Dans la moitié nord du département de l'Aveyron, la commune de Saint-Hippolyte s'étend sur 36,87 km2. Elle est bordée à l'est par la Truyère sur environ huit kilomètres —dont la majeure partie dans la retenue du barrage de Couesques— et arrosée par son affluent le Goul. Le barrage du Goul a été implanté entre Saint-Hippolyte et Lapeyrugue, dans le Cantal.
Sur les hauteurs dominant la vallée de la Truyère, le bourg de Saint-Hippolyte est desservi par les routes départementales (RD) 526 et 596.
Le territoire communal est également desservi par les RD 231 et 9004.
Le sentier de grande randonnée GR 465A, variante du GR 465, traverse le territoire communal, passant notamment au village de Pons.
Communes limitrophes
Carte de Saint-Hippolyte et des communes avoisinantes.
Saint-Hippolyte est limitrophe de huit autres communes, dont deux dans le département du Cantal. À l'ouest, son territoire est distant d'environ 600 mètres de celui de Ladinhac, également dans le Cantal.
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Hippolyte.
La commune est drainée par la Truyère, le Goul et le ruisseau de Palefer, le ruisseau de Ruols, le ruisseau du Batut, le ruisseau d'Auguié, le ruisseau de Fonbalès, le ruisseau de l'Adrech, le ruisseau de Saint-Marc, le ruisseau des Salins et par divers petits cours d'eau[1].
La Truyère, d'une longueur totale de 167,2 km, prend sa source dans la commune de Monts-de-Randon (48) et se jette dans le Lot à Entraygues-sur-Truyère, après avoir arrosé 39 communes[2].
Le Goul, d'une longueur totale de 52 km, prend sa source dans la commune de Pailherols (15) et se jette dans la Truyère à Campouriez, après avoir arrosé 14 communes[3].
Le Ruisseau de Gouzou, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Amans-des-Cots et se jette dans la Truyère à Saint-Hippolyte, après avoir arrosé 4 communes[4].
Le lac de Couesques est un lac de retenue lié au barrage de Couesques. Il s'étend sur 2,40 km2 et 12 km de longueur. Outre les communes de Campouriez et Saint-Hippolyte, la retenue baigne également quatre autres communes: Brommat et Lacroix-Barrez en rive droite, ainsi que Saint-Gervais et Montézic en rive gauche. Elle est alimentée par la Truyère et son affluent le ruisseau de Gouzou, ainsi que par une trentaine de petits ruisseaux, et sert à alimenter par pompage-turbinage la retenue du barrage de Montézic via la centrale de Montézic[5].
Gestion des cours d'eau
La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[6],[7],[8].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 10,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,2 j
La commune bénéficie d’un «climat semi-continental», ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau de la commune[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[13], à 10,9°C pour 1981-2010[14], puis à 11,3°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Sites Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[17]:
La «Haute vallée du Lot entre Espalion et Saint-Laurent-d'Olt et gorges de la Truyère, basse vallée du Lot et le Goul», d'une superficie de 5 653ha, comprend une partie de la vallée du Lot ainsi que deux de ses affluents: la Truyère et le Goul. Le site est remarquable d'une part du fait de la présence de deux espèces d'intérêt communautaire, la Loutre d'Europe et le Chabot, et de plusieurs habitats aquatiques et forestiers d'intérêts communautaires qui se rapportent aux trois entités paysagères du site[18];
le «Site des Grivaldes», d'une superficie de 510ha, est un site de reproduction majeur pour le Grand Murin (un des deux seuls gîtes de reproduction connu dans le Cantal, un des rares du Nord Aveyron) en situation isolée et zone de sympatrie avec le Petit Murin, dont les premières colonies connues au Sud sont distantes de plusieurs dizaines de kilomètres[19];
Les «Gorges de la Truyère», d'une superficie de 16 681ha, où douze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Hippolyte comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3],[21]:
les «Gorges de la Truyère de Rueyres au trébuc» (2 494ha), couvrant 7 communes du département[22];
«Les grivaldes» (274,3ha), couvrant 3 communes dont 1 dans l'Aveyron et 2 dans le Cantal[23];
les «Rivières de la Truyère et du Goul» (714,8ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Aveyron et 2 dans le Cantal[24];
la «Vallée de la Truyère au barrage de Couesques» (285ha), couvrant 2 communes du département[25];
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[21],
la «Vallée de la Truyère, du Goul et de la Bromme» (8 876ha), qui s'étend sur 18 communes dont 12 dans l'Aveyron et 6 dans le Cantal[26].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Hippolyte est une commune rurale[Note 5],[27]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[28].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Hippolyte.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,2%), prairies (21,4%), zones agricoles hétérogènes (19%), eaux continentales (2,3%)[29].
Planification
La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[30].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Hippolyte est vulnérable à différents aléas naturels: climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible).
Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[31],[32].
Risques naturels
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[33].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[34],[35].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[36].
Sur le département de l’Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Hippolyte est classée à risque moyen à élevé[38]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[39] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Histoire
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Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Hippolyte est membre de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Espalion. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Rodez, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lot et Truyère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la première circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[42].
Saint-Hippolyte dans l'arrondissement de Rodez en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Saint-Hippolyte, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[43] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[45] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 68,41%[46].
Francine Lafon, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [47].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[48]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes Comtal Lot et Truyère[49].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2014
En cours
Francine Lafon
LR
Agricultrice Conseillère départementale depuis septembre 2019
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2019, la commune comptait 427 habitants[Note 6], en diminution de 3,83% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 200
1 136
2 183
2 189
2 034
2 104
2 048
1 961
1 836
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 909
1 939
1 895
1 961
1 961
1 945
1 937
1 928
1 851
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 683
1 645
1 580
1 338
1 289
1 158
1 103
1 241
1 177
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
937
825
677
685
541
500
463
453
444
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
427
427
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 214 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 424 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 350 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 232 personnes, parmi lesquelles on compte 68,1% d'actifs (62,9% ayant un emploi et 5,2% de chômeurs) et 31,9% d'inactifs[Note 8],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 73 emplois en 2018, contre 74 en 2013 et 83 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 152, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42,8%[I 11].
Sur ces 152 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 63 travaillent dans la commune, soit 41% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 86,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
22 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Hippolyte au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 14].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,8 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 22 entreprises implantées à Saint-Hippolyte), contre 17,7% au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans la «Viadène et vallée du Lot», une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aveyron[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 73 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 46 en 2000 puis à 22 en 2010[58] et enfin à 22 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 70% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[59],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 446ha en 1988 à 1 012ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 46ha[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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Église Saint-Hippolyte de Saint-Hippolyte.
Église Notre-Dame de Rouens (XVIIIe siècle) et point de vue sur Vallon et la Truyère.
Antoine Chapt de Rastignac(1776-1862), général des armées napoléoniennes (décédé à St Hippolyte).
Pierre Souyri, né le 10 mars 1925 à Saint-Hippolyte et mort le 14 juillet 1979 à Saint-Mamet-la-Salvetat, sociologue, résistant du mouvement Francs-tireurs et partisans et militant du Parti communiste français de 1942 à 1944.
Juliette Mayniel, actrice de cinéma née à Saint-Hippolyte le , mère de l'acteur italien Alessandro Gassman.
Michel Rocard, ancien Premier ministre, propriétaire à Saint Hippolyte de 2002 à 2006[60].
Philippe Meyer, écrivain, journaliste et homme de radio, depuis 2006.
Bibliographie
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.Jacques Blanc), Entraigas: Enguialés-Lo Fèl, Espeirac, Golinhac, Sent-Ipòli / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton d'Entraigas, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 240p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-22-X, ISSN1151-8375, BNF36688566)
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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