Saint-Léger-aux-Bois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Saint-Léger-aux-Bois | |
![]() L'église Saint Jean Baptiste du XIème et son ancienne école | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Compiègne |
Intercommunalité | CC des Deux Vallées |
Maire Mandat |
Thierry Drouet 2020- En cours |
Code postal | 60170 |
Code commune | 60582 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Giotains / Saint-Giotaines |
Population municipale |
771 hab. (2019 ![]() |
Densité | 93 hab./km2 |
Population agglomération |
22 878 hab. (2018) |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 28′ 47″ nord, 2° 57′ 10″ est |
Altitude | Min. 33 m Max. 52 m |
Superficie | 8,3 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Thourotte |
Législatives | 6e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.stleger.info/les72StLeger/region3/60a.htm |
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La commune est connue pour la présence sur son territoire de la plus ancienne église du département de l'Oise : l’église Saint-Jean-Baptiste qui date de 1083.
Saint-Léger-aux-Bois est un village périurbain picard du soissonais dont le territoire comprend une part importante de la forêt de Laigue.
Il est situé à 12 km au nord-est de Compiègne, à 11 km au sud de Noyon, à 80 km au nord-est de Paris.
Pimprez | Bailly | |
Montmacq | ![]() |
|
Le Plessis-Brion | Rethondes Choisy-au-Bac Saint-Crépin-aux-Bois |
Tracy-le-Mont |
Le territoire communal est limité au nord par le lit de l'Oise, qui est un affluent de la Seine. Il est également drainé par le Ru de Saint-Léger qui coupe le village en deux et qui se jette dans l'Oise.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Saint-Léger-aux-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (78,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,6 %), zones urbanisées (9,6 %), prairies (7,5 %), terres arables (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
À sa création en 814 ap-JC, il portait le nom de Herbaudianisva ou Harbaudiamisua selon les écrits.
Peu après la construction de l'église en 1083, le nom de Saint Léger en Laigue est donné (Leodegarius Lesga).
Par la suite c'est le nom de St Légier qui est utilisé au Moyen Âge.
Le nom de Saint-Léger-aux-Bois est appliqué dès la fin du Moyen Âge.
En 1793, pendant la révolution, la commune fût nommée La Chanvrière ou La Chanverie selon les écrits. Ce nom provient de la production intensive de chanvre qui avait lieu au sein du village, servant notamment pour la confection d'un textile apprécié pour les cordages.
Ce n'est qu'après la révolution que le nom de Saint-Léger-Aux-Bois fût réinstauré.
La localité dépendait du domaine royal français et était utilisé pour les chasses royales lorsque le roi des Francs Philippe Ier la donne à l'Abbaye de La Sauve-Majeure en 1083, une abbaye bénédictine du Bordelais. Cinq religieux y établissent près d'une source un prieuré placé sous le patronage de saint Léger, et commencent à défricher la forêt, constituant le noyau d'une communauté villageoise vivant principalement des ressources de la forêt, puis de la culture et de l'artisanat du chanvre. Celle-ci prit le nom de Saint-Léger-aux-Bois, en référence au nom du prieuré et à sa situation dans les bois de Laigue[21],[22],[23].
Le village appartient ensuite aux moines du Francport en 1590, et est transmis par Louis XIII à son aumônier Michel de l'Arche en 1624. Le prieuré passe en janvier 1749 sous l'autorité de l'évêque de Soissons, qui en attribue les biens et revenus au séminaire diocésain, tout en lui adjoignant une cure et un vicariat[24]
À la fin de l'Ancien Régime, le prieuré était constitué d'une maison et son jardin, un moulin à eau, quelques setiers de terres, prés et arpents de bois, occupant seulement 2 % du finage paroissial. L'essentiel des bois, couvrant les trois-quarts de ce territoire, faisaient partie de la forêt de Laigue, propriété princière de l'apanage d'Orléans, attribué en 1661 par Louis XIV à son frère Philippe d'Orléans, puis transmis à ses héritiers jusqu'à la Révolution française[24].
Une première assemblée municipale est instituée en août 1788 dans le cadre de la convocation des états généraux de 1789, composée du curé (membre de droit), d'un syndic, d'un greffier, et de quelques notables, simple relais administratif de l'assemblée provinciale du « département » de Soissons chargée avant tout de veiller à la publication des édits, à la confection des rôles de taille, à la nomination des collecteurs ou à la répartition des secours publics[24].
La paroisse de Saint-Léger-aux-Bois dépendait à la fin de l'Ancien Régime du diocèse de Soissons, présentateur de la cure, de l'archidiaconé de la Rivière et du doyenné de Vic-sur-Aisne)[24].
Dans l'ordre civil, Saint-Léger dépendait de l'élection et de la généralité de Soissons, étant placé sous l'autorité de ses subdélégué et Intendant, pour tout ce qui concernait l'administration générale et la fiscalité directe[24].
Fiscalement, il était rattaché au grenier à sel de Compiègne, percepteur de la gabelle. En matière judiciaire, le village était soumis à la coutume de Senlis appliqué par le bailliage de Compiègne et relevant, en appel, du Parlement de Paris[24].
En 1810 et 1811 sont percées les allées et routes de la forêt autour de la place centrale du puits d'Orléans[25]
En 1900, le village comptait 2 fabriques de balles et 2 succursales de fabrication de brosses[25].
Resté à une trentaine de kilomètres du front[26], le village ne subit pas de dégâts jusqu'en , lors de l'offensive du printemps de l'armée allemande qui bombarde toute la région jusqu'en juin pour essayer de percer le front allié. De nombreuses habitations du village sont alors détruites[26].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [28].
Après la guerre a lieu la reconstruction du village. Dans les années 1930, on note l'existence de petits commerces et d'artisans, ainsi que 2 fabriques de balles et jouets pour enfants[25].
De 1942 à 1945, l'occupant nazi a implanté un camp de munitions dans la forêt de Laigue, à la lisière de la commune et sur une très vaste surface coupant les axes de communication vers Compiègne. Un camp de prisonniers marocains installé au cœur du village et des travailleurs du STO fournissaient la main d'œuvre nécessaire. De nombreux talus sont encore visibles le long des routes dans la forêt[25].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ribécourt-Dreslincourt[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Saint-Léger-aux-Bois est membre de la communauté de communes des Deux Vallées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1791[24] | Jean-Baptiste Mercier | Cultivateur | ||
novembre 1791[24] | Jean-Louis Lombare | Bucheron | ||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1818 | 1826 | Louis Mognolle | SE | |
1830 | 1841 | Joseph Fosset | SE | |
1841 | 1846 | Clément Frambourg | SE | |
1848 | 1849 | Louis Terju | SE | |
1852 | 1855 | Clément Frambourg | SE | |
1855 | 1864 | Pierre Jean Delaissement | SE | |
1864 | 1865 | Victor Ferdinand Foiret | SE | |
1865 | 1871 | Pierre Jean Delaissement | SE | |
1871 | 1888 | Arthur Auguste Leclere | SE | |
1888 | 1904 | Zacharie Auguste Foiret | SE | |
1904 | 1912 | Alexandre Ernest Dubois | SE | |
1912 | 1919 | Charles Eugène Ridoux | SE | |
1919 | 1924 | Achille Loizon | SE | |
1923 | 1926 | Louis Auguste Richard | SE | |
1926 | 1927 | Henri Ferdinand Lardot | SE | |
1927 | 1929 | Alfred Trolard | SE | |
1929 | 1930 | George Marie | SE | |
1930 | 1945 | Arthur Nordest | SE | |
1945 | 1953 | André Protin | SE | |
1953 | 1975 | Louis Vincent Rondel | SE | |
1975 | 1977 | Philippe Leroux | SE | |
1977 | 1986 | Lucien Turbin | SE | |
1986 | 1989 | Gérard Bara | Ouvrier | |
1989 | 2005[30] | Alain Brekiesz | SE | Agent immobilier Démissionnaire |
mars 2005[31] | 2014 | Jean-Bernard Cardon[32] | SE | Retraité |
2014 | 2020 | Christian Havez | SE | Retraité |
juillet 2020[33],[34] | En cours (au 2 décembre 2020) |
Thierry Drouet | SE | Gérant de restaurant |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 771 habitants[Note 8], en diminution de 3,38 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
641 | 779 | 744 | 727 | 804 | 797 | 770 | 781 | 703 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
681 | 675 | 694 | 676 | 631 | 605 | 582 | 588 | 568 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
535 | 505 | 463 | 297 | 395 | 400 | 403 | 385 | 504 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
538 | 519 | 633 | 659 | 710 | 820 | 848 | 849 | 803 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
801 | 771 | - | - | - | - | - | - | - |
Sous l'Ancien Régime, la paroisse comptait 105 feux fiscaux, 106 en 1713, 105 en 1720 (soit environ 420 habitants), 115 en 1724 et 1725, 111 en 1726, puis 143 en 1790[24].
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 394 hommes pour 389 femmes, soit un taux de 50,32 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 0,3 |
8,9 | 75-89 ans | 7,7 |
19,9 | 60-74 ans | 21,5 |
24,9 | 45-59 ans | 26,8 |
20,2 | 30-44 ans | 18,0 |
12,0 | 15-29 ans | 9,5 |
14,1 | 0-14 ans | 16,2 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
La commune dispose d'une école de deux classes qui, en 2020, accueillent 29 élèves[40]
L'église Saint-Léger et Saint-Jean-Baptiste, du XIe siècle, est classée à l'inventaire des monuments historiques en 1913[41], construite à la charnière des XI e et XIIe siècles, à l'origine comme église d'un prieuré bénédictin de l'abbaye de La Sauve-Majeure, dans le Bordelais.
C'est l'une des églises les plus anciennes du département, qui reste proche de son état d'origine.« Son plan est formé d’une nef de cinq travées avec bas-côtés (dédiée à saint Jean-Baptiste, elle était réservée à la paroisse) et d’un ensemble oriental (dédié à saint Léger et à usage du prieuré) composé d’un transept saillant sur lequel sont greffées une abside et deux absidioles selon le schéma bénédictin traditionnel »[21]
Elle comprend un mobilier liturgique dont plusieurs éléments sont également classés à l'inventaire des monuments historiques : statue de saint Sébastien, chemin de croix, ostensoir, statue de la Vierge à l'Enfant et à la grappe[42].
La mairie de cette commune fût construite au IXX siècle.
L’école municipale situé à côté de l’église date de Napoléon III
La commune possède 3 calvaires :
- La croix Mognolle qui a été rénové en 2021 par les moines de l’abbaye d’Ourscamp.
- La première croix (situé dans la rue des étangs)
- La seconde croix (autrefois, un vieux calvaire s'abritait sous un immense tilleul qui fût déraciné au cours d'une tempête en 1976, emportant avec lui le calvaire. Aujourd'hui un habitant de St Léger a érigé une croix sur un socle monumental en forme de cœur.)
Saint Léger aux Bois possède également 3 villas :
- La villa du Guais (dont la vue à son sommet permet d’apercevoir la commune de Ribecourt-Dreslincour
- La Faisanderie (anciennement appelé villa des Croisettes qui servait notamment de lieu de réception par les nazis pendant l’occupation)
- Le chalet Gabriel (ancien lieu de kommandotur de l’Allemagne nazi lors de la seconde guerre mondiale)
Robert Louis Stevenson est célèbre encore aujourd'hui pour des livres tels que L'Île au trésor (Treasure Island, 1883) et L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (The Strange Case of Dr. Jekyll and Mister Hyde, 1886). Son premier livre, plus méconnu, est " Un voyage intérieur " et relate un voyage en canoë. C’est lors de ce voyage que Stevenson passe par Saint Léger aux Bois sur la rivière Oise.
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