Cambon-et-Salvergues[kɑ̃.bɔ̃esal.vɛʁ.ɡə] est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie. Située au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune a la particularité d'avoir le point culminant du département de l'Hérault (1 152 m) au sommet de l'Espinouse[1].
La commune est limitrophe du département du Tarn. Elle se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Cambon-et-Salvergues est une commune rurale qui compte 49 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 615 habitants en 1872. Ses habitants sont appelés les Cambonais ou Cambonaises.
La commune est située sur les monts de l'Espinouse.
Hydrographie
Elle est arrosée par l'Agout.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 8,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1998 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records CAMBON-ET-SALVERGUES (34) - alt: 906 m 43° 37′ 12″ N, 2° 51′ 36″ E Statistiques établies sur la période 1998-2010 - Records établis sur la période du 01-10-1998 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
−0,9
−0,9
0,9
3,2
7
10,5
11,1
11,5
8,4
6,7
1,7
−0,6
4,9
Température moyenne (°C)
2,3
2,5
5,1
7,6
11,8
16
17,1
17,3
13,7
10,6
5
2,8
9,4
Température maximale moyenne (°C)
5,6
5,9
9,3
11,9
16,6
21,6
23,1
23,2
19
14,4
8,4
6,1
13,8
Record de froid (°C) date du record
−13,2 30.01.04
−15,1 05.02.12
−16,5 01.03.05
−5 14.04.21
−3 07.05.19
−1,1 04.06.01
3,3 17.07.00
4 27.08.12
−1 20.09.12
−6,1 25.10.03
−12,2 22.11.1998
−13,3 18.12.10
−16,5 2005
Record de chaleur (°C) date du record
18 26.01.16
22 27.02.19
22,4 23.03.01
25,6 09.04.11
29,2 29.05.01
34,1 21.06.03
34 21.07.15
35,9 12.08.03
30 14.09.20
26,5 02.10.11
22 02.11.20
19,9 15.12.1998
35,9 2003
Précipitations (mm)
155,5
128,7
99
139,6
108,8
62,3
39,3
65,1
115,5
193,5
189,5
180,8
1 477,6
Source: «Fiche 34046005» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].
Quatre espaces protégés sont présents sur la commune:
«la Peyroutarié, le Fourcat d'Héric et le Mascar», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 323,2ha[11];
le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[12]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[13],[14];
l'«Espinouse», une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 185,8ha[15];
Le Caroux-Espinouse, une réserve nationale de chasse et de faune sauvage d'une superficie de 1 693,9ha[16].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[18]:
«le Caroux et l'Espinouse», d'une superficie de 2 316ha, un site remarquable par sa position intermédiaire entre les domaines atlantique, continental et méditerranéen. Il accueille les tourbières les plus méridionales du Massif central[19]
la «montagne de l'Espinouse et du Caroux», d'une superficie de 3 392ha, connue pour la diversité des formations végétales et pour sa grande faune, en particulier le mouflon introduit avec succès il y a plusieurs décennies, son intérêt ornithologique est moins connu[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Six ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21]:
les «gorges d'Héric» (1 587ha), couvrant 3 communes du département[22];
et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21]:
le «massif de l'Espinouse» (20 035ha), couvrant 19 communes du département[28].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Cambon-et-Salvergues.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cambon-et-Salvergues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[I 1],[30].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (71,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,1%), prairies (11,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3%), zones agricoles hétérogènes (1,9%)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cambon-et-Salvergues est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Cambon-et-Salvergues est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[34].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cambon-et-Salvergues.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 132 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 111 sont en en aléa moyen ou fort, soit 84%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1997, 2006 et 2014.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cambon-et-Salvergues est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[37].
Toponymie
L'appellation de la commune est composée de deux noms.
« Cambon » a le sens de coude, méandre, remonte probablement à l'époque gauloise. On trouve: S. Petri de Cambonis vers 1182 (aujourd'hui Saint-Pierre de l'Espinouse), mansis de Cambon vers 1500[38], Cambon en 1604[39],[40].
«Salvergues» provient du nom de famille latin Salvius suivi du suffixe -anicis, { référence à un domaine gallo-romain. La nom de la commune est mentionnée « Salberguettes » en 1378 et 1655, « Saubergues » en 1680, « Salbergues » et « Salbreguetes » en 1770[41].
Le nom occitan est Cambon e Salvèrgas[kan.'buesal.'βɛr.ɣo̞s].
Histoire
Plan cadastral napoléonien (1832).Salvergues.
La commune a été créée le (B.L. 1869, XXXIII-238) à partir de sections distraites des communes de Saint-Julien (Cambon, Combecroze et Valbonne) et de Mons (Salvergues, la Gorge, La Calmette, le Crouzet et le Bardou).
Le Bardou est à nouveau aujourd'hui sur le territoire de Mons.
Sous l'Ancien Régime, la commune appartenait au diocèse de Saint-Pons-de-Thomières. La paroisse de Saint-Pierre-et-Saint-Paul à Cambon était une annexe de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Fraisse-sur-Agout. La paroisse de Saint-Pierre-de-l'Espinouse a été fermée à la Révolution. Les hameaux de Salvergues et Salverguettes dépendaient officiellement de la paroisse de Saint-Étienne à Murat-sur-Vèbre, mais ses habitants suivaient plutôt les offices de Saint-Pierre-de-l'Espinouse. Une église a été construite à Salvergues vers 1860 pour remplacer l'église en ruine de Saint-Pierre-de-l'Espinouse.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].
En 2019, la commune comptait 49 habitants[Note 8], en diminution de 12,5% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
615
601
584
563
547
479
431
433
405
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
267
245
217
219
169
148
135
120
94
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
2019
-
77
69
74
94
97
60
52
49
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 27 personnes, parmi lesquelles on compte 59,3% d'actifs (44,4% ayant un emploi et 14,8% de chômeurs) et 40,7% d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 19 emplois en 2018, contre 18 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 12, soit un indicateur de concentration d'emploi de 156,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 34%[I 8].
Sur ces 12 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 92% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 25% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 41,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 33,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
15 établissements[Note 10] sont implantés à Cambon-et-Salvergues au [I 11].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 46,7 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 15 entreprises implantées à Cambon-et-Salvergues), contre 6,7% au niveau départemental[I 12].
La commune est dans les «Plateaux du Sommail et de l'Espinouze», une petite région agricole occupant une frange nord-ouest du département de l'Hérault[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 422ha[49],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Statues-menhirs de Foumendouïre et de Salverguettes ;
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Cambon;
Église Notre-Dame-de-l'Espinouze de Salvergues;
Vestiges de l'Église de Saint-Pierre de l'Espinouse;
Chapelle Saint-Martin-du-Froid (pèlerinage le ).
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Cambon
Église Notre-Dame-de-l'Espinouze de Salvergues
Vestiges de l'Église de Saint-Pierre de l'Espinouse
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
écartelé, au premier et au quatrième d'or à la cotice de gueules, au deuxième d'azur à la marmite d'or, au troisième aussi d'azur aux trois croissants entrelacés d'argent.
Voir aussi
Bibliographie
Rémi Azemar, «La station préhistorique de plein air de Crouza, commune de Cambon», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no9, , p.5-22
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
cités dans: Guy Bechtel, Pièces sur l'histoire de Colombières-sur-Orb
cité dans: Sahuc, Inventaire des archives de Saint-Pons
Ernest Nègre, «Cambon, Chambon en France», Nouvelle revue d'onomastique, nos9-10, , p.145-149 (lire en ligne, consulté le )
Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol (appendice, pages 369 à 384), Toponymie de l'Hérault: Dictionnaire topographique et étymologique, Millau, Éditions du Beffroi et Études Héraultaises, , 18p., in-8° (lire en ligne[PDF]), p.7 et (lire en ligne) [PDF], p. 13. (consulté le ).
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