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Bassens (prononcé [basɛ̃s]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Bassens

Entrée dans Bassens en arrivant de Lormont,
côté Garonne.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Alexandre Rubio
2020-2026
Code postal 33530
Code commune 33032
Démographie
Gentilé Bassenais
Population
municipale
7 472 hab. (2019 )
Densité 727 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 05″ nord, 0° 30′ 59″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 56 m
Superficie 10,28 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lormont
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bassens
Géolocalisation sur la carte : France
Bassens
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Bassens
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bassens
Liens
Site web www.ville-bassens.fr

    On y trouve l'une des composantes du port de Bordeaux, le terminal de Bassens.


    Géographie



    Localisation


    Bassens est une commune Girondine de l'Entre-deux-Mers[1], en rive droite de la Garonne, dans l'aire d'attraction de Bordeaux et son unité urbaine[2],[3].

    Limites administratives de la commune.
    Limites administratives de la commune.

    Aux alentours


    Les communes les plus proches sont Carbon-Blanc (km), Lormont (km), Sainte-Eulalie (km), Ambarès-et-Lagrave (km), Yvrac (km), Artigues-près-Bordeaux (km), Cenon (km), Saint-Louis-de-Montferrand (km), Saint-Vincent-de-Paul (km) et Saint-Loubès (km)[4].

    Communes limitrophes de Bassens[3]
    Blanquefort Saint-Louis-de-Montferrand Ambarès-et-Lagrave
    Bordeaux               La Garonne Carbon-Blanc
    Lormont

    Géographie physique


    La commune s'étend sur plus de 10 km2 (1 028 hectares)[5], avec une partie basse à l'ouest et au nord, et un plateau à l'est ; la Garonne délimitant sa partie ouest[3],[6]. L'altitude varie de 2 à 56 mètres[5]. Le plateau est la chaîne calcaire qui s'étend sur la rive droite, et qui se termine à Bassens[7].

    Bassens se trouve sur les unités paysagères de l'agglomération bordelaise[8], agglomération qui s'étend sur vingt kilomètres d'est en ouest, et du bec d'Ambès[9], confluence de la Dordogne et de la Garonne.

    La commune de Bassens peut être soumise aux crues de la Garonne, pour les zones situées près du fleuve : elle fait partie du SPPPI, le syndicat mixte pour la protection contre les inondations de la presqu'île d'Ambès[10].


    Voies de communication et transports



    Voies de communication

    La mise en service, en 1967, du pont suspendu d'Aquitaine a facilité considérablement les liaisons vers le centre de Bordeaux.


    TER Nouvelle-Aquitaine

    Gare de Bassens.
    Gare de Bassens.

    La ville possède une gare (gare de Bassens) située sur la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean et desservie par le TER Nouvelle-Aquitaine. La gare est desservie par la ligne 16 Bordeaux-Angoulême[11].


    Réseau TBM

    Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers la ligne A du tramway de Bordeaux, qui a son terminus tout au sud de la commune, ainsi que par les lignes de bus 7, 90, 91, 92 et 93. En soirée, en plus de la ligne 7, la commune est desservie par le Flexo 50.


    Réseau Trans Gironde

    Le réseau de transports TransGironde ne dessert pas la commune[12].


    Réseau cyclable

    Il a fait l'objet d'une étude de l'A'urba en 2009[13].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bordeaux-Paulin », sur la commune de Bordeaux, mise en service en 1952[20] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[21],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 854,6 mm pour la période 1981-2010[22]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 12 km[23], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[24], à 13,8 °C pour 1981-2010[25], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[26].


    Urbanisme



    Typologie


    Bassens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[27],[28],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[30] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[33],[34].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (65,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (39,9 %), zones urbanisées (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), eaux continentales[Note 7] (9,8 %), prairies (6,4 %), cultures permanentes (4,3 %), terres arables (1,6 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Bassens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].


    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[38]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[39]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1987, 1999, 2009 et 2013[40],[36].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[41]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bassens.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bassens.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 133 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 133 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43],[Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].


    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[44].


    Toponymie


    Formes anciennes du nom : Bassenxs, Bacenxs ou Bassenx au XIVe siècle[45],[46], Bassens en 1793 et 1801, Bassens-Carbon-Blanc entre 1806 et 1853, puis Bassens[47]. Le nom du lieu provient de Bassing (domaine de Basso), de Basso et du suffixe -ing indiquant une propriété[46].

    Gentilé : les habitants de la commune sont appelés Bassenais, Bassenaise[6].


    Histoire


    Les premiers habitats, préhistoriques et gallo-romains, se concentrent autour de l'église et le long de la Garonne. L'ancienne voie romaine vers Blaye, le "chemin de la Vie" traversait les marais, d'après l'érudit F. Jouannet. Léo Drouyn en a donné des coupes et des plans[48]. Une nécropole mérovingienne a été redécouverte sur le site de l'église Saint-Pierre[49].

    Bassens subit l'influence économique de la ville de Bordeaux dès l'Antiquité[50],[51].

    Au Moyen Âge, c'est le siège de la baronnie de Montferrand[52]. On y cultive la vigne[50]. Un four de tuilier médiéval a été découvert en 1887 au château Pommerol[53].

    Bassens est un lieu de résidence de parlementaires et négociants bordelais. Nobles, bourgeois, négociants et armateurs bordelais y font construire de belles demeures aux XVIIIe et XIXe siècles[50],[52].

    Entre 1801 et 1806, la commune est réunie à celle de Carbon-Blanc sous le nom de Bassens-Carbon-Blanc. Les deux communes sont séparées en 1853[54],[47].

    Le port est aménagé au début du XXe siècle : la construction de quais verticaux reliés à la voie ferrée Bordeaux-Paris est effectuée en 1915. Ces quais sont équipés de dix postes de navire et d'une vingtaine de grues[55].

    Au cours de la Première Guerre mondiale, l'armée américaine s'implante dans la partie basse de Bassens pour y construire un nouveau port : à ce niveau de la Garonne, le site peut accueillir des installations portuaires en eaux profondes (chenal de 11 m). Elle y réalise un appontement en 1917 pour le débarquement de ses troupes et de son matériel : 8 000 Sammies font les trois-huit pour développer le « New Bassens », un appontement formé de deux estacades réunies par une passerelle pour dix postes d'accostage. Le quai américain comporte des docks et des camps ainsi qu'un hangar frigorifique. Les installations accueillent près de 700 navires jusqu'en 1919. Certaines de ces infrastructures sont encore utilisées de nos jours[55],[56],[52].

    Des quais en maçonnerie sont édifiés entre 1925 et 1930 : des entrepôts pour les produits pétroliers et des hangars pour les bois coloniaux y sont construits.

    Dans les années 1980 un remaniement général modifie la disposition des postes d'accostages. Un bassin de radoub est établi à la Baranquine.


    Politique et administration



    Administration municipale


    Hôtel-de-ville de Bassens.
    Hôtel-de-ville de Bassens.

    La commune a été érigée en municipalité en 1793[47]. Le conseil municipal est composé de 29 élus[57], et comprend huit adjoints[58].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1791 Jacques Lassegue[59]    
    1791 1792 Elie Payraud[60]   Boulanger puis agriculteur et propriétaire
    (...)        
     ?   M. Mayaudon[61]   Médecin
    (...)        
    1922 1925 Madeleine Cormier    
    (...)        
    1965 1977 Henri Chassaing PCF Ouvrier
    1977 1988
    (décès)
    Jacques Étourneaud
    (1933-1988)
    PS  
    1988 mars 2001 Jean Priol[62] PS  
    mars 2001 mai 2020 Jean-Pierre Turon[63] PS Retraité de l'enseignement
    mai 2020[64] En cours Alexandre Rubio PS Conseiller métropolitain délégué

    Politique de développement durable


    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[65].


    Politique environnementale


    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[66].


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 en Gironde.

    Intercommunalité


    Bassens au sein de la Bordeaux Métropole.
    Bassens au sein de la Bordeaux Métropole.

    La commune est intégrée à l'établissement public de coopération intercommunale de Bordeaux Métropole[67].

    La piscine intercommunale est gérée par le syndicat intercommunal Bassens/Carbon-Blanc[68].


    Autres circonscriptions


    Situation du canton de Lormont dans l'arrondissement de Bordeaux en 2014.
    Situation du canton de Lormont dans l'arrondissement de Bordeaux en 2014.

    La commune de Bassens fait partie jusqu'en 2014 du canton de Lormont de l'arrondissement de Bordeaux. Dans le cadre de la réforme territoriale, entrée en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, un nouveau découpage territorial pour le département de la Gironde est défini par le décret du 20 février 2014. Bien qu'il soit remodelé, la commune demeure dans le canton de Lormont[69],[70].


    Instances judiciaires


    Il n'y a pas d'administration judiciaire sur la commune. Le Tribunal d'instance, le Tribunal de grande instance, le Tribunal pour enfants, le Tribunal de commerce, le Conseil des prud'hommes et le Tribunal paritaire des baux ruraux se trouvent à Bordeaux, de même que la Cour d'appel, la Cour d'assises, le Tribunal administratif et la Cour administrative d'appel[71].


    Jumelages


    Bassens a développé des associations de jumelage avec[72],[73] :

    •  Kleinostheim (Allemagne) depuis 1980 ;
    •  Bassens, Savoie (France) depuis 1982 ;
    •  Suances (Espagne) depuis 1992.
    Bassens (73)
    Suances
    Kleinostheim

    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[74]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[75].

    En 2019, la commune comptait 7 472 habitants[Note 8], en augmentation de 6,88 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 1651 9101 8901 8391 9001 8941 8691 8531 996
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1441 1931 2591 2811 2411 2281 2021 2161 172
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2141 1641 1571 9412 5892 4552 3092 1942 967
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 3964 8416 1336 5956 4726 9786 6946 6186 991
    2018 2019 - - - - - - -
    7 4047 472-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[76].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    Située dans l'académie de Bordeaux, on trouve plusieurs établissements scolaires à Bassens : l'école maternelle du Bousquet, l'école maternelle Frédéric-Chopin, l'école primaire Rosa-Bonheur, l'école primaire François-Villon et le collège Manon-Cormier[77].

    Les lycées sont sur la commune voisine de Lormont[78],[79].


    Manifestations culturelles et festivités


    Bassens adhère au Grand projet des villes de la rive droite (avec Cenon, Floirac et Lormont)[80] géré par un groupement d'intérêt économique (GIE) et, à ce titre, participe notamment à trois manifestations culturelles intercommunales :

    Bassens propose tous les ans une animation dans le cadre de la manifestation intercommunale Presqu'île en page, organisée par le syndicat intercommunal à vocation culturelle (SIVOC)[84].

    La médiathèque anime tout au long de l'année scolaire la manifestation de lectures partagées Entre mots, entre nous, en partenariat avec les établissements scolaires ainsi que les structures petite enfance, enfance et jeunesse de la ville[85].


    Santé


    Quatre médecins généralistes exercent sur la commune, ainsi que six chirurgiens-dentistes[86], des infirmiers et des kinésithérapeutes. Les habitants disposent également sur place d'un laboratoire d'analyse de biologie médicale[87].

    Le centre hospitalier le plus proche se situe sur l'agglomération bordelaise, c'est le centre hospitalier universitaire de Bordeaux, réparti sur trois sites dont celui de Bordeaux (groupe hospitalier Saint-André)[88].

    On trouve également une résidence pour seniors et deux maisons de retraite[89] ; trois familles d’accueil sont conventionnées[90] par le conseil départemental de la Gironde.


    Sports


    On trouve plusieurs installations sportives sur la ville de Bassens : les terrasses du Bousquet, qui comprend une salle omnisports de 1 141 m2, la plaine des sports Griffons-Séguinaud, qui comprend plusieurs installations dont une piste d'athlétisme et un gymnase, une piscine intercommunale, gérée par le syndicat intercommunal Bassens/Carbon-Blanc, deux plateaux d'évolution, l'un de 1 250 m2 et l'autre de 1 575 m2, le terrain multisports Prévert et celui de Beauval, etc[68].


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    La médiane du revenu disponible par unité de consommation était en 2012 de 18 178 , pour 20 388  sur le département. 60 % des foyers fiscaux étaient imposables, pour 65 % sur le département[91].


    Tissu économique


    Sur 531 établissements présents sur la commune à fin 2012, 1 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 63 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[91].

    On trouve sur la commune un port et une zone industrielle. Cette zone industrialo-portuaire est l'un des sites d'activités économiques de l'agglomération bordelaise[92]. Au titre du projet d'aménagement et de développement durable (PADD) de l'ancienne communauté urbaine de Bordeaux, le territoire de l'agglomération est identifié comme site d'intérêt métropolitain[93].


    Zone portuaire


    Déconstruction de la Jeanne d'Arc, août 2015.
    Déconstruction de la Jeanne d'Arc, août 2015.

    Situé sur la rive droite de la Garonne, le port, dit terminal de Bassens, est l'une des composantes du port de Bordeaux[55].

    En 2012, la cale sèche du port de Bassens est devenue le premier site français de démantèlement de grands navires marchands[94]. Le premier navire à y être démantelé est le Matterhorn, un cargo de 115 mètres. La création de ce site par une filiale de Veolia Environnement est issue de la volonté française, au moment du Grenelle Environnement, de mettre en place sa propre capacité de déconstruction de grands navires marchands, activité jusqu'ici inexistante en Europe de l'Ouest, les vieux bateaux étant expédiés dans d'autres régions (à 90 % en Asie du Sud) où le démantèlement est opéré dans de mauvaises conditions environnementales et sociales. En octobre 2014, le navire école la Jeanne d'Arc est amené au port pour y être déconstruit par les entreprises Bartin Recycling et Petrofer société nouvelle, filiales du groupe Véolia[95],[96],[97]. En juin 2016, c'est au tour du croiseur Colbert d'être accueillit à Bassens pour être démantelé[98].


    Zone industrielle


    On trouve plusieurs activités sur la zone industrielle de Bassens, comme de la production de caoutchouc synthétique (Michelin)[99] ou de la production de tourteaux d'huile de tournesol (Saipol)[100].

    De par les activités qui se trouvent sur la zone, la commune est dans le périmètre de risques technologiques[101]. La ville a mis en place un comité de veille et un plan communal de sauvegarde (PCS)[102].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Plusieurs édifices de la commune[103] sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[104] :


    Équipements culturels


    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    La construction de la médiathèque date de 1995. Elle a été réaménagée en 2013 (600 m2)[130], a été dotée d'un espace public numérique (EPN) labellisé Netpublic et d'une salle de spectacle de 80 places.


    Patrimoine environnemental


    Bassens adhère au projet de fil vert du parc des Coteaux reliant plusieurs communes de la rive droite[131], intégré à la Boucle verte de Bordeaux Métropole[132].


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Les armes de Bassens (Gironde) se blasonnent ainsi :

    D'argent au navire de gueules et d'azur, habillé et pavillonné d'or, ouvert de six sabords aussi d'azur, voguant sur une champagne du même, chargée d'un croissant d'or surmonté d'une grappe de raisin de gueules feuillée de sinople, au chef aussi de gueules chargé d'un léopard aussi d'or armé et lampassé aussi d'azur.



    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[17].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    [de] Bassens (Gironde)

    Bassens ist eine französische Stadt im Département Gironde in der Region Nouvelle-Aquitaine. Die Gemeinde liegt im Einzugsgebiet der Stadt Bordeaux. Während Bassens im Jahr 1962 noch über 3396 Einwohner verfügte, zählt man aktuell 7.472 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019). Die Gemeinde wird durch Buslinien der TBC erschlossen.

    [en] Bassens, Gironde

    Bassens (French pronunciation: ​[basɛ̃s]) is a commune in the Gironde department in southwestern France.
    - [fr] Bassens (Gironde)



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