Viterbe ou Vitèrba en occitan est une commune française située dans l'ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.
Pour les articles homonymes, voir Viterbe (homonymie).
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de la mouline et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Viterbe est une commune rurale qui compte 360 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Viterbois ou Viterboises.
Géographie
Localisation
Viterbe est située dans le Tarn entre Lavaur et Castres.
La superficie de la commune est de 651 hectares; son altitude varie de 119 à 162mètres[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de la mouline, le ruisseau d'en Gary et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier de Viterbe.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 13,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lavaur», sur la commune de Lavaur, mise en service en 1985[11]et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 724,9 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Albi», sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 30 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,4°C pour 1981-2010[15] à 13,8°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou»[18], d'une superficie de 17 144ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[19].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[20]:
les «rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn» (1 364ha), couvrant 24 communes du département[21].
Urbanisme
Typologie
Viterbe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (70%), zones agricoles hétérogènes (15,2%), prairies (10,2%), zones urbanisées (4,6%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Viterbe est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1995, 1996, 1999 et 2013[28],[25].
Viterbe est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Viterbe.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 162 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 143 sont en en aléa moyen ou fort, soit 88%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 8]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[35].
Toponymie
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Histoire
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Haute-Garonne.
Son blasonnement est: De sinople aux deux bandes d'argent, au chef du même.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2019, la commune comptait 360 habitants[Note 9], en augmentation de 1,41% par rapport à 2013 (Tarn: +2,07%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
289
243
333
340
384
410
413
430
462
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
426
407
398
401
397
404
362
324
322
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
316
322
297
245
227
262
299
294
278
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
263
254
258
223
234
254
330
352
355
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
362
360
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Service public
Enseignement
Viterbe fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture
Activités sportives
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 151 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 352 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 340 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 218 personnes, parmi lesquelles on compte 79,8% d'actifs (67,9% ayant un emploi et 11,9% de chômeurs) et 20,2% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 54 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 149, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,9%[I 10].
Sur ces 149 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 9% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% les transports en commun, 2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
24 établissements[Note 12] sont implantés à Viterbe au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,7 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 24 entreprises implantées à Viterbe), contre 13% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans le Lauragais tarnais, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département du Tarn[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (23 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 456ha[43],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Jean-Baptiste de Viterbe.
Personnalités liées à la commune
Viterbe est aussi connue pour être le lieu de le plus ancien dans le Tarn de présence de la famille Mathieu qui aura ensuite des branches en région Castraises, Albigeoise, Carlusienne, Trébas, Lisle sur Tarn.
Cette famille trouve des racines jusqu'au 13ème siècle, puisque les états notariaux nous sont connus et font part à plusieurs reprises de transactions concernant les frêres Mathieu dont le lieu d'habitation pourrait être la paroisse de Saint-Paul (Cap de Joux):
"Déjà le 1er octobre 1366 (Sannery notaire), avait eu lieu une autre relaxation plus importante, celle des biens dépendant des deux chapelles fondées par Mathieu, le propriétaire pour partie du moulin de Viterbe et comprises dans l'acte d'union. Le revenu de la première était gagé par la propriété d'une partie du moulin, celui de la seconde, par la propriété de 11 maisons et de 10 jardins situés — au barri de Porta Tholosana — à Saint-Paul, et de 2 autres jardins sis à Porta Tholosana. En outre de cette relaxation Jehan Marfert, héritier de Bernard Mathieu, faisait don au Chapitre de 50 florins — pour ayder aux affaires affin que soient tenus prier pour les âmes des trépassés. — Le donateur se réservait le droit de patronat. (1) Voir Revue, tome XII, p. 361 à 374."[44]
Plusieurs mentions préalables font référence à Raymond ou Ramond Mathieu, notaire à Cambon: "...lnst. du 14 mai 1305. Ramond Mathieu, not. à Cambo (Cambon)....", "...des ides de juillet 1296, Raymond Mathieu, not. à Cambo"[45]
Bernard Mathieu et Raymond Mathieu serait en fait la même personne, propriétaire en partie du moulon de Viterbe: "...Sébilhe Guilabert, reconnaît devoir à Ramond Mathieu (quelquefois prénommé Bernard), 25 setiers de blé sur l'arrentement du moulin de Viterbe..."[46]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[34].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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