Coucy-le-Château-Auffrique est une commune française du département de l'Aisne et de la région Hauts-de-France, dans l'arrondissement de Laon.
Pour les articles homonymes, voir Coucy (homonymie).
Coucy-le-Château-Auffrique | |
![]() Les remparts de la cité de Coucy à l'ouest. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Aisne |
Arrondissement | Laon |
Intercommunalité | Communauté de communes Picardie des Châteaux |
Maire Mandat |
Sophie Boutroy 2020-2026 |
Code postal | 02380 |
Code commune | 02217 |
Démographie | |
Gentilé | Coucyssien(ne)s |
Population municipale |
992 hab. (2019 ![]() |
Densité | 87 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 31′ 13″ nord, 3° 19′ 21″ est |
Altitude | Min. 47 m Max. 147 m |
Superficie | 11,46 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Vic-sur-Aisne |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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La commune de Coucy-le-Château absorba en 1921 celle d'Auffrique-et-Nogent. À l'heure actuelle, on désigne encore communément la commune sous les vocables « Coucy » ou « Coucy-le-Château » sans mention d'« Auffrique ».
Le célèbre château de Coucy se trouve sur la commune, il est enserré dans la cité des Sires de Coucy, ensemble fortifié bâti sur un promontoire rocheux ceignant d'un long rempart d'1,7 km tout le centre historique de la commune.
Le bourg de Coucy-le-Château-Auffrique est situé à l'ouest de Laon et à peu près à mi-chemin entre Chauny (au nord) et Soissons (au sud).
La commune est répartie sur deux niveaux : la ville basse (où convergent les voies de communication) et la cité médiévale de Coucy, enclose dans des remparts comprenant le fameux château de Coucy, lui-même plus en avant sur le promontoire dominant les vallées de l'Oise et de l'Ailette).
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Folembray | Coucy-la-Ville | ![]() | |
Champs | N | Jumencourt | ||
O Coucy-le-Château-Auffrique E | ||||
S | ||||
Pont-Saint-Mard | Crécy-au-Mont |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Faucoucourt », sur la commune de Folembray, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 777 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Coucy-le-Château-Auffrique est une commune rurale[Note 6],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,2 %), terres arables (29,4 %), zones urbanisées (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), prairies (2,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Durant la Révolution, la commune de Coucy-le-Château porte le nom de Coucy-la-Montagne[21].
L'histoire de la ville de Coucy est intimement liée au château. Le nom de Coucy n'est pas connu avant les premières années du Xe siècle. Les territoires de la ville et du château faisaient partie du domaine des archevêques de Reims.
Un premier château fut construit vers l'année 920 par l'archevêque Hervé de Reims. Sa position exceptionnelle le fit convoiter par les plus puissants seigneurs de la région. Herbert de Vermandois, son gendre Thibaut, comte de Blois, et d'autres encore, s'en emparèrent successivement, jusqu'à ce que l'archevêque de Reims, Odalric, en régularisât la possession à Eudes Ier de Blois, fils de Thibaut. Celui-ci finit par le recevoir en fief, moyennant un cens de 60 sous (994).
Les descendants (?) de ce dernier, Robert et Albéric, furent ses successeurs. Albéric, dans la deuxième moitié du XIe siècle, fut sans doute le premier mari d'Ade de Marle et Coucy, qui suit et autour de laquelle s'organisa la succession.
Le domaine fut acquis vers 1085, par Enguerrand Ier de Coucy[22] († vers 1118), surnommé « de Boves », parce qu'il possédait la seigneurie de Boves, la plus importante du comté d'Amiens qui lui appartenait également (1085-1116). Son mariage avec Ade de Marle, fille de Létard (ou Létaud) de Roucy, le firent sire de Coucy, Marle, La Fère, Vervins, etc. Vers 1104, Enguerrand Ier prit pour maîtresse Sibylle de Château-Porcien, femme séparée depuis 1102 du comte Godefroi Ier de Namur. Cette union devint la cause d'une guerre acharnée avec d'autres barons du Saint-Empire romain germanique. À la suite d'un accord, Enguerrand Ier garda Sibylle. De son premier mariage, il eut un fils Thomas dit « de Marle ». Ils participèrent l'un et l'autre à la première croisade.
Du vivant de son père, Thomas se fit une position indépendante. Sa seconde femme, Ermengarde de Montaigu, lui apporta en dot le château de ce nom, dont il fit une forteresse très hostile pour tous les seigneurs des alentours. À la suite de ses excès, la noblesse picarde vint l'y assiéger, avec l'aide de son père lui-même (1105). C'est alors que l'héritier du trône de France, le futur Louis VI le Gros, vint à son secours et força les alliés à lever le siège. Une lutte sanglante s'engagea à cette époque entre Enguerrand et son fils Thomas, laquelle dura jusqu'en 1113. À ce moment, une diversion se produisit, et Thomas prit parti pour son père dans ses vues sur les communes d'Amiens et de Laon. Le vidame d'Amiens soutint la lutte contre lui, le blessa dans un combat et réussit à en délivrer la commune. Louis le Gros s'empara sur ces entrefaites des deux châteaux de Crécy-sur-Serre et du Nouvion-et-Catillon en 1115, où Thomas avait donné asile aux Laonnois révoltés et fugitifs.
À la mort de son père en 1116, Thomas, devenu maître d'immenses domaines, se montra cruel et sans foi. Il entra en guerre contre le roi Louis VI qui lui enleva en 1117 la tour de Coucy et la réduisit à une soumission complète. Un assassinat commis sur Henri, seigneur de Chaumont-en-Vexin, des actes continuels de pillage firent encore recommencer la guerre. Il mourut en 1130, tué par surprise de la main même du comte Raoul Ier de Vermandois, frère d'Henri de Chaumont.
Après Thomas, ses domaines furent partagés entre ses fils Robert Ier, qui eut Boves, et Enguerrand II, l'aîné, qui eut Coucy. Ce dernier continua la guerre contre le roi qui avait assiégé La Fère pendant plusieurs mois. La résistance de cette place força le roi à traiter. Enguerrand alla à la croisade de 1146 et mourut en Terre sainte (entre 1147 et 1149, selon les sources).
Raoul Ier de Coucy, fils d'Enguerrand II, épousa successivement Agnès de Hainaut et Alix de Dreux, dont il eut Enguerrand III, son successeur dans la seigneurie de Coucy, Thomas, seigneur de Vervins, Robert, seigneur de Pinon et Raoul, évêque de Noyon. Après avoir accordé des chartes communales aux villes de Marle (1174) et de Vervins (1183), Raoul Ier mourut également en Terre sainte (1191).
La domination d'Enguerrand III, surnommé « le Grand », ou « le Bâtisseur », marque l'apogée de la maison de Coucy. Après une minorité pendant laquelle la ville de Coucy obtint de la veuve de Raoul une charte de commune, Enguerrand III, disposant de forces et de richesses considérables, chercha à imposer son autorité à toute la région. Affranchie en 1197 du pouvoir seigneurial, Coucy se protège, à partir du XIIIe siècle, grâce à son enceinte et à ses portes de Laon, de Chauny et de Soissons.
Enguerrand III ravagea les terres de l'Église de Reims (1200) et figura à Bouvines avec éclat. Par l'une des alliances qu'il contracta successivement, il devint le beau-frère de l'empereur germanique Othon IV. Accusé, non sans vraisemblance, d'aspirer à la couronne de France, il prit une part des plus actives aux luttes politiques et aux révoltes féodales qui se produisirent pendant la régence de Blanche de Castille, mère du roi Louis IX. C'est sous sa direction que furent bâtis en quelques années (vers 1225) les tours et le donjon de Coucy, les châteaux de Marle, de Saint-Gobain et de Folembray.
Il mourut à la suite d'un accident, en 1242. Une de ses filles, Marie de Coucy, épousa le roi Alexandre II d'Écosse.
Raoul II, son successeur, périt en 1250 à la bataille de Mansourah. Le frère de ce dernier, Enguerrand IV, qui fut alors appelé à lui succéder, est surtout connu par les mesures sévères dont il fut l'objet de la part du roi Louis IX, à la suite de plusieurs exécutions arbitraires, parmi lesquelles celle de trois jeunes clercs. Il mourut en 1311.
Enguerrand V de Guînes (1311-vers 1321/1324 ; fils du comte Arnould III et d'Alix de Coucy sœur d'Enguerrand IV), laissa la seigneurie à son fils Guillaume (1324-1333) qui ne signala son gouvernement par rien de remarquable.
Enguerrand VI (1333-1346) assista, sans pouvoir l'empêcher, à la dévastation de ses domaines par les Anglais en 1339, et fut tué au cours de la bataille de Crécy en 1346, laissant son héritage à un fils encore enfant qui fut Enguerrand VII, le dernier et aussi le plus illustre des membres de la dynastie des Coucy.
À la suite de la capture du roi Jean II le Bon, il est emmené par les Anglais en qualité d'otage à la cour d'Édouard III, il acquit une grande influence auprès de ce dernier, dont il épousa la fille Isabelle. Revenu ensuite à Coucy en 1368, il s'occupa de ramener la prospérité dans ses domaines dévastés et accorda une charte de franchise à Coucy en même temps qu'aux 21 villages qui en dépendaient. Il resta neutre quand la guerre reprit peu après entre la France et l'Angleterre. C'est alors qu'il se décida à partir pour l'Italie, dans le but d'y servir le pape, contre les Visconti de Milan. Il guerroya ainsi pendant quelque temps et imagina ensuite de revendiquer la couronne d'Autriche, sur laquelle il prétendait avoir des droits par sa mère Catherine d'Autriche, fille de Léopold Ier. Il ramassa dans toute la France et même en Angleterre tous les routiers disponibles et s'apprêta à engager la lutte contre son oncle. Après avoir ravagé cruellement l'Alsace, il fut battu en Suisse (1375). À son retour, la cour de France le chargea de plusieurs missions délicates. Rallié après la mort d'Edouard III, il prit part à la campagne de Flandre et à la tentative d'invasion de l'Écosse. À diverses reprises, le gouvernement de Charles VI l'employa dans des négociations diplomatiques importantes. En 1390, il assista les Génois dans leur expédition contre Tunis, au cours de laquelle il se signala par de nombreux exploits. Il fut l'un des chefs de l'armée envoyée contre Bajazet et les Turcs au secours de la Hongrie. Fait prisonnier au cours de la bataille de Nicopolis, il fut un des huit prisonniers épargnés et délivrés moyennant rançon (1397). Il mourut à Brousse, en Asie, peu après la dure captivité qu'il venait de subir.
Avec lui s'éteignit la puissante maison qu'il venait d'illustrer par ses multiples et lointaines expéditions, et qui avait été pendant 200 ans, sans contredit, une des plus puissantes familles du Nord de la France. Sa fille aînée et héritière Marie réussit à transmettre une partie de ses biens (La Fère, Saint-Gobain, Marle...) à ses descendants les Bar-le-Duc, les Luxembourg-Saint-Pol puis les Bourbon-Vendôme (jusqu'à Henri IV)... mais sans Coucy !
En effet la terre de Coucy fut vendue par sa fille Marie, veuve d'Henri de Bar-le-Duc, au duc Louis Ier d'Orléans en 1400. Celui-ci la fit ériger en pairie en 1404. Le domaine passa ensuite à son fils Charles. Il fut saisi en 1411, vendu à Philippe III, duc de Bourgogne en 1440, racheté encore en 1550. Louis II d'Orléans, roi de France sous le nom de Louis XII, réunit Coucy à la couronne et le concéda en apanage à sa fille Claude, femme du duc François d'Angoulême. Ce dernier, devenu le roi François Ier, le donna à titre d'apanage à son second fils Charles de Valois. Le domaine fut ensuite attribué comme douaire à Catherine de Médicis en 1562. Il passa en 1576 à Diane de France fille d'Henri II, et entra enfin dans la Maison d'Orléans-Bourbon (issue du frère de Louis XIV, Philippe duc d'Orléans) qui le garda, à titre d'apanage, jusqu'à la Révolution. César de Vendôme, fils d'Henri IV et oncle de Philippe d'Orléans, naquit à Coucy en 1594.
Au cours de la Première Guerre mondiale, l'armée allemande occupa le château de Coucy. Elle le dynamita au moment de le quitter en 1917.
Le samedi 6 avril 1918, les Allemands attaquent la VIe armée française dans la forêt de Coucy-le-Château, sur l’Ailette, et la prennent.
En 1921, les communes de Coucy-le-Château et d'Auffrique-et-Nogent sont fusionnées sous le nom de Coucy-le-Château-Auffrique[21].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
avant 1877 | après 1879 | Ferdinand Stanislas Bigot[23] | (né le 6 mai 1809 - 1890) notaire | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
(maire en 1981)[24] | 1983 | Roger Bigot | ||
1983 | 1995 | Michèle Lefèvre | ||
1995 | 2001 | Jacques Pinauldt | ||
mars 2001 | 2008 | Jean-Serge Simon | ||
mars 2008[25] | mai 2020 | Jean-Claude Dumont | PCF | Retraité Conseiller général (2001-2015) Réélu pour le mandat 2014-2020[26] |
mai 2020[27] | En cours (au 28 mai 2020) |
Sophie Boutroy |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].
En 2019, la commune comptait 992 habitants[Note 7], en diminution de 5,7 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,61 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
699 | 781 | 818 | 749 | 839 | 878 | 830 | 939 | 854 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
836 | 874 | 846 | 745 | 739 | 266 | 719 | 712 | 708 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
683 | 700 | 657 | 269 | 1 077 | 1 069 | 907 | 913 | 933 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 151 | 1 137 | 1 118 | 1 120 | 1 058 | 995 | 1 041 | 1 052 | 1 052 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 002 | 992 | - | - | - | - | - | - | - |
L'évolution démographique de Coucy-le-Château avant l'absorption d'Auffrique-et-Nogent était :
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
699 | 781 | 818 | 749 | 839 | 878 | 830 | 939 | 854 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
836 | 874 | 846 | 745 | 739 | 780[31] | 719 | 712 | 708 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
683 | 700 | 657 | 269 | - | - | - | - | - |
L'évolution démographique d'Auffrique-et-Nogent avant l'absorption par Coucy-le-Château était :
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
279 | 338 | 366 | 338 | 403 | 422 | 436 | 392 | 432 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
453 | 448 | 470 | 475 | 476 | 423 | 459 | 447 | 431 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
407 | 428 | 423 | 457 | - | - | - | - | - |
![]() |
Blason | Fascé de vair et de gueules de six pièces[41].
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---|---|---|
Détails | Blason adopté par la municipalité |
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