmacies, les coiffeurs, la poste, les restaurants, les dentistes, médecins, ainsi que divers artisans. De plus il y a la présence d'une zone d'activité sur la commune comprenant diverses entreprises. L'arrivée prochaine[C'est-à-dire?] de l'extension du centre-ville avec une dizaine de commerces, un supermarché (super u) et des logements permettra de compléter l'offre déjà existante aux Rosnéens.
Culture locale et patrimoine
Hospice Saint-Charles.L'église de Rosny-sur-Seine.Statue de Sully.
Lieux et monuments
Château de Rosny[43].Construit, en brique et pierre calcaire, par Maximilien de Béthune, duc de Sully, à la fin du XVIesiècle, ce château connut diverses vicissitudes au cours des XIXe et XXe siècles. Il fut classé monument historique en 1941.
Acquis en 1984 par une société japonaise, la Nippon Sangyoo Kabushiki Kaisha, il a été largement dépouillé de son mobilier et a subi diverses dégradations, dont un incendie en janvier 1997. Des travaux de conservation pris en charge par le ministère de la Culture et de la Communication ont été entrepris alors d'office, après mise en demeure du propriétaire défaillant.
Hospice Saint-Charles. L’hospice Saint-Charles fut élevé en 1820 par l’architecte suisse Antoine Froelicher et sa chapelle consacrée en 1824 par l’évêque de Chartres[44],[45].
Construit dans les années 1820 par Marie-Caroline, duchesse de Berry, cet hospice jouxtant le château remplit une double fonction, soigner les malades et élever les enfants pauvres, pendant plus d'un siècle. Il fut aussi jusqu'en 1968 le siège d'une école d'agriculture privée. Il fut ensuite désaffecté et abandonné.
En 1983, le district urbain de Mantes décide de le restaurer et d'en faire un lieu culturel qui présente notamment des d’exposition de peintures et de sculptures (le peintre Jean-Marie Ledannois et le Mouvement des artistes contemporains en Yvelines).
Chapelle Saint-Charles avec le portique entourant la cour intérieure[46].
Fontaine-abreuvoir, édifiée par la duchesse de Berry.
Église Saint-Jean-Baptiste-et-Saint-Lubin[47] conserve un tableau de Camille Corot réalisé en 1840, La Fuite en Égypte[48].
La forêt de Rosny, classée zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[49].
Personnalités liées à la commune
Maximilien de Béthune (duc de Sully) (1559-1641), né à Rosny, fut baron puis marquis de Rosny. Il fut également prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, marquis de Nogent-le-Rotrou, comte de Muret et de Villebon, vicomte de Meaux, et devint ministre d'Henri IV, ce qui valut à Rosny la visite du roi de France. Sa statue monumentale (15 tonnes) en marbre blanc, créée en 1817 par Jean-Joseph Espercieux, a été érigée à l'entrée de Rosny en 1931[50].
Marie-Caroline de Bourbon-Siciles (1798-1870), duchesse de Berry, belle-fille de Charles X et mère du Comte de Chambord. Elle vendit sa terre de Rosny au banquier anglais George Stone en septembre 1831 moyennant "deux millions cent mille francs payés comptant"[51].
(fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Île-de-France
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p.104.
Virginie Wéber, «Pierre-Yves Dumoulin élu maire de Rosny-sur-Seine: Le conseil municipal a choisi ce jeudi soir l’ancien 2eadjoint (DVD) pour succéder à Michel Guillamaud (SE), décédé le 28 janvier dernier», Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le )«Avec 22 voix, il a devancé largement l’autre candidat en lice, Jacques Roux, issu des rangs de l’opposition, qui a recueilli 6 voix, un dernier élu ayant voté blanc».
«La majorité municipale ne veut pas de l'éco-quartier», Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
«Le maire de Rosny-sur-Seine est décédé», Le Parisien, édition des Yvelines, (www.leparisien.fr/yvelines-78/le-maire-de-rosny-sur-seine-est-decede-28-01-2018-7527558.php, consulté le ).
«Municipales: à Rosny-sur-Seine, Michel Guillamaud (SE) rempile», Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne)«Élu depuis 1977 à Rosny-sur-Seine, cet ancien directeur des ressources humaines de Renault avait conquis la ville en 2014, devançant, à la tête d’une liste sans étiquette soutenue par l’UMP, la maire sortante Valérie Gargani (SE), à qui Françoise Descamps-Crosnier, alors députée (PS), avait cédé son fauteuil un an plus tôt. Lors des municipales de 2008, Michel Guillamaud avait d’ailleurs affronté cette dernière, mais ce scrutin s’était soldé par un échec».
«Municipales: à Rosny-sur-Seine, la maire sortante (SE) se représente», Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne).
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