La Gorgue est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France. La Gorgue est une commune en ancienne Flandre française limitrophe de l'Artois.
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En 2011, la commune de La Gorgue a été récompensée par le label «Ville Internet @@» et en 2019 elle possède un total de 4 «@@@@»[1].
Le nom jeté de ses habitants est les magots. Le nom de la ville a pour origine le mot flamand occidentalgoor qui signifie «terrain marécageux»[2].
Géographie
La Gorgue dans son ancien canton, celui de Merville et son arrondissement. La Gorgue fait désormais partie du canton d'Hazebrouck, comportant 16 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Richebourg», sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11°C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Lille-Lesquin», sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 28 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[13] à 10,8°C pour 1981-2010[14], puis à 11,3°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Gorgue est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[19] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (82,6%), zones urbanisées (13%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1%), zones agricoles hétérogènes (0,2%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Histoire
Après la fin de la Première Guerre mondiale, autour du Moulin ruiné de Mr Gailly, la végétation arborée repousse déjà, mais le moulin ne sera pas reconstruit. Les céréales seront conduites au grand moulin industriel de Merville, sur les bords de la Lys. Le moulin Gailly présentait une architecture originale, avec son socle de rouges barres et son chemin de ronde en encorbellement.
Le territoire et les environs de la commune ont connu une occupation humaine dès la préhistoire comme en témoigne la présence de silex taillés sur les berges de la Lys et de la Lawe.
La paroisse de La Gorgue aurait été créée en 1190 par division de celle d'Estaires: en 1190, Robert, seigneur de Béthune, (maison de Béthune), avoué d'Arras, et Didier, évêque de Thérouanne, suivent le conseil de Guillaume aux Blanches Mains, cardinal archevêque de Reims, et partagent Estaires en deux paroisses: Estaires et La Gorgue[26]. Le chapelain de La Gorgue, dépend de l'abbaye Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys, située à La Gorgue. Il partage avec le curé d'Estaires les droits de mouture du moulin et les droits de pêche, et verse annuellement au curé d'Estaires douze deniers. L'accord est appliqué après la mort du curé d'Estaires alors en place, Simon Gomer[26].
Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[27].
En 1296, Robert, futur Robert III de Flandre, fils aîné du comte de Flandre Gui de Dampierre, possède une motte et une tour à La Gorgue: le 27 juillet, Jean, chevalier, seigneur de Haverskerque, cède à Robert, des terres situées en partie sur Estaires, et l'usage du bois d'Estaires, avec le droit de pâtures et le droit d'y couper tous les trois ans ce qu'il faut pour enfermer sa motte et sa tour à La Gorgue[28].
La Gorgue a fait partie d'une région appartenant aux 17 provinces des Pays-Bas espagnols, dite «Pays de Lalloeu», regroupant 4 communes: La Ventie (Laventie), Sailly (Sailly-sur-la-Lys), Fleurbaix et la partie est de La Gorgue. C'est une région huguenote d'où partirent des habitants pour s'installer aux Amériques, en Afrique du Sud, en Allemagne, en Hollande, en Angleterre… Le Pays de Lalloeu était rattaché au Comté de Flandre et au Pays d'Artois[Quand?][29],[30].
En 1355, Renauld, seigneur d'Estaires, Neuf-Berquin et de la Motte de La Gorgue, époux d'Aloïde, fille de Robert d'Espierres, vend la Motte de la Gorgue au comte de Flandre Louis de Male (Louis II de Flandre)[28].
Après la Révolution française, sous le premier Empire, se tient chaque année à La Gorgue une foire de seconde classe, héritée de l'époque antérieure à la Révolution, pour marchandises et bestiaux; en 1802-1803, elle a eu lieu les 11 et 12 floréal (1er et 2 mai 1803)[31].
En 1802, La Gorgue est une place fortifiée intégrée dans le dispositif de défense de la région[32].
La commune et ses environs ont été fortement touchés par la Première Guerre mondiale, notamment avec la bataille de Fromelles. La croix de guerre 1914-1918 a été décernée à la commune[33].
Soldats empruntant la rue du Duc de Berry à La Gorgue, en route vers les tranchéesSoldats écossais dans une tranchée
Toponymie
Deux hypothèses:
De l'ancien français d'oïl gorc/gorgue (gouffre, gorge), du latin gurges-gurgitis (gouffre, abîme où l'eau tombe). Au sens topographique, le mot se disait du trou où l'eau tombe après avoir fait tourner un moulin.
Du mot flamand goor qui signifie «terrain marécageux»[34].
De Gorge en néerlandais moderne.
Héraldique
Les armes de La Gorgue se blasonnent ainsi: «D'azur semé de coquilles d'or, au chef d'argent chargé d'un lion issant de sable.»
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Nord.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1792
Charles Louis Cattoir
1792
1804
Louis Leroux
Montagnard. Robespierrisme[pasclair].
Révolutionnaire local, dont la famille était originaire Avesnes-le-Comte[pasclair].
Député du Nord (1849-1851), Député du Nord à l'Assemblée nationale constituante (1848-1849), Conseiller général du canton de Merville (1859-1870).
1870
1905
Gaspard Cattoir
1905
1906
Amédée Gailly
1906
1912
Georges Woussen
1912
1917
Charles Gailly
1917
1929
Georges Woussen
1929
1945
Henri Ducroquet
Conseiller d'arrondissement
1945
1959
Edouard Hennion
Brasseur
1959
1971
Louis Flipo
Brasseur
mars 2001
Gérard Beun
UDF-CDS
Directeur d'école Président de la CC Flandre Lys (1995-2001)[37]
mars 2008
Christian Defebvre
UDF puis Modem
Ancien formateur à l’École de professeurs de Lille
En cours
Philippe Mahieu
SE
Commerçant Vice-président de la CC Flandre Lys (depuis 2014)
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 5 639 habitants[Note 8], en diminution de 3,61% par rapport à 2013 (Nord: +0,49%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 018
3 013
3 049
3 224
3 225
3 228
3 223
3 274
3 293
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 226
3 293
3 369
3 496
3 704
3 885
3 962
3 929
3 968
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 075
4 204
4 314
3 812
4 198
3 959
4 027
4 038
4 116
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
4 141
4 104
4 168
4 602
5 028
5 215
5 590
5 681
5 956
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
5 704
5 639
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3% la même année, alors qu'il est de 22,5% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 760 hommes pour 2 877 femmes, soit un taux de 51,04% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,7
5,3
75-89 ans
8,3
16,1
60-74 ans
16,6
21,6
45-59 ans
20,8
18,4
30-44 ans
18,4
19,1
15-29 ans
16,7
18,9
0-14 ans
17,6
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[43]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,1
75-89 ans
8,1
14,3
60-74 ans
15,6
19,2
45-59 ans
18,6
19,6
30-44 ans
18,7
20,7
15-29 ans
19,1
20,7
0-14 ans
18,5
Lieux et monuments
L'autel dédié à saint AntoineLa Lawe, l'écluse, les canards.Église Sacré-Cœur du Nouveau MondeUne pierre tombale de l'Abbaye de Beaupré
Le beffroi de l'hôtel de ville
L'église Saint Pierre date de 1895. Elle fut très endommagée en 1918, et restaurée dans les années 1920.
L'église Sacré-Cœur du Nouveau Monde date de 1929
Le kiosque à musique
Site archéologique de l'ancienne abbaye cistercienne Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys.
Salle du patrimoine gérée par l'association ABESS[44] (Abbaye de Beaupré, Etude et Sauvegarde du Site), au 51 rue du , en face de l'église.
«Usine de produits alimentaires, brasserie, malterie dite usine de produits alimentaires-brasserie Claudorez Buisine, puis Gailly Claudorez; puis usine de produits alimentaires-brasserie-malterie Gailly Béghin; puis brasserie-malterie Hennion Gailly, puis Vanhoucke Hennion». (inscrit au Patrimoine)[47]
«Brasserie Flipo Louis, puis Flipo Delmotte» (Patrimoine classé ou inscrit)[47]
Le jardin public[48], ancienne propriété du baron Guy de Villeneuve[Qui?][49]
Vers 1096, Catherine de Roubaix, dame (un homme est seigneur de, une femme est dame de) d'Estaires et de la Motte de La Gorgue en tant que fille et héritière de Jean de Roubaix et de Liévine d'Herzeele et d'Oudenhove, épouse Raoul d'Haverskerque[26].
En 1199, Gisbert ou Gilbert, seigneur d'Estaires et de la Motte de La Gorgue, épouse Nathalie, fille de Pierre, seigneur de la Viefville[51].
En 1303, Philippe, seigneur d'Haverskerque, d'Estaires et de la Motte de La Gorgue, épouse Adèle, fille de Charles, maréchal héréditaire de Flandre[28].
Autres personnalités
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Charles de L'Écluse (1526-1609), médecin et botaniste du XVIesiècle, né à Arras, a visité La Gorgue.
Le vice-doyen Eugène Maës, curé de La Gorgue de 1914 à 1941. Selon le Dictionnaire Étymologique et Historique de La Gorgue, il était natif de Bousbecque. À la fin de la première guerre mondiale, lors de la terrible bataille de la Lys (9 et 10 avril 1918), il évacua, comme une grande partie de la population, et se retrouva comme aumônier du bon Pasteur à Lourdes. Il revint plus tard à La Gorgue après le retour au calme, comme bon nombre de réfugiés ". Il marqua la paroisse Saint-Pierre par sa forte personnalité, installa de nombreuses statues dans l'église et fit construire l'autel dédié à Saint-Antoine de Padoue[réf.nécessaire][style à revoir]. Il fut le curé-fondateur de la paroisse Saint-Antoine de Padoue à Petite-Synthe[52][sourceinsuffisante].
Victor Denis (1889-1972), international de football français.
Harmonie municipale
L'harmonie municipale de La Gorgue a été fondée le [53].
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Telmedia, «La Gorgue», sur www.lys-sans-frontieres.org (consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Arnould Detournay, «Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires», dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 397, lire en ligne.
Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
Arnould Detournay, «Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires», dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 399, lire en ligne.
Chanoine Depoter, Le Pays de Lalloeu histoire mœurs et institutions, les éditions des Beffrois, 1910
Arnould Detournay, «Petite chronologie pour l'histoire d'Estaires», dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, Dunkerque, 1861, p. 397-398, lire en ligne
Annales / Société d'études de la province de Cambrai, 1913 lire en ligne sur Gallica.
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