Hangest-en-Santerre[ɑ̃ʒɛst ɑ̃ sɑ̃tɛʁ] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
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La localité est située sur le plateau agricole du Santerre, dans sa partie voisine de l'Avre.
Au nord-est, le territoire est limité par l'ancienne voie romaine (via Agrippa) qui correspond à l'ex-route nationale 334 (actuelle RD 934), route importante reliant Amiens à Noyon.
Localisation
Par la route, l'agglomération est à 31 km d'Amiens (40 min), 14 km de Montdidier (20 min) et 10 km de Moreuil (15 min). Roye et Rosières sont à une douzaine de kilomètres d'Hangest. Paris se trouve à 130 km au sud.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Géographie physique
Géomorphologie et relief
Le sol est argileux en grande partie. Au sud, vers Davenescourt, le limon des plateaux domine. Le sous-sol, datant de l'ère secondaire est de nature marneuse.
La commune est située sur le plateau du Santerre: son altitude est remarquablement uniforme. À la limite sud-ouest du territoire, la vue sur la vallée de l'Avre présente une belle vue[1].
Hydrographie
À la fin du XIXesiècle, les treize puits existants sont alimentés par une nappe phréatique très chargée en calcaire, située à une vingtaine de mètres de profondeur. Treize mares permettaient alors d'abreuver les animaux[1]. Aucune source ne jaillit sur ce territoire trop élevé.
Climat
Article détaillé: Climat de la Somme.
La commune a un climat tempéré océanique.
Géographie humaine
Hameaux et écarts
Le Petit-Hangest est un hameau situé le long de la RD 934 et éloigné de 1 500 m du chef-lieu communal. Il comptait 13 habitants en 1899[1].
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune d'Hangest-en-Santerre présente un habitat groupé. Le village détruit pendant la Grande Guerre a été reconstruit durant l'entre-deux guerres
La commune s'est dotée d'un plan local d'urbanisme[2] (PLU). Le Projet d'aménagement et de développement durable (PADD) définit les orientations retenues par la collectivité[3].
Logement
Plusieurs lotissements de dimension modérée ont été créés par la municipalité pour répondre à la demande et maintenir le réseau de services locaux.
Ces logements correspondent essentiellement à des maisons individuelles. Selon le recensement 2014, la commune comptait à cette époque 9 appartements[5]. Ces logements étaient alors très majoritairement de grande taille: 29,6 % de logements de 4 pièces et 55,3 % de logements de 5 pièces ou plus[6]. Le parc de résidences principales était alors relativement récent:
Axes routiers: le village se situe à proximité la route départementale 934, reliant Amiens à Roye. Les autoroutes A29, A1 et A16 sont relativement faciles d'accès[8].
Chemin de fer: aucune voie ferrée ne traverse la commune. Le village se trouve à 20 min de la gare TGV Haute-Picardie[8].
En 2020, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens; ligne no45, Moreuil - Montdidier)[9].
Hangest-en-Santerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (90,4%), zones urbanisées (6,8%), zones agricoles hétérogènes (1,5%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4%)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
Dès 1147, Hangest est relevé dans sa forme actuelle. On trouve ensuite Hanjiesta, Hangiest, Angest et finalement Hangest en Santerre en 1733[1].
Il s'agit d'un toponyme médiéval d'aspect germanique, dont l'étymologie exacte est mal éclaircie.
Albert Dauzat reprend la proposition d'Ernst Gamillscheg qui considère qu'il s'agit du nom germanique de l'étalon, c'est-à-dire hangist (comprendre proto-germanique *hangistaz) ou plutôt vieux bas francique *hangist «étalon» (cf. néerlandais hengst «étalon»).
Un nom d'animal pris absolument est cependant de nature plutôt insolite.
Peut-être s'agit-il d'un toponyme germanique en Ham- «maison, foyer, village» dont le premier élément a évolué en Han- comme dans Hangard (Somme). Homonymie avec Hangest-sur-Somme.
Histoire
Préhistoire
Attestant d'une occupation très ancienne du territoire, des silex polis datant du Néolithique et des silex taillés en fer de lance ont été retrouvés par les exploitants agricoles.
Antiquité
Par ailleurs, les vestiges de quatre villas gallo-romaines ont été identifiés sur la commune[17].
Moyen Âge
La famille de Hangest a détenu au Moyen Âge la seigneurie de Hangest. C'est ainsi que le membre le plus ancien connu de cette famille, Jean de Hangest (1180)[1], fonde une chapelle dans l'église Saint-Martin.
Jean IV, dit de Rabache, sire de Hangest et de Davenescourt, est reconnu comme le plus célèbre de la lignée[1].
Le chapitre de Saint-Quentin possédait de nombreux biens dans le village[1].
En 1203, un hôpital est fondé en l'honneur de saint Jacques[1].
En 1416, les Bourguignons, commandés par Ferry de Mailly, s'emparent de la forteresse du lieu et ravagent les environs[1].
Époque moderne
En 1636, durant la guerre de Trente Ans, les Espagnols portent de terribles coups au village: le château, le couvent et 45 maisons subissent la destruction. De cette époque dateraient les muches, souterrains qui ont servi de refuge à la population[1].
XIXesiècle
Le réseau des chemins de fer départementaux de la Somme en 1928.
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, deux habitants furent fusillés sans motif par les Prussiens[1].
La commune est desservie de 1889 à la fin des années 1940 par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des chemins de fer départementaux de la Somme reliant Albert à Montdidier, avec la gare d'Arvillers-Hangest, facilitant les déplacements des voyageurs et le transport des produits agricoles du Santerre.
Au début du XXesiècle, Hangest est un bourg agricole prospère[18].
Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, en 1914-1915, à Hangest-en-Santerre, situé à l'arrière du front[19], se trouvait l'hôpital temporaire dépendant de l’hôpital N°125 d'Amiens, installé dans l’hospice Brulin[Note 4] situé rue de l’Isle[20].
Le , le 28eRI était frappé par une attaque au chlore. «L'attaque allemande d'infanterie fut enrayée par l'action des mitrailleuses mais les fantassins furent vite pris par les effets des gaz et quelques heures après la vague de gaz, les effets furent catastrophiques. Lancée à 5 heures du matin, on sentait le chlore à Amiens à 6 heures[21]».
En , le 12e régiment de cuirassiers à pied cantonna dans le village[22].
La commune conserve son rôle d'arrière du front[23], avec sa gare notamment servant à l'alimentation du front[24],[25],[26],[27],[28]. L'armée construit un chemin de fer militaire à voie étroite du système Péchot, élément d'un vaste système de logistique alimentant le front. Cette ligne existait encore pour les besoins de la reconstruction en 1920[29]. La commune est utilisée également pour l'implantation de pièces de l'artillerie lourde sur voie ferrée[30],[31].
Hangest est pris par l'armée allemande au printemps 1918[32], et, d'avril à , deux aérodromes militaires allemands sont aménagés, celui de Hanguest Nord-Est ayant à nouveau été utilisé par les aviations françaises puis allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale[33],
Le , au début de l'offensive des Cent-Jours, le 31e corps d'armée atteint Hangest-en-Santerre après avoir repris Moreuil. Les 126e et 153e D.I. libèrent alors Hangest[34] et son plateau, avant de poursuivre leur marche vers Contoire et Pierrepont-sur-Avre[35],[36].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [37].
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[38], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[39], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la «des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye», le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[40],[41]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[42] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [43] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [44], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Chargé d’affaires dans le secteur privé Vice-président de la communauté de communes Avre Luce Noye (2017 → )
Politique de développement durable
Un parc de huit éoliennes est édifié par le groupe Valorem en 2016-2017 sur les communes du Plessier-Rozainvillers, d’Hangest-en-Santerre et de Mézières-en-Santerre, après un financement participatif ouvert notamment aux riverains[49].
Distinctions et labels
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Ville fleurie: à l'instar de seulement 22 villages en Picardie, une deuxième fleur a été attribuée en 2013 à Hangest-en-Santerre lors du concours des villes et villages fleuris[8]. Cette distinction est toujours attribuée en 2016[50].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].
En 2019, la commune comptait 1 012 habitants[Note 5], en diminution de 1,36% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 263
1 032
1 141
1 230
1 268
1 300
1 351
1 420
1 343
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 366
1 360
1 317
1 322
1 379
1 497
1 500
1 460
1 396
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 324
1 260
1 201
961
976
977
893
841
841
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
849
801
769
703
723
839
933
978
1 029
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 024
1 012
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La cour d'école.
Dès trois ans, les enfants sont pris en charge par l'école primaire qui comporte cinq classes. Des activités péri-scolaires permettent d'accueillir les élèves en dehors des horaires scolaires, de même qu'une halte-garderie et un service de cantine. Un centre de loisirs est ouvert pendant les vacances scolaires[8].
La suite de la scolarité mène les enfants au collège de Moreuil. Ils peuvent poursuivre des études secondaires au lycée de Montdidier.
Manifestations culturelles et festivités
Les associations d'Hangest-en-Santerre permettent de se livrer à de nombreuses activités. Une salle multifonction est utilisée pour l'animation culturelle.
La fête locale est programmée le dernier week-end de juin[54].
Sports
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L'intercommunalité a mis en place le centre aquatique de Moreuil, à une bonne dizaine de kilomètres d'Hangest.
Des associations encadrent les activités liées à l'exercice physique:
l'Union Sportive de Hangest-en-Santerre;
Gym Loisirs.
Loisirs
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Le club des aînés.
Les amis de l'école.
Le Poker Club Sandwich de Hangest-en-Santerre.
Association pour la culture du Bonsaï.
L'Amicale des Sapeurs pompiers.
Action sociale
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L'APICADEV (Association Picarde des Aveugles et Déficients visuels).
Les parents d'élèves.
Les anciens combattants.
Économie
Emploi
Les riches terres agricoles du Santerre ont favorisé la production de blé, betteraves sucrières, pommes de terre, légumes. Le recensement général de l'agriculture (RGA) de 2000 indiquait qu'il n'y avait plus que 19 exploitations agricoles (dont 16 sont en activité) sur la commune contre 24 en 1988, générant 102 emplois permanents (en équivalent temps plein) plus des saisonniers. Le nombre d’actifs familiaux de ces fermes s’élevait à 42 personnes[55].
Les usines agro-alimentaires d'envergure internationale implantées à proximité (Bonduelle, Saint-Louis-Sucre...) procurent de l'emploi aux résidents.
La commune dispose d'une zone d'activité créée par l'intercommunalité[8].
Entreprises et commerce
Boucher, épicier, professions de santé, artisanat sont présents[Quand?] dans ce bourg resté rural.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin a possédé un portail remontant à la fin du XIIesiècle[56]. Détruite par les bombardements allemands qui ont ravagé la ville[57],[58], elle a été rasée après la Première Guerre mondiale.
Sa reconstruction, complètement terminée en 1931, est l'œuvre de l'architecte Godefroy Teisseire; elle est inscrite en 1994 sur l’Inventaire supplémentaire des monuments Historiques. Son style byzantin et ses vitraux en font un monument particulier, au plan centré en croix grecque dont la coupole comprenant des peintures à fresque de Georges Lecomte et des verrières de Raphaël Lardeur, est surmontée d'un clocher[59],[60],[61],[62].
Elle comprend des panneaux en bois sculpté de l'ancienne tribune d'orgues datant de l'époque François Ier (XVIesiècle) remontés dans un meuble de sacristie[63], et une sculpture en bois sculpté polychrome La Charité de saint Martin, de la fin du XVIesiècle[64].
Monument aux morts, situé place de la mairie et constitué d'un groupe sculpté sur piédestal, placé devant une stèle, en calcaire de Lavoux[65], édifié par le sculpteur amiénois Georges Legrand[66], dont la femme était native du village, avec une forte souscription publique en 1923-24[67].
Patrimoine industriel: bonneterie d'Hangest, 15 rue de la Tour, reconstruite dans les années 1920 après les destructions de la Première Guerre mondiale, et dont l'activité a cessé avant 1962[68].
Façade principale de l'église Saint-Martin.
Détail de l'église.
Le monument aux morts.
Les écoles.
La mairie.
Personnalités liées à la commune
Famille de Hangest.
Terence Tarlier (SoOn), joueur professionnel d'Overwatch chez Paris Eternal.
Blasonnement
Les armes de la commune se blasonnent ainsi: d'argent à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d'or[69]. Ces armes sont celles de la famille de Hangest.
Carte spéciale des régions dévastées: 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Le nombre de résidences secondaires inclut les logements occasionnels à compter de 1990.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
L'hospice Brulin a été détruit en 1973, et son site réutilisé pour la construction de logements.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur d'Hangest, M. Cordonnier, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens, lire en ligne.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Section photographique de l'armée, «Photo: Hangest-en-Santerre. En gare: pièce de 400», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Carlos Da Silva, «Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand: Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Le maire d’Hangest-en-Santerre part «avec un bilan positif»», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Maire depuis 19 ans, élu pendant 25 années… C’est un sacré parcours qui s’apprête à prendre fin à Hangest-en-Santerre».
Réélu pour le mandat 2014-2020: «Une majorité écrasante et un refus pour Pierre Boulanger à l’intercommunalité moreuilloise: Le président de l’intercommunalité a été réélu sans problème jeudi soir à Braches. Seul son opposant moreuillois Daniel Fournier a levé la voix.», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Le premier adjoint se lance dans la course aux Municipales à Hangest-en-Santerre», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Une élection unique en son genre pour Hangest-en-Santerre: Le conseil, à huis clos, a été retransmis en direct sur le site internet de la mairie», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«le conseil a élu Patrick Jubert, ce dernier remportant le scrutin par 12 voix contre 3 pour Olivier Damay».
Carole Legris, «Dernière ligne droite pour les éoliennes de Santerre Énergies: Le chantier du parc éolien de Santerre Énergies touche à sa fin. Le levage des huit éoliennes sera terminé fin mars et la production commencera en avril», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Hangest-en-Santerre. L'église», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Hangest-en-Santerre. L'église: intérieur», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 14, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Jean-Charles Cappronnier, Frédéric Fournis, Alexandra Gérard et Pascale Touzet, «L’art sacré entre les deux guerres: aspects de la Première Reconstruction en Picardie», In Situ, revue des patrimoines, no12, (DOI10.4000/insitu.6151, lire en ligne, consulté le ).
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