Notre-Dame-de-Londres [nɔ.tʁə da.mə də lɔ̃.dʁə] (en occitan Londras ['lun.dro̞s]) est une commune française située dans le nord-est du département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Londrains.
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Notre-Dame-de-Londres | |
![]() Notre-Dame-de-Londres. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Lodève |
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup |
Maire Mandat |
Romain Kusosky 2020-2026 |
Code postal | 34380 |
Code commune | 34185 |
Démographie | |
Gentilé | Londrins |
Population municipale |
507 hab. (2019 ![]() |
Densité | 18 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 49′ 40″ nord, 3° 46′ 40″ est |
Altitude | Min. 126 m Max. 426 m |
Superficie | 28,15 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lodève |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Tourguille, le Lamalou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (les « gorges de l'Hérault », le « pic Saint-Loup » et les « hautes garrigues du Montpelliérais »), un espace protégé (le « ravin des Arcs ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Notre-Dame-de-Londres est une commune rurale qui compte 507 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Londrins ou Londrines.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin de Londres », sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 30 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Un espace protégé est présent sur la commune : le « ravin des Arcs », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 263,4 ha[15].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[17]:
et un au titre de la directive oiseaux[17] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21]: la « plaine de Notre-Dame-de-Londres et du Mas-de-Londres » (3 483 ha), couvrant 6 communes du département[22] et le « ravin des Arcs » (596 ha), couvrant 3 communes du département[23] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] :
Notre-Dame-de-Londres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,2 %), forêts (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), cultures permanentes (2,7 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Notre-Dame-de-Londres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lamalou et le Tourguille. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994 et 2011[32],[30].
Notre-Dame-de-Londres est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 46,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 243 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 218 sont en en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Élisabeth Noualhac | ||||
mars 2001 | 2014 | Christiane Roy | DVG | |
mars 2014 | 2020 | Edward Holland | SE | Professeur des écoles |
2020 | En cours | Romain Kusosky | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 507 habitants[Note 10], en augmentation de 5,85 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
310 | 272 | 302 | 329 | 376 | 400 | 476 | 505 | 513 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
447 | 484 | 543 | 415 | 367 | 331 | 416 | 410 | 419 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
412 | 404 | 408 | 402 | 362 | 357 | 220 | 250 | 210 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
266 | 235 | 193 | 205 | 313 | 398 | 479 | 486 | 479 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
479 | 507 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 230 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 529 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 570 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 9,4 % | 9,3 % | 10,5 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 307 personnes, parmi lesquelles on compte 82,5 % d'actifs (72 % ayant un emploi et 10,5 % de chômeurs) et 17,5 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 90 emplois en 2018, contre 100 en 2013 et 113 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 222, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,2 %[I 10].
Sur ces 222 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
47 établissements[Note 13] sont implantés à Notre-Dame-de-Londres au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 12,8 % | (6,7 %) |
Construction | 7 | 14,9 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 8 | 17 % | (28 %) |
Information et communication | 3 | 6,4 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,1 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 6 | 12,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 2 | 4,3 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 6 | 12,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 8 | 17 % | (8,1 %) |
Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 17 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 47 entreprises implantées à Notre-Dame-de-Londres), contre 8,1 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 28 | 15 | 14 | 18 |
SAU[Note 16] (ha) | 1 296 | 858 | 544 | 735 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 15 en 2000 puis à 14 en 2010[43] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[44],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1296 ha en 1988 à 735 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 46 à 41 ha[43].
Le ravin des Arcs (gorges du Lamalou).
En 2018, la commune compte 230 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 529 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 570 €[I 4](20 330 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 9,4 % | 9,3 % | 10,5 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 307 personnes, parmi lesquelles on compte 82,5 % d'actifs (72 % ayant un emploi et 10,5 % de chômeurs) et 17,5 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 90 emplois en 2018, contre 100 en 2013 et 113 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 222, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,2 %[I 10].
Sur ces 222 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
47 établissements[Note 13]sont implantés à Notre-Dame-de-Londres au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 12,8 % | (6,7 %) |
Construction | 7 | 14,9 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 8 | 17 % | (28 %) |
Information et communication | 3 | 6,4 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 2,1 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 6 | 12,8 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 2 | 4,3 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 6 | 12,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 8 | 17 % | (8,1 %) |
Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 17 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 47 entreprises implantées à Notre-Dame-de-Londres), contre 8,1 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 28 | 15 | 14 | 18 |
SAU[Note 16](ha) | 1 296 | 858 | 544 | 735 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] à 15 en 2000 puis à 14 en 2010[43] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[44],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1296 ha en 1988 à 735 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 46 à 41 ha[43].
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Les armoiries de Notre-Dame-de-Londres se blasonnent ainsi : |
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En balle au tambourin, le Tambourin Club Londonien défend les couleurs de Notre-Dame-de-Londres en championnat de France de balle au tambourin et en championnat de France de balle au tambourin féminin.
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