Ludon-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine). En particulier, elle est reconnue pour sa production viticole, ses élevages équins, et sa tonnellerie à l'antique savoir-faire[2].
Pour les articles homonymes, voir Médoc (homonymie).
Articles connexes: Géographie de la Gironde et Médoc.
Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le Médoc à une vingtaine de kilomètres au nord de Bordeaux.
La commune de Ludon-Médoc est constituée d'un marais de 300 hectares dont 150 appartiennent à la commune sous le nom du « communal » servant aux agriculteurs pour le bétail.
80 hectares appartiennent à la fédération départementale des chasseurs au domaine de Pachan et la surface restante appartient à des propriétaires privés, le marais de rigaud.
La totalité de ce marais est alimentée en eau par un système hydraulique depuis la Garonne.
En 2015, la municipalité a lancé un plan de reconquête du marais communal.
Le nom de Ludon vient d'un ancien Ludedon (1294, 1326). Il est vraisemblablement basé sur un radical prélatin lut-[3], généralement associé à la notion de « marais »[4], élargi d'une terminaison -eton non usuelle (les toponymes en -on s'analysent pour beaucoup comme des noms de domaine basés sur le nom de leur propriétaire (période historique); d'autres seraient des formations prélatines[5]).
Hydrographie
La Garonne arrose l'est de la commune. On note aussi la présence de deux cours d'eau mineurs: la Mouline et l'Aygue Longue[1].
Contre la Garonne, le marais de Ludon appartient au vaste marécage qui couvre les communes de Ludon, de Parempuyre, de Blanquefort et de Bruges. L'assainissement de cette importante étendue de terre et d'eau fut initié à la fin du XVIesiècle par les ingénieurs Conrad Gaussens et Humphrey Bradley[2]. Au moyen de canaux de drainage, d'écluses et de hautes digues, son assèchement permit de rendre les terres cultivables; les aménagements du grand marais nord de Bordeaux préservent toujours la ville des crues du fleuve[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gervais», sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[12] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bordeaux-Mérignac», sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 16 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,3°C pour la période 1971-2000[16], à 13,8°C pour 1981-2010[17], puis à 14,2°C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Ludon-Médoc est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].
Elle appartient à l'unité urbaine de Ludon-Médoc, une unité urbaine monocommunale[22] de 5 131 habitants en 2019, constituant une ville isolée[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (32,3%), terres arables (16,4%), cultures permanentes (16,4%), zones urbanisées (12,6%), zones agricoles hétérogènes (9,9%), eaux continentales[Note 7] (4,8%), forêts (4,6%), zones humides intérieures (3%)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Ludon-Médoc est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[30]. Les crues significatives qui se sont produites au XXesiècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIesiècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1999, 2009, 2018 et 2020[32],[28].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ludon-Médoc.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,1% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 832 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 832 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 84% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[35].
Histoire
Dès le XIesiècle, l'existence du village est attestée par une donation faite en la paroisse de Ludon en l'an 1122[1].
Les bords de Garonne, jadis très proches du village, étaient jalonnés de châteaux. Ceux-ci jouaient le rôle d'avant-postes pouvant alerter les habitants de Bordeaux des éventuels attaquants et dangers arrivant par le fleuve[1].
Si l'on ne possède pas de traces antérieures au XIesiècle, deux indices permettent toutefois d'envisager une occupation humaine très ancienne: la proximité de la voie antique qui reliait Burdigala à Noviomagus[Note 8], et l'évocation par Ausone, poète latin du IVesiècle, du peuple des Meduli, ancêtres éponymes de la région[1]. Peut-être les fouilles archéologiques entreprises sur l'ancienne motte de Cante-Merle apporteront-elles un éclairage nouveau.
À partir du XVIIesiècle, Ludon-Médoc doit sa richesse à la culture de la vigne et du blé, ainsi qu'à l'élevage des chevaux. En particulier, on y note la présence de plusieurs écuries de course au début du XXesiècle.
En 2014, le Maire Benoit SIMIAN achète le château d’Arche pour y installer la Mairie de Ludon-Médoc et réaliser des travaux d’extension de l’école Maternelle.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Gironde.
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En le Maire Benoit SIMIAN est élu député de la Gironde, il est frappé par la règle du non cumul des mandats, il confie qu’a 34 ans il n’a à aucun moment envisagé sa succession.
En , le Maire qui lui a succédé essuie 10 démissions et Benoit SIMIAN décide de ne pas se représenter pour ne pas rajouter du désordre au désordre.
Liste des maires
Liste des maires de 1792 à 1944
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1792
1800
Jean Calamin
1800
1813
Jean Brousse
1813
1816
Jean de Pommier
1816
1821
Pierre Desmirail
1821
1830
Jacques Bertrand d'Audebar
1830
1831
Jean Baptiste Casterat
1831
1840
Godefroy Labarthe
1840
1841
Jean Baptiste Casterat
1841
1848
Jean Gabriel Aimé Richier
1848
1848
Joseph Jules Labarthe
1848
1853
Jacques Mond
1843
1870
Joseph Jules Labarthe
1870
1872
Georges Duchesne
1872
1875
Joseph Jules Labarthe
1875
1882
Jean Gabriel Richier
1882
1887
Jean Goubineau
1887
1902
Jean Gabriel Richier
1902
1920
Honoré Renetaud
1920
1931
Paul Duchesne
1931
1938
Marcel Laroza
1938
1941
Charles Pineau
1941
1942
François Léon Bordessoule
1942
1944
Pierre Paule
Liste des maires depuis 1944
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1944
1974
André Hertig
1974
1977
René Cricq
1977
mars 2014
Joseph Forter
PS
mars 2014
septembre 2017
Benoît Simian
PS puis LREM
Cadre RH SNCF Député de la Gironde depuis 2017
septembre 2017 puis octobre 2018
En cours
Philippe Ducamp
DVG
Proviseur, conseiller départemental depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 5 131 habitants[Note 9], en augmentation de 18,83% par rapport à 2013 (Gironde: +7,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 008
924
887
954
997
1 052
1 070
1 112
1 093
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 146
1 141
1 158
1 193
1 267
1 325
1 338
1 406
1 441
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 417
1 411
1 273
1 238
1 114
1 073
1 022
988
1 089
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 256
1 504
1 656
2 297
2 837
3 327
3 818
3 958
4 318
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 934
5 131
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Au XXesiècle, Ludon-Médoc connaît un essor démographique considérable, sa population passant du simple au triple de 1954 à 1999, puis atteindre 4 160 habitants en 2010. Aujourd'hui, si la population agricole diminue au profit des employés et des ouvriers, le territoire de la commune conserve néanmoins un caractère agricole dominant[1].
Économie
Appellation haut-médoc.
Église Saint-Martin de Ludon
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin, de conception romane, datant du XIeou duXIIesiècle[1]. Ce sont probablement les guerres de religion qui entraînèrent sa fortification, avec la construction d'un mâchicoulis au XVeou auXVIesiècle. Au XIXesiècle, le clocher se verra coiffé d'un toit à l'impériale prolongé d'une fine flèche couverte de plomb[2]. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[40].
La mairie, bâtiment en pierres de taille et doté de tourelles, datant du XIXesiècle, est l'une des demeures de caractère de cette époque les mieux conservées de la commune[1]. L'une des tourelles possède un toit-terrasse et est munie d'une plaque marquée « La Providence »[1]. Le , la mairie nouvellement installée fut inaugurée par M. Laurent Fabius[1], président de l'Assemblée nationale. Depuis le ce bâtiment accueille la maison de la culture regroupant l'école de musique municipale et la bibliothèque municipale.
La mairie se situe depuis septembre 2015 dans le bâtiment du Château d'Arche inauguré par le maire et son conseil municipal, en présence de nombreuses personnalités politiques locales.
Le château d'Agassac;
Le château Bacalan, chartreuse inscrite aux Monuments Historiques depuis 1994 et caractéristique par son environnement de dépendances agricoles, son niveau unique aux élévations modestes et les petits appartements situés aux extrémités du logis;
Le château La Lagune, chartreuse à escalier de pierre orné de fer forgé donnant sur un parc arboré;
Le domaine Lemoyne-Nexon, dont la chartreuse bâtie au XVIIIesiècle est un modèle du genre en Bordelais, disposant d'un seul niveau d'habitation, légèrement surélevé par une cave en soubassement, et s'ouvrant côté jardin par un avant-corps orné d'un fronton sculpté[2];
Le moulin de Poulet est un moulin à eau, anciennement attaché à la seigneurie d'Agassac. Il existait déjà au XIVesiècle, mais pourrait être bien plus ancien. À l'intérieur se trouve une meule et à l'extérieur les déversoirs contournant le moulin[41];
La tonnellerie Nadalié, installée à Ludon depuis 1943[1];
Les haras du Phalot: dans ce domaine du début du XXesiècle étaient dressés des chevaux destinés aux courses de l'hippodrome du Bouscat et de Maisons-Laffitte[1];
La rue Lafont.
Château La Lagune.
Château d'Agassac.
La providence.
Maisons.
Château Paloumey.
Le château d'Arche, qui a été acheté par la municipalité ludonnaise le , accueille aujourd'hui l'hôtel de Ville.
Personnalités liées à la commune
Le baron Astolphe de Nexon (1817-1876)[1], éleveur de chevaux et viticulteur[42],[43].
Le baron Robert de Nexon (1892-1967)[1], président de la Maison Chanel, éleveur de chevaux et viticulteur[42],[43]
Claude Richier député de la Gironde en 1848
Benoit SIMIAN élu député de la Gironde en 2017
Héraldique
Blason
Écartelé: au 1er d'argent au château de gueules flanqué de deux tourelles girouettées du même, ouvert, ajouré et maçonné de sable, au 2e de sinople à la vache d'or, colletée et clarinée de gueules, au 3e de sinople au cep de vigne d'or, sur son échalas du même et fruité de cinq pièces de gueules, trois à dextre et deux à senestre, au 4e d'argent au fût de canon de gueules posé en pal; sur le tout, d'azur à la fleur de lys d'or et à la bordure d'argent[44].
Détails
Création de Yan de Siber adoptée par la municipalité en 1975.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
François Vatar de Jouannet avait confondu cette voie traversant Blanquefort avec la Lébade, plus centrale.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Paul Duchesne a étudié l'histoire de sa commune et a consigné le résultat de ses recherches dans l'ouvrage intitulé: Les chroniques de Ludon-en-Médoc[1].
Références
Le Patrimoine des Communes de la Gironde - Tome 1, Flohic Éditions, Octobre 2001, p. 179 à 180 (ISBN2-84234-125-2).
Plein Ciel sur le Médoc - Médoc from the Skies, de Michel Berger et Sophie Boisseau, Berger M. Éditions, 2008, p.249 à 253 (ISBN2-912850-19-3).
Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402p. (ISBN978-2-35068-012-5)..
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1reéd. 1963), 738p. (ISBN2-85023-076-6)..
Gerhard Rohlfs, Le Gascon: Études de philologie pyrénéenne, Tübingen; Pau, Verlag Max Niemeyer; Marrimpouey Jeune, coll.«Beihefte zur Zeitschrift für romanische Philologie», , 2eéd. (1reéd. 1935), 252p. (ISBN9783484520257 et 3484520256, OCLC3345494, lire en ligne)..
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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