Montpezat-de-Quercy est une commune française située dans le nord du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lemboulas, le Petit Lembous, le ruisseau de Léouré, le ruisseau de Saint-Nazaire et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: trois espaces protégés («géoparc des causses du Quercy», le «prairie de la Rouquette» et le «prairies du Lemboulas») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montpezat-de-Quercy est une commune rurale qui compte 1 590 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Montpezatais ou Montpezataises.
Géographie
Montpezat-de-Quercy est un village situé dans le Quercy à 31 km au nord de Montauban, et 27 km au sud de Cahors dans la vallée du Lemboulas. Il se trouve en lisière du causse de Limogne.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Lemboulas, le Petit Lembous, le ruisseau de Léouré, le ruisseau de Saint-Nazaire, le ruisseau de Sainte-Victoire, le ruisseau de Vindrac et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 53 km de longueur totale[3],[Carte 1].
Le Lemboulas, d'une longueur totale de 56,7 km, prend sa source dans la commune de Lalbenque et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Castelsarrasin, après avoir traversé 15 communes[4].
Le Petit Lembous, d'une longueur totale de 19,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Lemboulas à Puycornet, après avoir traversé 8 communes[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Vincent», sur la commune de Saint-Vincent-d'Autéjac, mise en service en 1993[12] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 771,8 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 26 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[16] à 14°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].
La commune est dans le périmètre du «géoparc des causses du Quercy», classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[20],[21].
Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune:
le «prairie de la Rouquette», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 0,9ha[22];
le «prairies du Lemboulas», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 3,8ha[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24]:
la «butte de Sirech» (27ha)[25], et
le «ruisseau du Lemboulas et ruisseaux affluents» (1 311ha), couvrant 9 communes dont six dans le Lot et trois dans le Tarn-et-Garonne[26].
Urbanisme
Typologie
Montpezat-de-Quercy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[I 1],[28].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (63,8%), terres arables (19%), forêts (11,2%), zones urbanisées (2%), prairies (2%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7%), cultures permanentes (0,7%), eaux continentales[Note 7] (0,6%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montpezat-de-Quercy est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lemboulas et le Petit Lembous. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[32]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[33],[30].
Montpezat-de-Quercy est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[34].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 887 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 814 sont en en aléa moyen ou fort, soit 92%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2009, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Toponymie
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Histoire
Le village est inscrit site protégé notamment grâce à sa collégiale du XIVesiècle, celle-ci abrite des tapisseries flamandes du XVIesiècle relatant la vie de saint Martin. Elles sont remarquablement conservées.
Seconde Guerre mondiale voir:
Article détaillé: 2e division SS Das Reich.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1925
1942
Albert Daille
PRRRS
Député, conseiller général
1942
1944
Germain Cros
1944
1945
Maurice Delom-Sorbé
Gauche indépendante
Député
1945
1947
Frédéric Cayrou
Sénateur de Tarn et Garonne
1947
1977
Maurice Dablanc
MRP puis CD
Vice-président du conseil général de Tarn-et-Garonne
1977
2014
Raymond Massip
PRG
Conseiller général
2014
En cours
Gérard Mounié
SE
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 1 590 habitants[Note 9], en augmentation de 5,09% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 963
2 684
2 680
2 651
2 796
2 871
2 900
3 000
2 831
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 805
2 780
2 772
2 554
2 587
2 724
2 361
2 144
1 996
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 897
1 854
1 755
1 530
1 516
1 476
1 482
1 345
1 436
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
1 519
1 448
1 419
1 407
1 411
1 378
1 407
1 413
1 480
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 552
1 590
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 716 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 520 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 330 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 866 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4% d'actifs (62,2% ayant un emploi et 9,2% de chômeurs) et 28,6% d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 461 emplois en 2018, contre 460 en 2013 et 501 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 551, soit un indicateur de concentration d'emploi de 83,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2%[I 10].
Sur ces 551 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 165 travaillent dans la commune, soit 30% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9% les transports en commun, 6,1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,2% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
106 établissements[Note 12] sont implantés à Montpezat-de-Quercy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
106
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
11
10,4%
(9,6%)
Construction
14
13,2%
(14,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
35
33%
(29,7%)
Information et communication
4
3,8%
(1,9%)
Activités financières et d'assurance
3
2,8%
(3,4%)
Activités immobilières
5
4,7%
(3,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
16
15,1%
(14,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
12
11,3%
(13,6%)
Autres activités de services
6
5,7%
(9,3%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33% du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 106 entreprises implantées à Montpezat-de-Quercy), contre 29,7% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43]:
Dalta SA, fabrication de savons, détergents et produits d'entretien (8 640 k€)
SARL Delmas Carburants, commerce de détail de carburants en magasin spécialisé (1 657 k€)
Quatris, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (1 439 k€)
Quercydis, supermarchés (918 k€)
MLC, activités des sièges sociaux (547 k€)
Viticulture (coteaux-du-quercy (AOVDQS)), agriculture, fruits (chasselas de Moissac...), élevage.
Montpezat-de-Quercy accueille également l'un des trois sites de production français du groupe Apem, un des leaders mondiaux en interfaces homme-machine (interrupteurs, joysticks et claviers industriels). Le groupe a vu le jour en 1952 avec la marque APR dans cette commune. Le siège social de cette entreprise aujourd'hui internationale est situé dans la ville voisine de Caussade.
Agriculture
La commune est dans le «Bas-Quercy de Montpezat», une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 107 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 80 en 2000 puis à 53 en 2010[46] et enfin à 35 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 67% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[47],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 648ha en 1988 à 1 770ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 25 à 51 ha[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La Collégiale Saint-Martin (XIVesiècle) a été classé au titre des monuments historiques en 1840[48]. Les façades et les toitures des maisons à pans de bois entourant le chevet de l'ancienne collégiale ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1956[48]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[48];
L'ancien couvent des Ursulines;
La Porte de ville classée monument historique en 1964;
La Stèle de la déportation du sculpteur Marc Dautry (1930-2008);
L'église Saint-Pierre de Gandoulès;
L'église Sainte-Madeleine de La Madeleine;
L'église Saint-Julien de Pilou a été inscrite au titre des monuments historiques en 1978[49]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[49];
L'église Saint-Laurent-de-Sénezelles de Saint-Laurent;
L'église de l'Assomption de La Salvetat;
L'église Notre-Dame de Saux, datant du XIVe et XVIesiècles a été classée au titre des monuments historiques en 1949[50].
Galerie de photos
Ancienne porte de la ville.
Vue sur une maison et la façade de la collégiale.
Place à couverts (place de la République).
Place à couverts (place de la République).
Église Saint-Julien de Pilou
Église Notre-Dame de Saux
Personnalités liées à la commune
Françoise de Boissy (1641-1724), supérieure générale des écoles chrétiennes du diocèse de Cahors, née à Montpezat-de-Quercy;
Barthélemy de La Valette-Parizot (1725-1790), député de la noblesse aux États généraux de 1789 pour la sénéchaussée de Quercy, né à Montpezat-de-Quercy;
Jean-Baptiste Pellissier (1788-1856), auteur dramatique et journaliste, né à Montpezat-de-Quercy;
Albert Daille (1879-1941), maire, conseiller général et député, décédé à Montpezat-de-Quercy;
Jean-Michel Cabanier (1936-2010), rugbyman, né à Montpezat-de-Quercy;
Céline Wagner (1975- ), romancière, domiciliée à Montpezat-de-Quercy;
Paul Leygue (1983-1954), homme politique, né à Montpezat-de-Quercy.
Pour approfondir
Bibliographie
R. Latouche, La peste à Montpezat-de-Quercy, du XVIeauXVIIIesiècle, dans Ve congrès d'histoire d'histoire, d'archéologie et de géographie historique tenu à Périgueux du au , Imprimerie Ribes, Périgueux, 1913, p.87-100(lire en ligne)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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