Ambarès-et-Lagrave[ɑ̃baʁɛs e laɡʁav] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Situation d'Ambarès-et-Lagrave au sein de Bordeaux Métropole.
Commune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, sur la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne, Ambarès-et-Lagrave est également située dans le nord de l'aire d'attraction de Bordeaux et dans son unité urbaine.
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers les lignes de bus 7, 90, 92, 93, Flexo 49.
En soirée, en plus de la ligne 7, la commune est desservie par le Flexo 50.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 13,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gervais», sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bordeaux-Mérignac», sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 16 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3°C pour la période 1971-2000[13], à 13,8°C pour 1981-2010[14], puis à 14,2°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ambarès-et-Lagrave est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[19] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (37,1%), zones agricoles hétérogènes (15,1%), prairies (12,8%), terres arables (12,5%), zones humides intérieures (10,1%), eaux continentales[Note 7] (5,2%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9%), forêts (3,2%), cultures permanentes (0,1%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ambarès-et-Lagrave est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[27]. Les crues significatives qui se sont produites au XXesiècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIesiècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1999, 2009, 2013 et 2021[29],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ambarès-et-Lagrave.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 5 440 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 5 440 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 84% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2009, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[32].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[34]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[35].
Toponymie
Le toponyme d’Ambarès est issu du nom du baron de Montferrand, Tizo de Barès.
Le toponyme de Lagrave vient du terme «grave», qui qualifie un sol dur et caillouteux, celui de la terrasse de Dordogne en bordure des marais de Montferrand[36].
En gascon, le nom de la commune est Ambarés e La Grava.
Histoire
Au XIIesiècle, la ville d’Ambarès faisait partie d'un immense domaine féodal comprenant une grande partie des marais de l’Entre-deux-Mers. Plus tard ce domaine devint Baronnie de Montferrand. L'ancienne paroisse d’Ambarès se trouvait à peu près entièrement sous la juridiction des seigneurs du Gua qui y prélevaient la dîme dès le XVesiècle. Le quartier de Lagrave est rattaché à la commune d’Ambarès en 1818[37], dont il avait été séparé sept à huit siècles plus tôt[réf.nécessaire].
Politique et administration
La commune d'Ambarès-et-Lagrave fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île dont elle devient le bureau centralisateur[38],[39]. Ambarès-et-Lagrave fait également partie de la métropole de Bordeaux.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Gironde.
Les habitants d'Ambarès-et-Lagrave sont appelés les Ambarésiens[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 9].
En 2019, la commune comptait 16 636 habitants[Note 10], en augmentation de 13,88% par rapport à 2013 (Gironde: +7,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 178
2 350
1 676
2 132
2 299
2 274
2 240
2 438
2 701
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 666
2 666
2 788
2 782
2 872
3 031
3 156
3 247
3 200
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 269
3 187
3 163
3 224
3 425
3 632
3 805
3 733
4 295
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
5 831
7 134
7 622
8 105
10 195
11 206
12 706
13 422
16 094
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
16 636
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique
La population d’Ambarès-et-Lagrave a plus que doublé entre 1962 et 1999. Cette importante augmentation de la population est probablement due à la proximité de la ville de Bordeaux.
Économie
Bien que le secteur tertiaire (services) soit majoritaire à Ambarès-et-Lagrave, la ville possède également de nombreux emplois dans l'industrie (secteur secondaire).
Répartition des actifs (2009, INSEE):
Secteurs
Ambarès-et-Lagrave (2009)
France entière (2009)
Agriculture (primaire)
1,6%
1,2%
Industrie (secondaire)
27,7%
21,0%
Services (tertiaire)
70,6%
77,8%
Taux de chômage: 9,8% (2009, INSEE)
Sports
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L’Association Sportive Ambarésienne (ASA) est une association omnisports créée en 1970 et régie par la loi du . Le siège social de l’association se situe au complexe sportif de Lachaze sur Ambarès-et-Lagrave.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre des XIeetXIIesiècles inscrite au titre des monuments historiques en 2002[49].
Église Notre-Dame-de-La-Grave, ancienne église de templiers des XIIeetXVIesiècles[50]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[50].
Château de Peychaud: seigneurie mentionnée depuis le XVIesiècle, appartenant à la famille de Fayet; l’ancien château est sans doute reconstruit vers 1680 puis au début du XVIIIesiècle, il comprenait alors le logis actuel flanqué au nord de parties agricoles; il fut remanié vers 1871 pour l'amiral Charles de Dompierre d'Hornoy, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874); il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1966[51].
Chapelle Saint-Denis, construite vers 1875 à l'emplacement d'une ancienne église ruinée, dans le style gothique tardif.
Château Beauséjour: logis sans doute reconstruit au milieu du XIXesiècle mais dépendances agricoles peut-être plus anciennes. L’ancienne maison était mentionnée Pouyau sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien.
Château Bellevue: maison sans doute reconstruite au milieu du XIXesiècle à l'emplacement de l'ancienne maison de plan en U mentionnée Puymanot sur la carte de Belleyme et le cadastre ancien. Transformé en école depuis 1980.
Château Saint-Denis: peut-être ancienne maison noble, non mentionnée comme telle sur la carte de Belleyme. Sans doute construite au XVIIesiècle pour la famille Pineau, selon un plan en U (modifié). Propriété du fils de l'acteur Louis Jouvet, vers 1940.
Manoir dit château Durandeau: ancienne maison noble de la famille Richon mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au XVIIesiècle puis reconstruit au XVIIIesiècle et largement restauré au milieu du XIXesiècle.
Manoir dit château de Formont: ancienne maison noble située sur l'un des sommets de l’extrémité de la presqu’île et mentionnée sur la carte de Belleyme. Édifice peut-être construit au début du XVIIIesiècle comme l’indiquait la date portée 1723 actuellement détruite.
Manoir dit château du Gua: ancienne maison noble des familles Laroque, Donissan, Pineau. Connue dès le début du XVesiècle et mentionnée sur la carte de Belleyme, la demeure est entièrement détruite et reconstruite en 1866.
Manoir dit château du Tillac: la maison noble de la famille Joly de Bonneau est sans doute construite au XVIIesiècle, peut-être à l’emplacement d’une ancienne demeure puisqu’elle est située sur un des sommets de l’extrémité de la presqu’île.
L'église Saint-Pierre (mars 2014).
Château Peychaud
La chapelle Saint-Denis (sept. 2011).
La chapelle Saint-Denis c 1900
Le monument aux morts devant la mairie (mars 2014).
Personnalités liées à la commune
Charles de Dompierre d'Hornoy (1816-1901), amiral français, ministre de la Marine et des Colonies (1873-1874) a été propriétaire du château de Peychaud.
Marc Oraison (1914-1979), né à Ambarès, prêtre et médecin.
Les membres du groupe musical Noir Désir ont enregistré une partie de leur premier album à Ambarès dans un local près de La Blanche (point d'eau), l'un des membres du groupe habitant à Ambarès.
Philippe Madrelle: il complète sa formation initiale pour devenir professeur des collèges; il enseigne l'anglais à Ambarès-et-Lagrave où il s'est installé.
Louis Luguet: cycliste professionnel
Ambarès-et-Lagrave autrefois
Héraldique
Les armes d'Ambarès-et-Lagrave se blasonnent ainsi:
D'azur au bâton cablé en barre d'argent accompagné en chef, d'un édifice conique du même ouvert, ajouré et maçonné de sable, senestré d'un lion léopardé contourné d'or et en pointe, d'un édifice d'argent couvert en dôme ouvert, ajouré et maçonné aussi de sable, flanqué de deux tours moins hautes aussi d'argent ouvertes et maçonnées de sable, aux deux clefs d'or, brochant en abîme, l'une en fasce contournée, le panneton vers le chef, l'autre en pal renversée, brochant sur la première, le panneton vers senestre.
Voir aussi
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[33].
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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