Saint-Aubin-sous-Erquery est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Saint-Aubinois et les Saint-Aubinoises.
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Saint-Aubin-sous-Erquery | |
![]() Vue générale depuis la cavée de Nointel. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Clermont |
Intercommunalité | CC du Clermontois |
Maire Mandat |
Brigitte Boulenger 2020-2026 |
Code postal | 60600 |
Code commune | 60568 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Aubinois, Saint-Aubinoises |
Population municipale |
332 hab. (2019 ![]() |
Densité | 53 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 24′ 29″ nord, 2° 29′ 05″ est |
Altitude | Min. 65 m Max. 149 m |
Superficie | 6,26 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Clermont |
Législatives | 7e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.saintaubinsouserquery.fr/ |
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Le village de Saint-Aubin-sous-Erquery est situé à 62 km au nord de Paris, 29 km à l'est de Beauvais, 27 km à l'ouest de Compiègne et 66 km au sud d'Amiens[1].
Lamécourt | Rémécourt | Noroy |
Erquery | ![]() |
Maimbeville |
Breuil-le-Sec | Nointel |
La commune s'étend entre 65 et 149 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le village (mairie) se trouve à 70 mètres d'altitude. Le point le plus bas de la commune se trouve à quelques mètres de la source de la Béronnelle (limite avec la commune d'Erquery) et le point culminant se situe au nord-ouest du territoire, proche de Lamécourt. L'église Saint-Aubin se situe à la même altitude que la mairie, la ferme du Plessier (à l'est), se trouve à 100 mètres. Le cimetière et le carrefour entre la rue de Gournay et Plisson se trouvent à 74 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune, irrégulière dans son périmètre, a un territoire coupé de vallons et de coteaux (vallée tortue, à l'est), dépourvue d'eau, exposé au sud. Le chef-lieu est situé dans un fond à peu près au centre[3]. La craie noduleuse apparaît[4]dans le vallon de Saint-Aubin-sous-Erquery.
Il n'y a pas de craie jaune sur le territoire, mais toute la masse crayeuse est mêlée par nœuds plus durs ayant l'aspect du silex corné, répandus irrégulièrement dans la roche dont ils augmentent la pesanteur, et qu'ils rendent plus difficile à tailler. On remarque des dépôts d'argile fine entre Maimbeville et le chef-lieu[5]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[6].
La commune ne possède pas de cours d'eau sur son territoire. Le seul élément d'eau présent est une mare nommée « Fossé de Lannoy » subsistant dans le village à proximité de l'église Saint-Aubin. Un réservoir se situe au nord de la ferme du Plessier, au nord-est de la commune. Les fonds et vallons secs prouvent toutefois l'ancienne existence de ruisseaux dans la commune[2]. Les zones les moins élevées du territoire, dans le fond des différents vallons sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[7].
La commune est desservie par deux routes départementales, la D 37 et la D 532 : la route départementale D 37, reliant Breuil-le-Sec à Gournay-sur-Aronde traverse la commune dans une transversale nord-est - sud-ouest. Axe principal du territoire, elle permet de facilite l'accès à Clermont, d'où l'on peut rejoindre des voies plus importantes. L'itinéraire passe dans le village par la rue de Gournay. La route départementale D 532, reliant Saint-Aubin-sous-Erquery à Fouilleuse par Maimbeville, se dirige vers ce dernier village situé à l'est de la commune. Son tracé débute depuis une intersection à la D 37 (rue de Gournay), puis passe par les rues de Nointel et de Maimbeville. On peut également citer en se dirigeant vers Clermont par la D 37, une route communale qui se dirige vers Erquery. Partant de l'entrée nord du village depuis la D 37, une seconde route communale rejoint Rémécourt[2].
De 1870 à 1939, la gare la plus proche se trouvait sur la commune voisine de Nointel, appelée « gare de Nointel - Saint-Aubin », située sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons, reliant Beauvais à Soissons par Clermont-de-l'Oise et Compiègne[8].
Aujourd'hui, la gare la plus proche se situe à Clermont à 6 km au sud-ouest de la commune, sur la ligne Paris-Nord - Lille[1]. La commune est desservie par le réseau Kéolis Oise du conseil général de l'Oise par une ligne de transports scolaires rejoignant les établissements secondaires de l'agglomération de Clermont par un unique arrêt situé dans le village (École)[9]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie l'école primaire communale aux communes de Rémécourt, Erquery et Lamécourt[10].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se situe à 27,6 km à l'ouest et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 45 km au sud[1]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.
Le circuit de randonnée no 10 du GEP Centre Oise, « De Bois en Bosquets » débute à l'église paroissiale Saint-Aubin. Il emprunte ensuite la Grande Rue, passe proche d'un calvaire du village puis rejoint un chemin sur la droite. Il accède alors à la rue de la Cavée. À la limite communale avec Nointel, celui-ci se dirige vers l'ouest au lieu-dit « Bosquet Guillaume ». Il traverse ensuite la D 37 puis se dirige vers le territoire communal d'Erquery. Il rejoint la commune en longeant le bois Plisson par l'ouest puis retourne dans le village par le chemin du clos Gaignage, la rue de Gournay et la rue Plisson[11],[12]. Une courte portion du circuit no 8 appelé « circuit des neuf fonds » traverse une partie du territoire[11].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[19] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[20],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[23] à 10,6 °C pour 1981-2010[24], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[25].
Hormis les espaces bâtis, qui représentent 3 % du territoire sur 19 hectares, la commune se compose de zones cultivées à 79,5 % sur 515 hectares. 13,4 % d'espaces boisés couvrent le territoire sur 86 hectares parmi lesquels les bois Plisson et Saint-Aubin au nord-est du village, les bois Madame et de Quéhaigny au sud-est, ainsi qu'aux lieux-dits « les Grandes-Fosses » (au sud-ouest), « le Courtil-Jérôme » et « le Chemin de Cernoy » (au nord) mais aussi entre le village et la ferme du Plessier[2]. Les vergers et prairies rassemblent 25 hectares et les délaissés urbains et ruraux 1,67 hectare[26].
Saint-Aubin-sous-Erquery est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), prairies (5 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[33].
L’habitat est réparti en trois sites[2]:
En 1890, les 70 maisons du village, situées dans un fond, sont groupées en trois agglomérations, l'une sur la route de Clermont à Gournay-sur-Aronde, les deux autres autour de l'église[a 1].
Le village s'est appelé : « Saint-Aubin », « Sainct-Aulbin-en-Beauvoisiz », « Saint-Aubin-près-Clermont » (Sanctus Albinus) puis « Saint-Aubin-sous-Erquery ». La localité a pris le nom du patron de son église, saint Aubin, évêque d'Angers, mort en 550[a 1]. Le hameau de Plessier était autrefois appelé « Le Plessis-sur-Saint-Aubin », « Le Plessier-Saint-Aubin » ou « lès-Saint-Aubin » ou encore « Plessieum juxta Sanctum Albinum »[a 2].
La seigneurie de la paroisse appartenait aux Célestins de Saint-Croix-sous-Offémont, près Compiègne et était tenue de la seigneurie de Warty (Fitz-James). La cure était à la collation de l’évêque de Beauvais ; les dîmes étaient perçues par le prieuré de Saint-Leu-d'Esserent[a 2]. Près de l'église Saint-Aubin se trouvait l'hôtel seigneurial des religieux de Sainte-Croix, qui renfermait, au XVIe siècle, une chapelle ; au siècle suivant, cet hôtel fut affermé par les moines avec toutes leurs terres de Saint-Aubin et Rémécourt. Ces constructions ont été démolies au commencement du XXe siècle ; il n'en reste plus qu'une cave et des murs d'une solidité peu commune. La ferme du Plessier, au nord-est et assez rapprochée du village était autrefois un manoir seigneurial, et, au XVIIIe siècle, les Doria, seigneurs de Cernoy, se qualifiaient encore seigneurs du Plessier-Saint-Aubin. En 1620, lors de la vente de la suzeraineté de la seigneurie du Plessier-sur-Saint-Aubin et d’une partie de son domaine utile, poursuivie par décret aux requêtes du Palais à Paris contre Henri de Postel, seigneur de Cernoy et du Plessier,Pierre Doria, capitaine de la galère de Marie de Médicis, s’en rendit adjudicataire. Une chapelle fut fondée en 1263 au Plessier et le chapelain fut laissé à la nomination de l'évêque[34],[a 2].
Dans leurs cahiers de doléances de 1789, les habitants représentent que leur territoire est « un des plus ingrats de la Picardie », et que leur village est exposé à des inondations, comme il est arrivé pendant deux jours de suite en 1781; malgré cela ils sont surchargés d'impôts ; ils réclament contre les corvées, les impôts du sel, du tabac, de la marque des cuirs et les aides; un fléau, plus terrible encore que les impôts, vient les accabler, c'est la conservation du gibier entreprise depuis un an par le duc de Bourbon, qui forcera les cultivateurs à abandonner leurs terres, si on ne réforme pas un tel abus. Les députés de la paroisse furent Thomas Prévost, syndicaliste, et François Lobgrois[a 2]. La commune de Saint-Aubin, annexée à celle d'Erquery par ordonnance royale du 20 février 1828, en fut distraite par ordonnance du 15 septembre 1833[a 2]. Le 25 novembre 1861, vers minuit, un incendie considérable éclata à Saint-Aubin, dans la rue qui conduit à Maimbeville : sept maisons, couvertes partie en tuile, partie en chaume, furent complètement détruites ; un seul des incendiés était assuré[a 2]. En 1890, la population du chef-lieu était de 191 habitants et celle du hameau du Plessier d'une population de trois habitants, et exclusivement agricole[a 2].
La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Clermont[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 24 à 20 communes.
La commune est membre depuis au moins 2010 de la communauté de communes du Pays du Clermontois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000.
Compte tenu de la taille de la commune, le conseil municipal est constitué de 11 membres, dont le maire et les adjoints.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1789 | An V | M. Prévost | ||
An V | An VI | François Lobgeois | ||
An VI | An XII | M. Thomas | ||
An XII | 1810 | Jean-François Pape | ||
1810 | 1813 | M. Dupont | ||
1813 | 1822 | M. Pollet | ||
1822 | 1828 | M. David | ||
1828 | 1831 | La commune est rattachée à Erquery | ||
1831 | 1848 | M. David (réélu) | ||
1848 | 1855 | Louis Primitif Pulleu | ||
1855 | 1857 | M. Hainsellin | ||
1857 | 1866 | Louis Primitif Pulleu (réélu) | ||
1866 | 1888 | Alexandre Labitte | ||
1888 | 1896 | Auguste Vilette | ||
1896 | 1900 | Louis Auguste Mortier | ||
1900 | 1906 | Sylvain Pollet | ||
1906 | 1920 | Ernest Deneux | ||
1920 | 1936 | Alfred Pollet | ||
1936 | 1939 | Marius Boulenger | ||
1939 | 1944 | Edmond Mercier | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1944 | 1948 | Jules Germain | ||
1948 | 1954 | Fernand Renard | ||
1954 | 1979 | Joseph Graux | ||
1979 | 1995 | Michel Beve | DVD | |
1995 | 2001 | René Van Hoecke | ||
2001 | En cours (au 8 juillet 2020) |
Brigitte Boulanger | DVD | Vice-présidente de la CC du Clermontois (2020 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[36] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 332 habitants[Note 8], en augmentation de 3,75 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
320 | 264 | 230 | 228 | 235 | 228 | 232 | 239 | 240 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
229 | 230 | 207 | 220 | 210 | 208 | 207 | 231 | 230 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
205 | 207 | 164 | 176 | 179 | 183 | 206 | 216 | 202 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 | 2015 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
240 | 268 | 254 | 331 | 335 | 316 | 314 | 325 | 332 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
332 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 171 femmes, soit un taux de 51,51 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,2 | 90 ou + | 1,8 |
8,7 | 75-89 ans | 5,8 |
14,9 | 60-74 ans | 15,8 |
21,1 | 45-59 ans | 20,5 |
22,4 | 30-44 ans | 21,1 |
13,7 | 15-29 ans | 14,6 |
18,0 | 0-14 ans | 20,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
La commune ne possède aucun monument historique sur son territoire.
Saint-Aubin-sous-Erquery possède une classe de CE1-CE2 faisant partie d'un regroupement entre plusieurs communes alentour (Erquery, Lamécourt, Rémécourt et Saint-Aubin-sous-Erquery) : Erquery possède les classes de maternelles au CP, et Lamécourt celles du CM1-CM2.
Le village ne possède pas d'établissement sanitaire sur sa commune. L'hôpital le plus proche est situé à Clermont.
L'église Saint-Aubin est le seul lieu de culte de la commune. Il s'agit du culte catholique romain. Des messes y sont célébrées une fois par mois environ.
![]() |
Blason | D'argent à la barre de sable[43]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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