Fraisse-sur-Agout[fʁaj.səsyʁa.gut] (en occitanFraisse d'Agot['fɾaj.sed‿a.'ɣut]), orthographiée localement Fraïsse-sur-Agoût[1], est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les fraïssignols (los Fraissinhòls)[2].
Pour les articles homonymes, voir Fraisse (homonymie) et Agout (homonymie).
Fraisse-sur-Agout
L'Agout, le village, le clocher de Saint-Jean-Baptiste.
Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire Mandat
Jim Ronez 2020-2026
Code postal
34330
Code commune
34107
Démographie
Gentilé
fraïssignol
Population municipale
343 hab. (2019 )
Densité
5,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 36′ 25″ nord, 2° 47′ 54″ est
Altitude
Min. 435 m Max. 1 111 m
Superficie
58,46 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives
Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Fraisse-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte: France
Fraisse-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte: Hérault
Fraisse-sur-Agout
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Fraisse-sur-Agout
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par, l'Arn, le ruisseau de Bureau, le ruisseau de Saillens, le ruisseau du Cros et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «vallée de l'Arn») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Fraisse-sur-Agout est une commune rurale qui compte 343 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 590 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Fraïssignols ou Fraïssignoles.
Le village a obtenu quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris de France[3].
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département du Tarn et située dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 9,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cambon-et-Salvergues», sur la commune de Cambon-et-Salvergues, mise en service en 1998[10] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,4°C et la hauteur de précipitations de 1 477,6 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 57 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[14], à 14,1°C pour 1981-2010[15], puis à 14,5°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[19]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[20],[21].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «vallée de l'Arn»[23], d'une superficie de 1 456ha, dont le site est réduit au lit mineur du cours d'eau, concerne trois espèces aquatiques: Loutre, Moule perlière et Écrevisse à pattes blanches[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25]:
le «lac du Saut de Vézoles» (89ha), couvrant 3 communes du département[26];
les «bois, landes, pelouses et zones humides des environs du lac du Laouzas» (7 053ha), couvrant 5 communes dont deux dans l'Hérault et trois dans le Tarn[30];
le «massif de l'Espinouse» (20 035ha), couvrant 19 communes du département[31];
le «massif du Somail» (23 004ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[32].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Fraisse-sur-Agout.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Fraisse-sur-Agout est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[I 1],[34].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (64,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,8%), prairies (10,2%), zones agricoles hétérogènes (2,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2%), eaux continentales[Note 8] (0,5%)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Fraisse-sur-Agout est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout, l'Arn et le ruisseau de Bureau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 1997, 1999, 2011, 2014 et 2017[38],[36].
Fraisse-sur-Agout est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[39].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fraisse-sur-Agout.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 49,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 372 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 332 sont en en aléa moyen ou fort, soit 89%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Fraisse-sur-Agout est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[42].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes: ecclesiam S. Joannis de Frayssa (940), ecclesiam S. Joannis de Fracxis (vers 1182), Fraxino (1308), etc[43].
Le nom de la commune provient du mot occitan «fraisse» désignant le frêne.
Le , Fraisse prend le nom de Fraisse-sur-Agout[44].
L'orthographe historique et officielle de la commune est «Fraisse», conformément à l'écriture de l'occitan. On trouve cependant très souvent l'écriture «Fraïsse» qui permet de rappeler la prononciation exacte du nom si on suit les règles de la phonétique du français.
Histoire
Fraisse faisait partie du diocèse de Saint-Pons-de-Thomières. La paroisse est placée sous le patronage de saint Jean-Baptiste. La paroisse de Saint-Pierre-et-Saint-Paul à Cambon-et-Salvergues était une annexe de la paroisse de Saint-Jean-Baptiste.
Héraldique
Blason
D'azur au frêne d'argent surmonté de trois fleurs de lys d'or, à la bordure cousue de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Vue générale de Fraisse-sur-Agout.Le monument aux morts, l'entrée de l'église et la mairie
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1953
novembre 1965 (démission)
Roger Rolet
SFIO
Ingénieur des services agricoles de l’Hérault, directeur des études de l’école nationale d’agronomie de Montpellier
1965
1995
Paul Bacou
PS
mars 1995
mars 2014
Marguerite Mathieu
DVG
Présidente de la communauté de communes de 2008 à 2014
mars 2014
mai 2020
André Bacou
REG
Retraité de l'enseignement
mai 2020
En cours
Jim Ronez
Exploitant agricole
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[45].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].
En 2019, la commune comptait 343 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
932
1 090
1 322
1 268
1 410
1 447
1 590
1 588
1 505
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 410
1 399
1 385
1 333
1 283
1 211
1 179
1 045
984
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
912
881
823
662
622
558
538
428
349
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
356
294
270
266
249
322
357
363
346
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
340
343
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 139 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 284 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 800 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 185 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2% d'actifs (63,4% ayant un emploi et 10,8% de chômeurs) et 25,8% d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 82 en 2013 et 84 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 122, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,3%[I 10].
Sur ces 122 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 55% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 13,8% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
22 établissements[Note 13] sont implantés à Fraisse-sur-Agout au [I 13].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,8 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 22 entreprises implantées à Fraisse-sur-Agout), contre 28% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Fraisse possède encore quelques fermes. Surtout élevage en extensif. Vente directe de viande biologique (bœuf, veau). Les forêts sont exploitées pour leur bois.
La commune est devenue un lieu de détente, et de promenades pour les citadins. L'Agout attire les pêcheurs à la ligne.
Agriculture
La commune est dans les «Plateaux du Sommail et de l'Espinouze», une petite région agricole occupant une frange nord-ouest du département de l'Hérault[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 24 en 2000 puis à 27 en 2010[52] et enfin à 20 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 62% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[53],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1351 ha en 1988 à 1453 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 25 à 73 ha[52].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Menhir de Picarel.
Fraisse-sur-Agout Prat Alaric
Prat d'Alaric en 2019
Château de Les Sierres (ruines)
Carte postale de la cascade du moulin (1922)
Église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste de Fraisse-sur-Agout
Église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste à Fraisse-sur-Agout[54];
Église de la Nativité-de-Notre-Dame de Lignières-Hautes;
Site inscrit du Prat Alaric, ferme couverte par un toit de genêts, suivant la méthode traditionnelle;
Menhir du Col de la Bolo, gravé d'une crosse d'évêque;
Nombreuses statues-menhirs;
Gravures rupestres de la Serre du Cambaïssy;
Château de Les Sierres, PC du Maquis la Tourette, résistance 1939-1945;
Col de Fontfroide (972 m).
Monument aux morts construit en hommage aux soldats tués durant la Première Guerre mondiale
Personnalités liées à la commune
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault: Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415p. (ISBN2-904624-00-7, lire en ligne), p.164
Claude Motte, Paroisses et communes de France: Dictionnaire d'histoire administrative et démographique - Hérault, Paris, CNRS, , 490p. (ISBN2-222-04293-3, BNF36636193), p.214, B.L. 1895, L-397
Pierre Azais, «Trois menhirs dans la paroisse de Fraisse (Hérault)», Bulletin du Comité de l'Art chrétien, no12, , p.198-205 (lire en ligne)
Rémi Azemar, «Les stations préhistoriques du Saut de Vésoles, communes de Fraïsse-sur-Agout et de Prémian», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no11, , p.23-34
Robert Guiraud, «Trois stèles de la commune de Fraisse-sur-Agout», Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no14, , p.113-119
Michel Maille, «Découverte de la statue-menhir du Col de la Frajure, Fraïsse sur Agout (Hérault)», Archéologie en Languedoc, no30, , p.297-302
Albert Privat, Histoire de Fraïsse-sur-Agoût, [La Salvetat-sur-Agoût ], [Communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc héraultais], coll.«Mémoire de la Montagne du Haut Languedoc Héraultais», [1998], 53p.
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Fraisse-sur-Agout (1650-1865) [0,60 ml]. Cote: 107 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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