Pégairolles-de-Buèges (en occitan Pegairòlas de Buòja) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Pégairolles-de-Buèges
Pégairolles-de-Buèges vue depuis les sources de la Buèges au Méjanel
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Buèges, le ruisseau du Pontel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (les «gorges de l'Hérault» et les «hautes garrigues du Montpelliérais») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ses habitants sont appelés les Pégachs.
Pégairolles-de-Buèges est une commune rurale qui compte 55 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 266 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
Géographie
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 12 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 7,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Martin de Londres», sur la commune de Saint-Martin-de-Londres, mise en service en 1947[6] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 1 075,6 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montpellier-Aéroport», sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 40 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7°C pour la période 1971-2000[10], à 15,1°C pour 1981-2010[11], puis à 15,5°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14]:
les «gorges de l'Hérault», d'une superficie de 21 736ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[15]
les «hautes garrigues du Montpelliérais», d'une superficie de 45 444ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30% des effectifs régionaux[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17]:
le «massif du Roc de la Vigne et plaine de Lacan» (1 314ha), couvrant 3 communes du département[18] et
la «rivière de la Buèges de la source à Saint-Jean-de-Buèges» (18ha), couvrant 2 communes du département[19]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[17]:
le «causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne» (44 035ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[20];
le «massif des gorges de l'Hérault et de la Buège» (21 342ha), couvrant 17 communes du département[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Pégairolles-de-Buèges.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Pégairolles-de-Buèges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (56,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,1%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (18,5%), cultures permanentes (2,2%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pégairolles-de-Buèges est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Buèges. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1995[27],[25].
Pégairolles-de-Buèges est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[28].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pégairolles-de-Buèges.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 26,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 80 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en en aléa moyen ou fort, soit 40%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Pégairolles-de-Buèges est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[32].
Spéléologie: Réseau de la Buèges souterraine
Le village de Pégairolles-de-Buège appartient à une région karstique, englobant le massif de la Seranne et des Monts de Saint-Guilhem, présentant de nombreuses cavités dont un inventaire a été réalisé par de GERSAM (Groupe d'études et de recherches spéléologiques et archéologiques de Montpellier).
Parmi les phénomènes karstiques remarquable, le territoire de la commune abrite l'exsurgence de la Buèges, qui représente la convergence d'un des systèmes souterrains hydrokarstiques les plus importants du sud-Larzac. Une étroiture immergée fut forcée dans les années 1970 par les équipes de plongeurs du GERSAM renforcées par un groupe de Marseille. Dans les années 1980 la profondeur de −126 m fut atteinte avec des perspectives de continuation.
En amont de la source, en 1983, Gilles Barrau du GERSAM découvre le trou souffleur de la Leicasse[33], possédant notamment un grand puits de 100 m de profondeur. Les premières explorations de cette cavité difficile contribuèrent à faire entrer le GERSAM dans la spéléologie moderne, utilisant des techniques alpines avec notamment des cordes semi-statiques de diamètre 8 mm.
À l'heure actuelle (2013), la progression dans l'aven de la Leicasse continue. Elle a déjà livré plus de 15 km de développement pour une profondeur de −356 m, avec trois rivières souterraines. La coloration de l'une d'elles est ressortie à la source de la Buèges[34],[Note 10].
Une partie de ce réseau souterrain se développe sous le territoire de la commune voisine de Saint-Maurice-Navacelles.
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes: castri de Pegayrolis (1284), castri de Pegairolis de Bueja (1284), Peguerolles (1526), etc.
Le nom Pégairolles dérive de l'occitan pegairòla = sol argileux[35].
Histoire
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Plan cadastral de la commune (1829)
ancienne Baronnie de Pegairolles de Bueges
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 1947
mars 1977
Moïse Rouvière
(5 mandats successifs)
mars 1977
mars 2001
Jean-Louis Marines
DVG (4 mandats successifs)
Président du SIVOM de Saint-Martin-de-Londres au dernier mandat, maire honoraire en 2013
mars 2001
mars 2008
Michel Flye Sainte-Marie
mars 2008
2014
Alain Plantier
mars 2014
En cours
Georges Capus
SE
Retraité
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 55 habitants[Note 11], en augmentation de 37,5% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
145
146
174
201
233
226
240
247
266
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
238
223
208
184
194
215
204
214
207
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
172
160
134
109
90
92
97
72
55
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
33
33
32
50
42
54
50
49
40
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
55
55
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 29 personnes, parmi lesquelles on compte 82,8% d'actifs (69% ayant un emploi et 13,8% de chômeurs) et 17,2% d'inactifs[Note 12],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 7 emplois en 2018, contre 7 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 20, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49%[I 8].
Sur ces 20 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 30% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 95% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 10].
Activités hors agriculture
9 établissements[Note 13] sont implantés à Pégairolles-de-Buèges au [I 11].
Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 9 entreprises implantées à Pégairolles-de-Buèges), contre 8,1% au niveau départemental[I 12].
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (34 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 151ha[42],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église de Pégairolles-de-Buèges
Église Notre-Dame de Pégairolles-de-Buèges. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[43].
Personnalités et événements liés à la commune
Le feuilleton télévisé français en six épisodes L'Or du diable, mettant en scène Jean-François Balmer (dans le rôle de l'abbé Saunière), Michel Aumont, Arielle Dombasle, etc. et consacré à l'énigme de Rennes-le-Château a été tourné en 1989 en décors naturels à Pégairolles-de-Buèges.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Les spéléologues suivants ont contribué aux explorations du réseau de la Buèges souterraine: MM. Barreau, Colomina, les frères Sferlazza, Chéry, Brun, les frères Borg, Meyer, Roux, les frères Puech, Paloc, Bourdel, Baldy, Michavila, Maistre, Sallot, Ferrier, Garcia, Martinez, Coupevent, Gea, Camus, Blum, Cateland, Laurès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
GERSAM, L'Aven de la Leicasse, autoédition, , 125 pages, (66 photos, 24 figures dont 10 planches topo pleine page + un grand plan et une grande coupe hors texte). (ISBN978-2-9507232-0-8)
Historique de la découverte, description, géomorphologie, avec en supplément: ethnographie; vie d'Edmond Milhau, chevrier au Méjanel dont le nom a été associé à la plus grande salle du réseau par les explorateurs.
Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault: Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415p. (ISBN2-904624-00-7, lire en ligne), p.277
Isabelle Bonnet et Viviane Lagadec, Inventaire du patrimoine bâti de la vallée de la Buèges: Saint Jean de Buèges, Saint André de Buèges, Pégairolles de Buèges, S.n., s.l., , 115p.
Louis Cazalet et Jean-Louis Cazalet, Essai historique sur Saint-Jean-de-Buèges, la Causse-de-la-Selle, Pégairolles-de-Buèges et St-André-de-Buèges formant l'ancienne baronnie de Pégairolles, Montpellier, Imprimerie Firmin et Montane, , 39p.
Sylvie L'hostis, «Les paissières et leurs moulins sur la Buèges», Les Moulins de l'Hérault, nos26-29, , p.34-42
François Lambert, Les noms de lieux de la vallée de Buège: essai de microtoponymie sur les communes de Causse de la Celle, Pégairolles de Buège, Saint André de Buège, Saint Jean de Buège et quelques lieux à l'entour, Saint Jean de Buège, Trescòl, , 112p.
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Pégairolles-de-Buèges (1520-1976) [2,10 ml]. Cote: 195 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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