Exposée à un climat méditerranéen, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (les «gorges de l'Hérault» et les «hautes garrigues du Montpelliérais») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Viols-le-Fort est une commune rurale qui compte 1 228 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les violiens ou violiennes et anciennement violifortennes et violifortins.
Géographie
Carte du territoire communal.
Viols-le-Fort se situe dans le Sud de la France au nord de la ville de Montpellier (Hérault, 34) dans la région Occitanie.
Communes limitrophes et proches
Communes limitrophes de Viols-le-Fort (Distances: à vol d'oiseau / par la route)[1]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 13,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 7,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Martin de Londres», sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[7]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montpellier-Aéroport», sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 14,7°C pour la période 1971-2000[11], à 15,1°C pour 1981-2010[12], puis à 15,5°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15]:
les «gorges de l'Hérault», d'une superficie de 21 736ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[16]
les «hautes garrigues du Montpelliérais», d'une superficie de 45 444ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30% des effectifs régionaux[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18]:
les «bois dolomitiques des Matelettes» (243ha), couvrant 2 communes du département[19] et
les «mares de Cazarils et de Caunas» (415ha), couvrant 3 communes du département[20]
et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[18]:
les «garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais» (16 219ha), couvrant 17 communes du département[21];
le «massif des gorges de l'Hérault et de la Buège» (21 342ha), couvrant 17 communes du département[22];
les «Pic-Saint-Loup et Hortus» (11 816ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[23].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Viols-le-Fort.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Viols-le-Fort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 1],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (77,1%), zones agricoles hétérogènes (8%), zones urbanisées (5,3%), cultures permanentes (4%), forêts (3,9%), mines, décharges et chantiers (1,8%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Viols-le-Fort est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Pallas et le ruisseau de la Calade. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[29],[27].
Viols-le-Fort est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Viols-le-Fort.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 515 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 257 sont en en aléa moyen ou fort, soit 50%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Toponymie
L'origine du nom de « Viols-le-Fort » et de ses villageois reste un mystère[33].
Les habitants de la commune sont parfois nommés les siffleurs. L’origine de ce surnom est lié à la façon de prononcer le nom du village par laquelle la lettre « s » de Viols est sonore. Le bulletin d'information de la municipalité s'appelle d'ailleurs « Lou Sifflaïre de Viols » en hommage à ce sobriquet qui a traversé les âges[33].
Histoire
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Héraldique
Les armoiries de Viols-le-Fort se blasonnent ainsi: «D’azur à un Saint Étienne de carnation, vêtu en diacre, l’aube d’argent et la dalmatique de gueules bordée d’or, tenant d’une main une palme aussi d'or et de l’autre trois cailloux d'argent ensanglantés aussi de gueules».
La version actuelle est plus colorée que celle attribuée d'office par d'Hozier en septembre 1700: «D’azur à un Saint-Étienne de carnation, vêtu en diacre, tenant en sa dextre une palme et en sa senestre trois cailloux, le tout d’or».
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 1 228 habitants[Note 10], en augmentation de 3,72% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
722
563
790
974
1 102
1 047
998
943
982
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
903
838
784
766
775
725
706
727
716
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
703
686
617
611
601
580
497
338
340
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
371
358
412
493
670
852
1 010
1 054
1 184
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 220
1 228
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
Le Tambourin Club de Viols-le-Fort (TCVLF) porte les couleurs de la commune en balle au tambourin. L'équipe fanion masculine du TCV évolue en Nationale 1, la premiere division nationale de la discipline.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 500 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 198 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 400 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 807 personnes, parmi lesquelles on compte 75% d'actifs (69,1% ayant un emploi et 5,8% de chômeurs) et 25% d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 223 emplois en 2018, contre 206 en 2013 et 188 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 564, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5%[I 10].
Sur ces 564 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 115 travaillent dans la commune, soit 20% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8% les transports en commun, 5,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
152 établissements[Note 13] sont implantés à Viols-le-Fort au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
152
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
15
9,9%
(6,7%)
Construction
20
13,2%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
27
17,8%
(28%)
Information et communication
9
5,9%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
2
1,3%
(3,2%)
Activités immobilières
4
2,6%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
25
16,4%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
35
23%
(14,2%)
Autres activités de services
15
9,9%
(8,1%)
Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23 % du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 152 entreprises implantées à Viols-le-Fort), contre 14,2% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40]:
Nouvelles Carrieres Du Pic ST Loup, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (5 621 k€);
Batir, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (1 916 k€);
Transports Pic Saint Loup, transports routiers de fret de proximité (915 k€).
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (33 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 147ha[43],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Porte du Fanabregol (ou Fabregol): clocher situé au cœur du village;
Église de l'Invention-de-Saint-Étienne de Viols-le-Fort;
Dolmen de la Draille.
Galerie
Vue de la façade de l'église de l'Invention-de-Saint-Étienne.
Vue du fort.
Vue de la Porte Fabregol.
Vue d'un côté latéral du fort.
Vue des remparts.
Affiche de la fête de plein air [1945-1955].
Survolez une image pour afficher sa légende; survolez la légende pour l'afficher en entier si elle est tronquée.
Personnalités liées à la commune
Père André Soulas (1808-1857).
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Pierre Casado, Paysans et seigneurs au Mas-de-Londres et à Viols-le-Fort, au XVIesiècle: ou la dénonciation de l'oppression seigneuriale, Viols-le-Fort, IOTA, , 77p.
Pierre Casado, «Origine et histoire des noms de lieux, abrégé méthodologique: un cas d'espèce, Viols-le-Fort», Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no48, , p.15-23
Bernard Combettes, Le Parler de Viols-Le-Fort (Hérault), S.l., s.n., , 481p.
Jean-Claude Richard Ralite, «Une perspective du plan du lieu de Viols-le-Fort (Hérault) de 1625», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos201-202-203, , p.6-17
André Soutou, «Le mas médiéval des Gardioles (Viols-le-Fort, Hérault): à la mémoire de Jacques Vallon», Archéologie en Languedoc, no4, , p.165-167
Viols-le-Fort: quelques aspects de la vie quotidienne d'un village de garrigues, coll.«Mémoire d'Oc» (no34), , 100p.
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Viols-le-Fort (1660-1895) [1,67 ml]. Cote: 343 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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