Ses habitants sont les Longiniens et les Longiniennes[1].
Géographie
Description
L'Hôtel-de-ville de Long vu du chemin de halage
Le village, situé entre Abbeville et Amiens, est accroché à flanc de coteau, la Somme coulant à son pied. Le territoire communal est limité au nord par le tracé de l'autoroute A16, dont la sortie la plus proche se trouve à Flixecourt.
La commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime. Il est desservie par la véloroute de la vallée de la Somme qui relie Saint-Valery-sur-Somme à Ham. C'est un élément de la véloroute de la Somme à la Marne, la V30.
Articles connexes: Liste des voies vertes et des véloroutes de France et véloroute de la vallée de la Somme.
En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80 (Abbeville - Flixecourt - Amiens, ligne no17), chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[2],[3]. Un service de Taxi TER à la demande permet aux habitants de la commune d'effectuer la correspondance en gare de Longpré-les-Corps-Saints avec les trains TER Hauts-de-France en provenance ou à destination d'Amiens.[réf.nécessaire]
L'écluse dans son cadre verdoyant prisé par les campeurs et les pêcheurs.
Toute la partie sud du territoire communal est occupé par le fleuve côtier la Somme —où la navigation de plaisance est possible[4]— et ses marais, qui font partie des marais et tourbières des vallées de la Somme et de l’Avre inscrits en 2017 dans la liste des zones humides d’importance internationale[5].
Articles connexes: Liste de zones humides en France et Site Ramsar.
Urbanisme
Typologie
Long est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (46,8%), eaux continentales[Note 3] (19,6%), forêts (14,7%), prairies (11,3%), zones urbanisées (4,1%), zones agricoles hétérogènes (3,5%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Long faisait partie du Comté de Ponthieu et était connu sous le nom de Long-en-Ponthieu.
Histoire
Antiquité
Une épée gauloise en fer a été retrouvée sur le territoire communal[13].
Moyen Âge
Au Moyen Âge, Long a eu le statut de commune[14]. Au XIIesiècle, il l'a perdu au profit de la famille de Fontaines mais l'a retrouvé en 1379[15].
Le , lors de la chevauchée d'Édouard III en 1346, les troupes anglaises tentent de prendre Long, qui disposait d'un pont, pour franchir la Somme mais ils sont repoussés par les troupes françaises.
Époque contemporaine
Selon Gabriel Bacquet, « Long va devenir un village en effet au milieu du XIXesiècle où de grands travaux vont avoir lieu... et tout cela grâce à l'extraction de la tourbe et à l'invention du grand louchet par Éloi Morel habitant à Thézy-Glimont près d'Amiens. Tout d'abord ce sera la construction des écluses en 1831, la reconstruction de l'église dans un style néo-gothique de 1846 à 1851 puis l'installation d'un orgue Cavaillé-Coll en 1877, la construction du presbytère en 1861, l'école des filles en 1861 et celle de l'école des garçons en 1867, l'hôtel de ville en 1869[16] »[17],[18],[14]
La commune a disposé de la Gare de Long-Le Catelet sur la ligne de Longueau à Boulogne-Ville. Si la ligne est mise en service en 1847 par la compagnie du chemin de fer d'Amiens à Boulogne, la gare n'ouvre qu'après[19] et ferme au début des années 2000.
En 1863, de nombreux commerçants et artisans exerçaient à Long: trois arpenteurs, trois aubergistes, un fabricant de bas, trois bouchers, boulangers, bourreliers, brasseur, briquetier, 9 cafetiers, une vendeuse de charbon, 5 charcutiers, 9 charpentiers (y compris de marine)
, un chaudronnier; un chauffournier, un marchand de chevaux, un cordier, 10 cordonniers, 3 couvreurs[16], et la liste est trop longue pour être citée en totalité...
Un monument aux morts situé dans le cimetière rappelle la mémoire de 3 soldats de la commune morts pendant la Guerre franco-allemande de 1870.
Première Guerre mondiale
La mobilisation de 1914 représentée sur le monument aux morts.
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Chacune des années du conflit a vu la disparition des enfants de Long. Le monument aux morts témoigne de leur sacrifice.
Une évocation de l'appel aux combats figure sur la stèle.
Seconde Guerre mondiale
Au début de la Seconde Guerre mondiale, pendant la bataille de France, les 9 et 10 mai 1940, les bombardements font onze victimes civiles.
Vingt-trois soldats du troisième régiment de dragons portés, sont tués en au Catelet, de même que des soldats sénégalais[20].
Long est occupé le par l'armée allemande et la Somme devient une ligne de démarcation entre la Zone interdite et la Zone libre[21].
En 1944, lors des combats pour la libération de la France, la ville subit d'importants bombardements visant à la destruction du pont sur la Somme[22].
Une plaque rappelle le souvenir du soldat dragon écossais Fred Haywood abattu le à la tourelle de son véhicule. Il avait 28 ans[23]. Il était pilote de char au Royal Scots Greys (le plus célèbre régiment de Grande-Bretagne). Son engin s’était mis en travers sur le pont du canal. Peu après, 7 500 véhicules de la division Mongo passent sur le même pont, poursuivant les occupants jusqu’au dernier.
Après la seconde guerre mondiale la commune reçoit la croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze et est citée à l'ordre du régiment du : "courageuse commune au tiers détruite pendant la guerre 1939-1945, s'est remise avec foi et ardeur au travail"[16]
Hélice du Lancaster III tombé le 20 mai 1944 et découvert dans les marais en 1998[24],[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-le-Haut-Clocher [26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Rue
Articles détaillés: Liste des cantons de la Somme, Conseil départemental de la Somme et Liste des conseillers départementaux de la Somme.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de la Somme et Liste des députés de la Somme.
Intercommunalité
Long était membre de la communauté de communes du Haut-Clocher, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont est désormais membre la commune.
Néanmoins, l'ancien maire Jean-Marie Surowiec a milité sans succès pour le rattachement de Long à la communauté d'agglomération de la Baie de Somme, soutenant, avec le conseil municipal, l'importance de l'attrait de la ville d'Abbeville et des nombreux services qu'elle offre, son patrimoine, de même que la collaboration qui existe entre Long et Longpré-les-Corps-Saints en matière d'éco-tourisme, alors que la commune se ressent isolée par rapport au Ponthieu-Marquenterre[27],[28],[29]
Président honoraire de l'Union départementale des offices de tourisme, Ancien président de la Fédération régionale des offices de tourisme Président de l'association des Amis de Saint-Riquier (2005 →? )
Dirigeant retraité d’un centre informatique spécialisé dans le secteur agricole
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2019, la commune comptait 618 habitants[Note 4], en diminution de 3,29% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 248
1 294
1 381
1 520
1 593
1 529
1 573
1 593
1 589
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 529
1 505
1 466
1 348
1 336
1 225
1 218
1 205
1 122
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 085
1 026
920
816
780
733
706
711
695
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
656
648
606
574
575
624
654
658
640
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
621
618
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
L'ancienne école des filles.
Long a possédé une école de filles et une école de garçons, à proximité de la mairie. Ces locaux ont été reconvertis pour l'utilisation communale[39].
L'école intercommunale Victor Hugo a été construite à Ailly-le-Haut-Clocher. Elle scolarise 303 élèves au cours de l'année scolaire 2014-2015 et regroupe des écoliers d'Ailly-le-Haut-Clocher, Brucamps, Domqueur, Ergnies, Long, Mouflers, Yaucourt-Bussus[40].
Sports
Les plans d'eau et la Somme permettent des activités diverses: canotage, paddle ...
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La mairie, construite en briques et pierre en 1869[41]
L'église, édifice Inscrit MH(1926).
Église Saint Jean-Baptiste, dont la reconstruction s’acheva en 1851 en style néo-gothique et dont le clocher, classé monument historique, date du XVIesiècle. L'édifice, facilement repérable par sa position dominant le château et la vallée verdoyante, se caractérise par son clocher à flèche de pierre, typique des églises de ces villages le long de la Somme, en aval d'Amiens[42],[43]. A l'intérieur se trouve un orgue Caillavé-Coll de 1876 apprécié des musiciens[44].
Article connexe: Église Saint-Jean-Baptiste de Long.
Centrale hydro-électrique: La commune de Long fut pionnière dans le département de la Somme en ce qui concerne l'électrification. L'usine communale d'élévation d'eau et de production d'électricité est construite de 1901 à 1903 sur un bras de la Somme. Cette usine hydro-électrique édifiée par les établissements Daydé et Pillé pour la Compagnie Générale d'électricité de Creil était équipée de trois turbines américaines de 32 chevaux chacune, l'usine pompait l'eau de la nappe artésienne pendant le jour et générait de l'électricité la nuit. Elle fonctionna jusqu'en 1968, année à laquelle la commune est raccordée au réseau E.D.F., la production de courant continu de 110 volts ne correspondant plus aux besoins de la population. La centrale hydro-électrique de Long qui a conservé presque intégralement son matériel: turbines, entraînements, dynamos, pompes et tableau de commandes est toujours en état de marche. Elle abrite, en outre, une exposition sur l'extraction de la tourbe qui fit la prospérité du village jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. L'usine hydro-électrique de Long est classée « Monument historique » depuis 1984.
Vue est-sud-est.
Vue ouest-nord-ouest.
Vue est-sud-est.
Canotage à Long.
Le château.
Le château, appelé aussi la folie de Buissy[45],[46],[47], était à l’origine une petite forteresse médiévale destinée à contrôler le passage sur la Somme. Détruit en 1700, le château est reconstruit par Honoré Charles de Buissy, seigneur du lieu en 1733 dans un style caractéristique des constructions du XVIIIesiècle dans la région, en brique et pierre. Laissé à l’abandon après la Seconde Guerre mondiale, il est racheté en 1964 par un industriel du Nord, qui le sauve de la ruine, et a été revendu en 2000 aux propriétaires actuels qui continuent les restaurations[48] Le corps de logis sur trois niveaux dont un mansardé, est composé d'une façade avec trois avant-corps à pans latéraux arrondis. Au centre, quatre consoles, au décor sculpté de bouquets et motifs floraux encadrent deux grands écus. La porte d'entrée est surmontée d'un masque symbolisant la force. Le parc de 20 ha se compose de pelouse et fleurs, d'étang et de bois, de serres et d'un lavoir. Les dépendances du château possèdent un impressionnant colombier. Le château, le parc et l'avenue qui précède l'entrée sont inscrits à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis 1944. Les façades et toitures des communs, le colombier et les deux serres sont inscrits « Monuments historiques » depuis 2003.
Article détaillé: Château de Long.
Le monument aux morts: construit en 1920, le monument aux morts de Long est situé en contrebas de l'église. Il est l’œuvre du sculpteur parisien Georges Chauvel et des fonderies Montagutelli Frères. Le groupe sculpté représente une femme couronnée de lauriers avec à ses pieds un soldat mourant. Le bas-relief représente la mobilisation des hommes de Long. Le socle est en marbre bleu turquin et les motifs de décoration sont en mosaïque d'or[49]
La chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, qui se trouve sur les hauteurs de Long en direction d'Ailly-le-Haut-Clocher[50]. Datée de 1870, elle a été édifiée après la perte d'un fils de 21 ans[51]. C’est un point de vue saisissant lorsqu’on arrive d’Ailly-le-Haut-Clocher[44].
Plusieurs niches dans les murs du village, en particulier, celles de saint Jean et de saint Pierre, les plus rares[51].
Le marais: le site fait partie d'un ensemble d'étangs tourbeux d'une importance patrimoniale reconnue, avec une forte biodiversité retrouvée[52],[44].
De Fontaine à Condé-Folie.
Site d'extraction de la tourbe.
Invasion de Jussie.
Sagittaire en forme de flèche.
L'étang des croupes.
.
La passe à poissons La passe a permis de dénombrer près de 28 000 poissons dans la Somme en un an par vidéo-comptage (d' à ). Le gardon arrive en tête, suivi par l'ablette et la perche commune. La brème, le barbeau fluviatile et la vandoise viennent ensuite... Pour la première fois, quatre grandes aloses ont été aperçues[53].
La maison éclusière, à côté de l'écluse, a été occupée par des éclusiers jusqu’en 2002. Elle est désormais un lieu d'animation touristique le long de la véloroute de la vallée de la Somme[54]
Personnalités liées à la commune
Le Dr Marceau Bilhaut en 1894.
Le docteur Marceau Bilhaut, médecin et chirurgien français, né à Long en 1848 et mort en 1925, est inhumé dans le cimetière de la commune.
Joseph Lévêque et Lucien Dufourmantelle, deux résistants longiniens tombés en [20].
Long dans les arts
La première chose qu'on regarde, roman de Grégoire Delacourt paru en 2013, se déroule en grande partie à Long où un l'un des personnages principaux, Arthur Dreyfuss, est mécanicien dans le garage du village. Il reçoit la visite d'un sosie de l'actrice américaine Scarlett Johansson dont il tombe amoureux.
Le roman décrit le village et mentionne ces principaux lieux, le château, les étangs, etc.
À noter que l'actrice américaine, n'appréciant pas l'utilisation de son image, a porté plainte contre les Éditions Jean-Claude Lattès[55].
Héraldique
Les armes de la commune se blasonnent ainsi:
de gueules à trois écussons de vair.
Le blason figure sur le fronton de l'hôtel de ville, daté de 1869. Ces armes sont celles de la communemédiévale et elles sont connues par une série de sceaux municipaux des XIVeetXVesiècles[56],[14]. Elles sont exactement semblables aux armes de la famille de Fontaines, seigneur du lieu[15],[57].
Article connexe: Armorial des communes de la Somme.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Matthieu Herault, «Les gentilés en Picardie maritime: toute une histoire!: Savants, amusants; d’origine latine ou pas… tour d’horizon des gentilés qui font le sel et le terroir de notre territoire.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Olivier Bacquet, «La navigation fluviale est de nouveau possible sur la Somme: Après de longues semaines d'attente, la navigation peut reprendre sur le fleuve Somme. La crise sanitaire avait stoppé les chantiers prévus. L'interdiction vient d'être levée.», Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
Olivier Bacquet, «Les vallées de la Somme et de l'Avre reconnues "zone humide d'importance internationale": Les vallées de la Somme et de son principal affluent ont été inscrites sur la liste des zones humides d'importances internationales, au même titre que la Baie de Somme», Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
François-César Louandre, Histoire d'Abbeville et du comté de Ponthieu jusqu'en 1789, vol.reprise de 1883, t.Tome 1, 67, rue Saint-Jacques - 75005 Paris, Lorisse éditeur-diffuseur, , 14eéd., 439p. (ISBN2-84435-013-5), p.12.
Voyage en chemin de fer de Paris à Boulogne et à la frontière du Nord, Lenoel-Herouart imprimeur libraire, (lire en ligne), p.40-41 (consulté le ). La description du trajet entre Longpré et Pont-Remy n'y mentionne aucune station intermédiaire.
Le Courrier picard, Long, il y a 72 ans, à la Libération, la liesse et les larmes, édition Picardie maritime, 3 septembre 2016, p.13.
Nasséra Lounassi, «Sandrine Vasseur fleurira la tombe du soldat Fred Haywood, mort le 1er septembre 1944 en libérant le village de Long: L’hommage d’une Longinienne au soldat Haywood», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Claude Cailly, Courrier picard, édition Picardie maritime, 20 février 2017, p.10, «Communauté de communes du Ponthieu-Marquenterre, les indemnités votées»
«Le centre de Long sera aménagé… par un autre maire: Le maire Jean-Marie Surowiec, élu en 2014, a envie d’autre chose et va passer la main», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«C’est désormais officiel, il ne sera pas candidat. Et il n’y est pas allé avec le dos du louchet: «J’ai envie d’autre chose. Je l’avais déjà annoncé lorsque le préfet nous a refusé notre mutation auprès de la Communauté d’agglomération d’Abbeville, là où se trouve l’avenir de Long, plutôt que dans le Ponthieu-Marquenterre. Une nouvelle fois, nous ne pouvons que subir les errements de nos politiques, toujours plus éloignés des véritables préoccupations de chacun!».
De Bruay à Limercourt en passant par Long, Jacques Dulphy, Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 13 mai 2015, p. 14.
«Michel Besson parlera du café», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«La liste Surowiec entre en force au conseil à Long: Impossible dimanche soir de disposer, en mairie ou chez les élus sortants, des résultats de Long. Tardivement, Francis Lépine répondait à nos appels, indiquant simplement que toute sa liste était battue, et que la liste emmenée par Jean-Marie Surowiec, soit quinze candidats, remportait tous les postes. Sans plus de détails», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Après une dernière quinzaine un peu difficile, sans tracts pourtant, mais avec quelques regrets exprimés quant à la défaillance de deux adjoints sortants, Paul Ladrière et Jeannine Scombart, partis dans l’opposition, le jugement est sans appel. «Comme en 1989», se souvient M. Surowiec, quand la liste conduite par Christian Doré était laminée par celle que menait Gabriel Bernard (maire de 1989 à 2008)».
Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p.13..
Olivier Bacquet, «Une liste d'union inédite à Long… L'ancien maire et un autre candidat forcés de faire cavalier seuls: Contrairement aux vieilles habitudes, il n'y aura qu'une liste à Long. Plus deux candidats indépendants, exclus de la liste de rassemblement. Parmi eux: Francis Lépine», Le Journal d'Abbeville,«Très vite, les deux listes, qui étaient encore incomplètes, décident de fusionner. Et c’est ensemble que les candidats préparent leur projet pour Long. Ce projet, Jean-Marie Pecquet et Alain Copin l’incarnent côte à côte, d’une même voix. Au premier l’écharpe de maire s’ils sont élus, au second celle de premier adjoint.».
Olivier Bacquet, «Le village dévoile ses nombreux trésors au bord de l'eau: Pour ceux qui ne savent pas encore comment profiter de ce lundi férié estival, rendez-vous à Long, considéré comme l'un des plus beaux villages de la vallée de la Somme», Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.78 (ASINB000WR15W8).
Denis Desbleds, «Un poisson inédit filmé dans le fleuve: La station de vidéo-comptage de Long a enregistré le passage de quatre grandes aloses», Courrier picard, , p.4 (lire en ligne).
Rachid Touazi, «La maison éclusière de Long: Située au bord du canal de la Somme, à Long-le-Catelet, la maison éclusière est une pause fraîcheur.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Armorial du département, des chefs-lieux de canton et des communes de la Somme (préf.Pierre-Marcel Wiltzer), Abbeville, Conseil général de la Somme, , 76p., mentionné par Lionel Bacquet: Histoire de la commune de Long Le Catelet.
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