Saint-Amadou est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Vif, l'Estaut, le ruisseau de l'Egassier et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Amadou est une commune rurale qui compte 241 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 486 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers. Ses habitants sont appelés les Saint-Amadouens ou Saint-Amadouennes.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Amadou se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 9 km de Pamiers[2], sous-préfecture.
Sur le plan historique et culturel, Saint-Amadou fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[4].
Au sud-est, le territoire de Vals est distant d'une centaine de mètres.
Géologie et relief
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, la totalité du territoire étant recouverte par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille «n°1057 - Pamiers» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 4,64 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 4,69 km2[7]. L'altitude du territoire varie entre 253 m et 334 m[12].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Amadou.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Hers-Vif, l'Estaut, le ruisseau de l'Egassier, le ruisseau du Carlaret, le ruisseau du Pontarou et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[14],[15].
L'Hers-Vif, d'une longueur totale de 134,9 km, prend sa source dans la commune de Prades et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 41 communes[16].
L'Estaut, d'une longueur totale de 19,5 km, prend sa source dans la commune de Coussa et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Belpech, après avoir traversé 11 communes[17].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[19]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[18].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23],[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Pamiers Lycagri», sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985[25] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[26],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[27].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 50 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[29], à 12,3°C pour 1981-2010[30], puis à 12,7°C pour 1991-2020[31].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: «Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste»[33], d'une superficie de 9 581ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[34].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[35]:
les «bosquets de Las Garros à La Pradasse et aérodrome de Pamiers-les-Pujols» (174ha), couvrant 5 communes du département[36], et
le «cours de l'Hers» (891ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[37]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[35]:
les «basse plaine de l'Ariège et de l'Hers» (7 048ha), couvrant 14 communes dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne[38];
«l'Hers et ripisylves» (1 417ha), couvrant 41 communes dont 32 dans l'Ariège, 7 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[39].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Amadou.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Amadou est une commune rurale[Note 9],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pamiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (52,1%), prairies (14,7%), zones agricoles hétérogènes (12,3%), zones urbanisées (7,9%), forêts (7,1%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9%)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 140, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 116 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 71,9% étaient des résidences principales, 11,5% des résidences secondaires et 16,6% des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6% d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7% des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Amadou en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,5%) inférieure à celle du département (24,6%) mais supérieure à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,8% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 6].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
11,5
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
16,6
9,7
8,2
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Amadou est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[43],[44].
Risques naturels
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Saint-Amadou.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Saint-Amadou[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Risques technologiques
Sur le département de l’Ariège on dénombre cinq grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 80 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[48].
Toponymie
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Histoire
Saint-Amadou était une halte sur la ligne de Pamiers à Limoux fermée pendant la Seconde Guerre mondiale.
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Héraldique
Son blasonnement est: D'or à un écusson d'azur.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Amadou est membre de la communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pamiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[49].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Pamiers-2 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[50].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
En cours
Serge Villeroux
PS
Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].
En 2019, la commune comptait 241 habitants[Note 11], en diminution de 3,6% par rapport à 2013 (Ariège: +0,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
344
270
424
446
486
480
452
457
469
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
434
445
459
427
434
416
427
425
470
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
403
407
408
331
332
305
292
277
260
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
232
215
166
156
189
215
228
229
254
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
241
241
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 104 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 262 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 030 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 158 personnes, parmi lesquelles on compte 75,8% d'actifs (65,6% ayant un emploi et 10,2% de chômeurs) et 24,2% d'inactifs[Note 13],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Pamiers, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 103, soit un indicateur de concentration d'emploi de 10,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,3%[I 16].
Sur ces 103 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 8% des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 96,1% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,9% les transports en commun et 1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
10 établissements[Note 14] sont implantés à Saint-Amadou au [I 19].
Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Saint-Amadou), contre 8,8% au niveau départemental[I 20].
Agriculture
1988
2000
2010
Exploitations
12
8
4
Superficie agricole utilisée (ha)
308
127
159
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée «Plaine de l'Ariège»[55]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[56]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 16] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 159ha[56].
Culture et festivités
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Culture locale et patrimoine
Église Saint-Amator datant des XIIIeetXVIIIesiècles, au clocher fortifié, elle possède trois cloches dont une date du XVIesiècle.
Balisé avec une libellule, un sentier d’interprétation sur le patrimoine de l'eau, la faune et la flore de 8,2km au maximum a été développé conjointement avec la commune des Pujols.
Lavoir couvert conçu par l'architecte Émile Sauret, et fontaine de 1897.
Ensemble de bassins, fontaines et lavoirs du XIXesiècle restauré en 2007.
Point de passage du chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
L'église Saint-Amator.
Le lavoir.
Sur le sentier de l'eau, le lavoir couvert avec quatre bassins. Chaque bassin a un bac pour le lavage et un bac pour le rinçage. Ce lavoir à raison de 3 ou 4 membres par famille, pouvait accueillir une douzaine de lavandières qui tapaient le linge avec le « basel » (le battoir).
Les cannelles remplissent chacune un bassin de ce lavoir.
Cet abreuvoir alimenté par une source a une eau très froide et les habitants avaient l'habitude d'y déposer les bouteilles pour les rafraîchir. Au fond de la voute, on a retrouvé une inscription « seguela 1867 ».
Cette source est la plus vieille du village, son eau est impropre à la consommation. Les habitants fabriquaient de petites canalisations qui servaient pour arroser les jardins. Cette source a toujours eu un très faible débit.
Sport
Football: Saint-Amadou fait partie de longue date de l'Entente-Football Club de l'Hers, avec les communes de Arvigna, Les Issard, Les Pujols et Rieucros, plus Coussa pour la récente école de football.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[32].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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