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Aubas [obas] est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Aubas

Vu depuis le coteau de l'Escaleyrou, le château de Sauvebœuf à Aubas.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Valène Dupuy
2020-2026
Code postal 24290
Code commune 24014
Démographie
Gentilé Aubasins
Population
municipale
622 hab. (2019 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 59″ nord, 1° 11′ 29″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 255 m
Superficie 17,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aubas
Géolocalisation sur la carte : France
Aubas
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Aubas
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Aubas
Liens
Site web www.aubas.fr

    Géographie



    Généralités


    À l'est du département de la Dordogne, la commune d'Aubas est située en Périgord noir.

    Le bourg d'Aubas est situé, en distances orthodromiques, trois kilomètres au nord-est de Montignac-Lascaux, et dix kilomètres au sud-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

    La route départementale 704 (l'ancienne route nationale 704) est la principale voie de communication de la commune, également desservie au nord-ouest par la route départementale 46.

    Au sud, le sentier de grande randonnée GR 461 traverse le territoire communal, sur un peu plus d'un kilomètre, entre Montignac et Saint-Amand-de-Coly.


    Communes limitrophes


    Carte d'Aubas et des communes avoisinantes en 2018.
    Carte d'Aubas et des communes avoisinantes en 2018.

    En 2019, Aubas est limitrophe de six autres communes.

    Communes limitrophes d’Aubas
    La Bachellerie,
    Auriac-du-Périgord
    Les Farges Condat-sur-Vézère
    Coly-Saint-Amand
    Montignac-Lascaux

    Géologie et relief



    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Aubas est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1]. Elle est dans le causse de Terrasson qui concerne quelques communes, au sud de Terrasson-Lavilledieu, sur les coteaux en rive gauche de la Vézère.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3b, date du Bathonien moyen, composée de calcaire oolithique blanc bioclastique avec parfois un calcaire fin à bancs marneux au sommet. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique d'Aubas.
    Carte géologique d'Aubas.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 68 m et 255 m[5],[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,53 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,18 km2[3].


    Hydrographie



    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Vézère et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[14],[Carte 1].

    La Vézère, d'une longueur totale de 211,2 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne  dont elle est l'un des principaux affluents  à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne[15],[16]. Elle traverse le territoire d'Aubas sur six kilomètres du nord au sud-ouest et, en deux endroits, lui sert de limite naturelle.


    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 904 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[25] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 28 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,7 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[31].


    Urbanisme



    Typologie


    Aubas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), prairies (3,1 %), zones urbanisées (2,8 %)[37].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].


    Villages, hameaux et lieux-dits


    Outre le bourg d'Aubas proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[38] :


    Prévention des risques


    Le territoire de la commune d'Aubas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1989, 1993, 1999 et 2001[41],[39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vézère », couvrant 16 communes et , puis révisé le , pour les crues de la Vézère. La crue historique la plus forte sur le secteur du PPRI pour laquelle des informations sont disponibles est la crue d’octobre 1960. Le débit de pointe de cette crue a été défini à 1 360 m3/s à Montignac, soit une période de retour d’environ 250 ans[42],[43].

    Aubas est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aubas.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aubas.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 15,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].


    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 9] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[51].


    Toponymie


    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ambas au XIIIe siècle, Aubas en 1365[52], Albacium en 1479.

    Le nom d'Aubas se référerait à un personnage d'origine gallo-romaine : Albatius ou Albasius[53],[54]. Selon Bénédicte Fénié, l'explication pourrait provenir d'aubars, correspondant aux saules blancs en occitan[55] ou du peuplier blancs, Populus alba en latin, Aubars en occitan que l'on retrouve aussi sous l'appellation Aube en français.

    En occitan, la commune porte le nom d'Aubàs[55].


    Histoire


    Plusieurs gisements préhistoriques ont été découverts sur le territoire communal[53].

    L'église a été bâtie au XIIe siècle[56].

    La première mention écrite connue du lieu apparait au XIVe siècle sous sa forme actuelle : « Aubas »[53].


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Dès 1790, la commune d'Aubas a été rattachée au canton de Montignac qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[57]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Homme.


    Intercommunalité


    Fin 2001, Aubas intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.


    Administration municipale


    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[58],[59].


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1953 mars 2001 Jean Burg PS Agriculteur
    Conseiller général du canton de Montignac (1979-1998)
    mars 2001 juillet 2020 Patrick Gourdon PS[60] Ambulancier
    juillet 2020[61] En cours Valène Dupuy   Conseillère en insertion[62]

    Juridictions


    Dans le domaine judiciaire, Aubas relève[63] :


    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    Les habitants d'Aubas se nomment les Aubasins[64].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[66].

    En 2019, la commune comptait 622 habitants[Note 10], en diminution de 1,89 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600605565629663677649654685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    690673617542578604591560547
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    519525515482503456506385346
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    363348348395458488587601627
    2017 2019 - - - - - - -
    609622-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie



    Emploi


    En 2015[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 295 personnes, soit 46,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (41) a augmentéé par rapport à 2010 (37) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,7 %.


    Établissements


    Au , la commune compte cinquante-quatre établissements[69], dont vingt au niveau des commerces, transports ou services, seize dans la construction, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et quatre dans l'industrie[70].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Voir aussi


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[50].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. « Réseau hydrographique d'Aubas » sur Géoportail (consulté le 15 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique d'Aubas » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Aubas », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    4. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Aubas », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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    15. « Confluence Vézère-Dordogne face au Port de Limeuil » sur Géoportail (consulté le 20 juillet 2022)..
    16. Sandre, « la Vézère »
    17. « SAGE Vézère-Corrèze », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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    22. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    [de] Aubas

    Aubas (okzitanisch: Aubàs) ist ein Ort und eine südwestfranzösische Gemeinde (commune) mit 622 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) in der alten Kulturregion des Périgord im Département Dordogne in der Region Nouvelle-Aquitaine.

    [en] Aubas

    Aubas (French pronunciation: ​[obas]; Occitan: Aubàs) is a commune in the Dordogne department in Nouvelle-Aquitaine in southwestern France.
    - [fr] Aubas



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