Saint-Louis-de-Montferrand est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
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Saint-Louis-de-Montferrand au sein de la Bordeaux Métropole.
Commune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, dans la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne et sur la rive droite de celle-ci, Saint-Louis-de-Montferrand est également située au nord-est de l'aire d'attraction de Bordeaux, à 17 km au nord de Bordeaux, chef-lieu du département et d'arrondissement[1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Ambès au nord, Ambarès-et-Lagrave à l'est et Bassens. Sur la rive gauche (ouest) de la Garonne se trouvent Blanquefort au sud-ouest, Parempuyre à l'ouest et Ludon-Médoc au nord-ouest.
Communes limitrophes de Saint-Louis-de-Montferrand[2]
La principale voie de communication routière, qui traverse l'est du territoire communal, est la route départementale D113, dite voie rapide Bassens-Ambès qui mène, vers le nord, à Ambès et, vers le sud, à Bassens et Lormont; la route départementale D10, quasiment parallèle à cette D113, traverse le village en longeant la rive droite de la Garonne; sur la D113, à environ trois kilomètres au nord-est du village, commence la route départementale D257 qui mène, vers l'est, à Saint-Vincent-de-Paul et au-delà à Cubzac-les-Ponts et à l'autoroute A10; le centre-ville d'Ambarès-et-Lagrave, au sud-est, peut être rejointe par la rue montferrandaise Roger-Espagnet et par les avenues ambarésiennes de Jourdane et Jules-Ferry.
L'accès à l'autoroute A10 (Paris-Bordeaux) le plus proche est le no41, dit d'Ambès - Saint-Vincent-de-Paul, qui se situe à 5 km vers l'est.
L'accès à la rocade de Bordeaux le plus proche est le no2, dit de Bassens - Carbon-Blanc et se situe à 11 km vers le sud.
Sur la ligne Coutras-Bordeaux du TER Nouvelle-Aquitaine, la gare SNCF la plus proche est celle de La Gorp, sur la commune d'Ambarès-et-Lagrave, distante de 5 km par la route vers le sud-est.
Transports en commun
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers les lignes de bus 90 et 91. En soirée, la commune est desservie par le Flexo 50.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 13,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gervais», sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bordeaux-Mérignac», sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 15 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3°C pour la période 1971-2000[13], à 13,8°C pour 1981-2010[14], puis à 14,2°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Louis-de-Montferrand est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Louis-de-Montferrand, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 161 habitants en 2019, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (27,5%), eaux continentales[Note 7] (26,2%), prairies (24,1%), zones urbanisées (12,1%), zones agricoles hétérogènes (4%), cultures permanentes (3,4%), forêts (2,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2%), zones humides intérieures (0,2%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Louis-de-Montferrand est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[27]. Les crues significatives qui se sont produites au XXesiècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIesiècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2010[29],[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Louis-de-Montferrand.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 783 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 783 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 84% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[32].
Toponymie
Dans la région de l'Entre-deux-Mers, existent plusieurs villages contenant le mot «Barès»: Ambarès-et-Lagrave et Sainte-Eulalie (qui fut d'Ambarès jusqu'à la fin du XIXesiècle): est-ce là l'origine des Barès, seigneurs de Montferrand? La terre de Montferrand (proche de Bassens) fut vendue en 1591 aux jurats de Bordeaux.
Le premier nom des Montferrand était Barès: Amanieu de Barès, écuyer et seigneur de Montferrand, nom mentionné dans un acte passé à Bordeaux au palais de l'Ombrière le ou 1243.
En gascon, le nom de la commune est Sent Loís de Mont Ferrand.
Histoire
Le berceau de la famille de Montferrand était la Guyenne; seigneurs, hauts-justiciers d'une des baronnies les plus importantes du Bordelais et, en cette qualité, admis aux premiers rangs de la noblesse; on voit les aînés de cette maison, durant plusieurs générations, porter seuls le nom de Barès, suivi aussitôt du qualificatif de Montferrand. Les cadets ne retiennent que ce dernier nom. Mais depuis Bertrand II de Montferrand, allié en 1365 à Rose d'Albret, c'est-à-dire depuis le XIVesiècle, le nom de Barès disparaît pour faire entièrement place à celui de Montferrand. Les dignitaires qui nous sont connus sont les suivants:
Amaubin Ier de Barès, seigneur de Montferrand, sénéchal de Lannes, gouverneur du comté de Bigorre (1242-1271), marié à Gaillarde de Castillon.
Bertrand II de Montferrand (1354-1410) chevalier banneret allié à Rose d'Albret, fille d'Amanieu d'Albret, seigneur de Langoiran et de Podensac
Bertrand III de Montferrand (1409-1435), gouverneur de Marmande allié à Marguerite d'Astarac, puis à Isabeau de Preissac. Seigneur de Langoiran
Bertrand IV de Montferrand (1435-1474), conseiller, chambellan du duc de Guyenne et Seigneur de Langoiran, marié vers 1450 à Jeanne de Luxe.
Gaston Ier de Montferrand conseiller et chambellan du roi de France, gouverneur de Bourg, sénéchal de Bazadais (1471-1504), seigneur de Langoiran épousa Jeanne de Maingot de Surgères.
Pierre Ier de Montferrand (1513-1547) capitaine d'une compagnie d'hommes d'armes, marié vers 1508 à Marie de Carmain et de Foix.
Charles II de Montferrand, gouverneur de Bordeaux, seigneur de Langoiran, mort en 1574, épousa sa cousine Marguerite de Montferrand.
Guy de Montferrand dit «Langoiran» (frère cadet de Charles II) mort en . Un des chefs du parti protestant en Bordelais et en Périgord.
Pierre II de Montferrand, dit de Lesparre, gouverneur de Blaye, décapité à Poitiers en 1454.
François IV de Montferrand dit de Lesparre, premier panetier du duc de Guyenne, marié vers 1470 à Yolande Carion.
Enfin, parmi les descendants de sainte Jeanne de Lestonnac, il faut citer son propre fils:
François IV de Montferrand, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, et capitaine de chevau-légers, allié en 1600 à Marguerite de Cazalis.
Et le petit-fils de sainte Jeanne de Lestonnac:
Bernard de Montferrand, enseigne des gendarmes de la Reine, marié en 1647 à Delphine de Pontac[33].
Et l’arrière-petite-fille de sainte Jeanne de Lestonnac:
Marie Christine de Montferrand, épouse du sénéchal du Cubzacais, Jean-Nicolas Escudero de Guiral.
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Montferrand[34] en omettant la partie à connotation catholique de son nom.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Saint-Louis-de-Montferrand appartient à l'arrondissement de Bordeaux et au canton de la Presqu'île depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015[35],[36]. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Lormont.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Alain David (PS).
Intercommunalité
Saint-Louis-de-Montferrand appartient à Bordeaux Métropole (anciennement Communauté urbaine de Bordeaux). Avec Ambès, elle est la seule commune qui fait partie de la métropole mais pas de l'agglomération de Bordeaux.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[37].
Responsable de gestion Conseillère métropolitaine déléguée
Les données manquantes sont à compléter.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Gironde.
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Démographie
Les habitants de Saint-Louis-de-Montferrand sont appelés les Montferrandais[44].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].
En 2019, la commune comptait 2 161 habitants[Note 8], en augmentation de 3,3% par rapport à 2013 (Gironde: +7,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
981
625
606
693
721
730
686
735
727
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
694
709
774
804
746
746
822
848
871
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
832
705
668
673
696
726
731
611
721
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
993
1 165
1 078
1 340
1 808
1 864
2 008
2 052
2 092
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 149
2 161
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Economie et industrie
La commune est le siège social et lieu de l'usine-mère du groupe Kapla, depuis sa fondation en 1987 (env. 8 M€ de chiffre d'affaires annuel)[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Domaine de Margarance, demeure du XVIIIesiècle inscrite au titre des monuments historiques en 1966[49].
Le Bousquet, immeuble construit durant la première moitié du XIXesiècle inscrit au titre des monuments historiques en 1966[50].
Domaine de la Seiglière, demeure des XVIIIeetXIXesiècles inscrite au titre des monuments historiques en 1987[51].
Château Peyronnet, édifice construit en 1826 à la demande du comte Pierre-Denis de Peyronnet, ministre de la Justice et de l'Intérieur, inscrit au titre des monuments historiques en 2005[52].
Domaine de la Palanque
Église Saint-Louis, caractérisée par son clocher de style néo-byzantin. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[53].
Monument aux morts devant la mairie: un cénotaphe érigé en l'honneur des morts des Première et Seconde Guerres mondiales.
Le domaine de Margarance (sept. 2012)
L'immeuble du Bousquet (sept. 2012)
Le domaine de la Seiglière (sept. 2012)
Le château Peyronnet (sept. 2012)
L'église Saint-Louis (mars 2014)
La nef de l'église Saint-Louis (mars 2014)
Le monument aux morts (mars 2014)
Personnalités liées à la commune
Comte Pierre-Denis de Peyronnet (1778-1854), ministre de la Justice et de l'Intérieur, propriétaire du château Peyronnet, y a vécu ses dernières années et y est mort.
Héraldique
Les armes de Saint-Louis-de-Montferrand se blasonnent ainsi:
Tiercé en barre, au premier de gueules à la colombe contournée essorante d'argent tenant dans son bec un rameau d'olivier de sinople, au deuxième d'azur à l'alose d'argent, au troisième d'or à la grappe de raisin de gueules tigée et vrillée de sinople
Voir aussi
Bibliographie
A. Communay, Notice sur la maison de Montferrand, dans Archives historiques du département de la Gironde , 1888, p.VIII-XV, 344-519(lire en ligne)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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