Mons [mɔ̃s] ou Mons-la-Trivalle [mɔ̃s la tʁivalə] (en occitan Mònts ['mɔns]) est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie. La commune se situe dans le canton de Saint-Pons-de-Thomières.
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Mons | |
![]() Les vallées du Jaur et de l'Orb | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Béziers |
Intercommunalité | Communauté de communes du Minervois au Caroux |
Maire Mandat |
Arielle Escuret 2020-2026 |
Code postal | 34390 |
Code commune | 34160 |
Démographie | |
Gentilé | Trivallois |
Population municipale |
627 hab. (2019 ![]() |
Densité | 28 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 34′ 20″ nord, 2° 57′ 22″ est |
Altitude | Min. 117 m Max. 1 054 m |
Superficie | 22,32 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Olargues (ville-centre) |
Aire d'attraction | Bédarieux (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orb, le Jaur, l'Héric, le Rec Grand, le ruisseau du Pontil et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Caroux et l'Espinouse »), un espace protégé (l'« Espinouse ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Mons est une commune rurale qui compte 627 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 481 habitants en 1846. Elle est ville-centre de l'unité urbaine d'Olargues et fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux. Ses habitants sont appelés les Monstrivalois ou Monstrivaloises.
Mons se situe au confluent de la vallée de l'Orb et de celle du Jaur, au sud du massif de l'Espinouse.
Mons est une commune française comptant 605 habitants. Possédant un patrimoine riche en faune et en flore, situé au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc, au pied du Caroux et à l'entrée des gorges d'Héric. De nombreuses randonnées permettent de découvrir les beaux points de vue ; depuis la table d'orientation du Caroux on aperçoit la Mer Méditerranée, les Pyrénées...
Ses tuiles qui indiquent le midi Languedocien et ses maisons du sud offrent au soleil d'un jaune canari leur rare beauté.
Cambon-et-Salvergues | Rosis | Saint-Martin-de-l'Arçon |
Saint-Julien | ![]() |
Colombières-sur-Orb |
Olargues | Vieussan | Les Aires |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Berlou », sur la commune de Berlou, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,2 °C et la hauteur de précipitations de 908,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 59 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Caroux et l'Espinouse »[20], d'une superficie de 2 316 ha, un site remarquable par sa position intermédiaire entre les domaines atlantique, continental et méditerranéen. Il accueille les tourbières les plus méridionales du Massif central[21].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] :
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] :
Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[I 1],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Olargues, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[I 2] et 2 458 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), cultures permanentes (8,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Mons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Orb, le Jaur et le ruisseau d'Héric. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 1996, 1997, 2011, 2013, 2014 et 2018[33],[31].
Mons est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[34].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[35]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 39,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 577 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 445 sont en en aléa moyen ou fort, soit 77 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 10] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[40].
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[41]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[42].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Mons est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[43].
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Les armes de Mons-la-Trivalle se blasonnent ainsi : d'azur, à une tour posée sur un mont entre deux montagnes et surmontée d'un croissant, le tout d'argent.[44].
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Mons s'écrit en occitan Mònts
Ses habitants sont appelés les Trivallois.
Le , la commune, ainsi que celle de Saint-Julien, cède une partie de son territoire communal pour la création de la commune de Cambon-et-Salvergues[45], à savoir les sections de Salvergues, la Gorge, la Calmette, le Crouzet.
Le hameau Bardou au nord du village, presque abandonné et partiellement en ruines dans les années 1960, a été reconstruit depuis.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1790 | 1794 | Augustin Hortala | ||
1794 | 1799 | Pierre Vidal | ||
1799 | 1800 | François Jamme | ||
1800 | 1809 | Pierre-Jean Massot | ||
1809 | 1815 | Jacques Roger | ||
1815 | 1817 | Pierre-Léon Massot | ||
1817 | 1841 | Jean-Barthélémy Hortala | ||
1841 | 1848 | François Jamme | ||
1848 | 1870 | Pierre-Jean Massot | ||
1870 | 1871 | Joseph-Auguste Hortala | ||
1871 | 1878 | Fortuné Roger | ||
1878 | 1888 | Joseph-Auguste Hortala | ||
1888 | 1900 | Sylvain Lauze | ||
1900 | 1912 | Jules Bouttes | ||
1912 | 1918 | Henri Taurines | ||
1918 | 1944 | Alphonse Lauze | ||
1944 | 1973 | Marcel Roger | ||
1973 | 1983 | Pierre Granier | ||
1983 | 2001 | Pierre Azéma | ||
2001 | 2005 | Richard Hugoy | ||
2005 | 2014 | Alain Ringal | ||
2014 | En cours | Arielle Escuret | SE | Professeure |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[47].
En 2019, la commune comptait 627 habitants[Note 11], en augmentation de 8,1 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 164 | 1 124 | 1 222 | 1 350 | 1 466 | 1 477 | 1 458 | 1 481 | 1 404 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 344 | 1 266 | 1 230 | 967 | 933 | 889 | 904 | 830 | 790 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
713 | 711 | 703 | 627 | 626 | 643 | 612 | 558 | 495 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
629 | 440 | 455 | 514 | 519 | 507 | 538 | 547 | 581 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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579 | 627 | - | - | - | - | - | - | - |
La baisse importante de population entre le recensement de 1866 et celui de 1872 est due à la cession, en 1869, d'une partie du territoire communal pour la création de la commune de Cambon-et-Salvergues.
En 2018, la commune compte 327 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 646 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 490 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 9,5 % | 13,7 % | 11,8 % |
Département[I 10] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 323 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 13],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 87 emplois en 2018, contre 110 en 2013 et 123 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 208, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,8 %[I 13].
Sur ces 208 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
78 établissements[Note 14] sont implantés à Mons au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 78 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 5,1 % | (6,7 %) |
Construction | 17 | 21,8 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 27 | 34,6 % | (28 %) |
Information et communication | 1 | 1,3 % | (3,3 %) |
Activités immobilières | 3 | 3,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 11 | 14,1 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 7 | 9 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 8 | 10,3 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,6 % du nombre total d'établissements de la commune (27 sur les 78 entreprises implantées à Mons), contre 28 % au niveau départemental[I 17].
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 63 | 38 | 10 | 11 |
SAU[Note 17] (ha) | 377 | 148 | 78 | 91 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 63 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] à 38 en 2000 puis à 10 en 2010[53] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 83 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[54],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 377 ha en 1988 à 91 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 8 ha[53].
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