Située en bordure de la forêt de la Londe-Rouvray, la ville est en plein centre de la Métropole Rouen Normandie, à moins de 10 kilomètres du centre-ville de Rouen.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Communes limitrophes de Saint-Étienne-du-Rouvray[1]
Située dans un méandre de la Seine, elle est bordée à l'est par celle-ci.
Voies de communication et transports
Rame du «métro» au terminus Technopôle à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Saint-Étienne-du-Rouvray est à une heure et demie de Paris et à une heure et quart de Caen, par l'autoroute A13. La ville est un lieu de passage – et de halte – pour ceux qui venant du Nord de la France, traversent l'agglomération vers la Normandie ou la Bretagne, mais aussi Alençon et Le Mans via l'A28.
Depuis juillet 2008, la ville est desservie par la rocade Sud, périphérique du grand Rouen. Elle offre deux accès supplémentaires par le sud au territoire communal, par la Vente Olivier et par le technopôle du Madrillet.
La ligne de chemin de fer Paris - Rouen - Le Havre passe par Saint-Étienne-du-Rouvray, mais elle ne marque pas l'arrêt en gare. La ligne TER Rouen-Elbeuf permet quant à elle un arrêt en gare de Saint-Étienne-du-Rouvray.
Saint-Étienne-du-Rouvray est desservie par le «métro de Rouen» depuis le prolongement vers le technopôle du Madrillet en 1997. La ligne Technopôle traverse la ville avec cinq stations à une fréquence d'une rame toutes les six minutes en heure de pointe. Le tramway permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes et Sotteville-lès-Rouen en quelques minutes.
Six lignes de bus (F3, 10, 27, 32, 33 et 42) s'articulent autour de la ligne de «métro» et offrent la possibilité de rejoindre des communes voisines non desservies par le tramway telle que Oissel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Rouen - Jardin», sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2°C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Rouen-Boos», sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 7 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1°C pour la période 1971-2000[12] à 10,5°C pour 1981-2010[13], puis à 11°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Étienne-du-Rouvray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[18] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63,9% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (34,8%), forêts (29,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28%), prairies (3,4%), eaux continentales[Note 8] (1,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctum Stephanum vers 1025, Sancti Stephani en 1032 et 1035[25], De Sancto Stephano au XIIIesiècle, Sanctus Stephanus en 1337, Saint-Etienne jouxte Rouvray en 1362 et en 1365, Saint Etienne de Rouvray entre 1605 et 1616[26], Saint Estienne du Rouvray en 1715, Saint Etienne du Rouvray en 1757[27].
Le nom de la commune est issu de l'hagiotoponyme saint-Étienne et de la forêt de Rouvray qui borde la ville, ce qui donna Saint-Étienne-du-Rouvray[28]. Rouvray dérive du mot rouvres qui, en vieux français, signifie chêne (Quercus Robur), du latin robora. Il désigne alors le territoire d'une chênaie (ou rouvraie).
Histoire
Du néolithique à la révolution industrielle
Le Saint-Étienne-du-Rouvray d'aujourd'hui est l'héritier d'une longue histoire. Des outils néolithiques (2 000 ans av. J.-C.) tout comme des traces d'habitat gallo-romain (200/300 ans apr. J.-C.) témoignent d'une occupation ancienne du site en bordure des zones anciennement inondables, aux alentours de l'actuelle avenue du Bic-Auber.
Un hameau appelé Sancti Stephani et dépendant de l'abbaye de Saint-Wandrille est signalé au IXesiècle dans une charte royale. Marques de l'arrivée puis de l'implantation des Vikings tout au long de la Seine, des toponymes d'origine scandinave (la Haie Brout, les Longs Boëls, le Fossé Roger) se rencontrent encore dans certains quartiers. Le bourg se développe ensuite le long de la route reliant Rouen à Paris. Aux XVeetXVIesiècles, la paroisse compte cinq cents habitants. La population cultive les terres arables en bord du fleuve et pratique l'élevage sur les terres incultes, forêts, landes et taillis. L'église Saint-Étienne, rue de Paris, construite au XVIesiècle, dépendait de l'évêché de Lisieux.
À la Révolution, en 1790, Saint-Étienne-du-Rouvray se constitue en commune avec administration politique. Le bourg commence à prendre son caractère urbain et industriel à partir du milieu du XIXesiècle, avec l'arrivée du chemin de fer et les débuts de la révolution industrielle.
De la ville industrielle à la conscience ouvrière
Au moment où le Château blanc s'urbanise, les fermes du plateau du Madrillet côtoient les premiers immeubles qui sortent de terre.
En 1843, l'arrivée du chemin de fer ouvre la voie au développement de la commune. Les premiers trains à vapeur de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest relient Paris à Rouen. L'arrivée du train favorise l'implantation d'entreprises et le bourg rural devient peu à peu une cité industrielle. En 1865, la Société cotonnière s'implante à Saint-Étienne-du-Rouvray. Elle est alors la plus grosse entreprise de Normandie qui emploiera jusqu'à 2 000 personnes. La ville commence à changer avec l'implantation de nouveaux quartiers construits pour les ouvriers, comme la Cité Neuve, de nouvelles rues…
Au début du XXesiècle, l'ouverture des ateliers ferroviaires de Quatre-Mares (1913), l'arrivée de la Fonderie Lorraine en 1916 et des Papeteries de la Chapelle (1928) viennent renforcer le caractère industriel de la ville. Dans le même temps, les premières grèves et grands mouvements de revendication forgent la conscience ouvrière. 1911 est ainsi marquée par une importante grève des salariés de la Cotonnière qui réclament la journée de 10 heures. Les solidarités s'organisent comme en témoigne la création de l'Émancipation par les ouvriers de la Cotonnière, en 1893. Cette société coopérative obtient des prix bas pour les denrées de première nécessité, mais offre également un secours aux malades et colis aux grévistes.
Après la Première Guerre mondiale, et la révolution bolchevique d'octobre 1917, la conscience ouvrière trouve également une expression politique. En 1923, trois ans après le congrès de Tours qui voit se séparer la majorité communiste (SFIC) de la minorité socialiste (SFIO), Saint-Étienne-du-Rouvray est l'une des premières villes de France à devenir communiste. En 1935, alors que la Société cotonnière ferme, dans un contexte de profonde récession, la commune et de nombreux Stéphanais adhèrent au Front populaire.
Histoire récente
Article détaillé: Attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray.
Le , aux alentours de 9h25, deux individus islamistes font irruption dans l'église de la ville par une porte située à l'arrière de l'édifice. Ils prennent six personnes en otage, un prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. Les assaillants sont équipés d'armes blanches, dont des couteaux, et de fausses bombes. La police, prévenue par une religieuse qui a réussi à s'échapper, ne peut entrer, les otages étant obligés de faire barrage. La BRI tue les assaillants, sur le parvis de l'église. Le prêtre de l'église, Jacques Hamel, se sacrifie pour sauver ses fidèles, et est égorgé. Le mari d'un couple de paroissiens est quant à lui gravement blessé à la gorge. Daech revendique l'attaque le jour-même.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.
Articles détaillés: Liste des cantons de la Seine-Maritime, Conseil départemental de la Seine-Maritime et Liste des conseillers départementaux de la Seine-Maritime.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Seine-Maritime.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de la Seine-Maritime et Liste des députés de la Seine-Maritime.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de Rouen (CAR), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 par transformation de l'ancien SIVOM de l'agglomération rouennaise institué en 1974.
Cette intercommunalité fusionne avec ses voisines le pour former la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui se transforme en métropole le sous le nom de Métropole Rouen Normandie, dont est désormais membre Saint-Étienne-du-Rouvray.
Tendances politiques et résultats
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Article connexe: Élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime.
Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste d'union de la gauche du maire sortant (PCF) Joachim Moyse —qui avait succédé en 2017 à Hubert Wulfranc comme maire de Saint-Étienne-du-Rouvray après son élection comme député— remporte largement le scrutin dès le premier tour, avec 78,94% des suffrages exprimés (3 599 voix, face aux listes menée respectivement par Brahim Charafi, adhérent au MoDem (13,69%, 624 voix) et par Noura Hamiche (NPA, 7,37% 336 voix), l'abstention s'étant élevée à 70,88%[30],[31]
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime.
Professeur d'histoire-géographie Conseiller général puis départemental de Saint-Étienne-du-Rouvray (2004 → 2017), Député de la Seine-Maritime (3ecirc.) (2017 → ) Vice-président de la Métropole Rouen-Normandie (2015 → 2017) Démissionnaire à la suite de son élection comme député
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Les écoles de Saint-Etienne-du-Rouvray dépendent de l'académie de Rouen.
Plusieurs écoles, de la maternelle au lycée sont disponibles[Quand?] aux enfants de la commune:
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Complexe Sportif Youri Gagarine
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 9]
En 2019, la commune comptait 28 352 habitants[Note 10], en diminution de 1,34% par rapport à 2013 (Seine-Maritime: +0,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 419
1 301
1 326
1 491
1 481
1 494
1 482
1 585
1 547
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 580
1 633
2 197
2 513
2 864
4 246
4 485
4 670
5 145
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
5 656
6 068
6 448
8 129
9 388
10 741
11 275
10 833
15 430
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
25 833
34 713
37 242
32 444
30 731
29 092
27 815
28 118
28 696
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
28 352
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
Le premier recensement fait au XIXesiècle remonte en 1812, Saint-Étienne avait alors 1,328 habitants. En 1857, sa population était de 1,345 habitants. En 1822: 1,491 habitants; en 1828: 1,390; en 1836: 1,494 avec 414 ménages; en 1841: 1,482 avec 370 ménages; en 1846: 1,585 avec 424 ménages; en 1856: 1,580 avec 443 ménages; en 1861: 1,633 avec 461 ménages.
C'est à partir de 1863 que commença, par la suite de la construction de la grande usine de la Société Cotonnière, le mouvement ascendant de la population de Saint-Étienne. Au recensement de 1866, on constatait à Saint-Étienne 2,157 habitants, répartis en 565 ménages. En 1872: 2,153 habitants avec 681 ménages et 614 maisons. Ce recensement qui fut des plus complets portait également sur le nombre des animaux domestiques. Il révélait l'existence à Saint-Étienne de 147 chevaux, 263 vaches, 1 âne, 164 moutons, 32 porcs, 19 chèvres, 130 chiens, 1284 poules, 176 pigeons et 62 canards.
Saint-Étienne-du-Rouvray est la troisième ville de l'agglomération rouennaise en termes de population. Une ville tout à la fois forte de sa jeunesse avec près d'un habitant sur trois âgé de moins de 19 ans, mais également riche de l'expérience de sa population: les plus de 60 ans représentent un habitant sur cinq.[réf.nécessaire]
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42%, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,1% la même année, alors qu'il est de 26% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 13 960 hommes pour 14 540 femmes, soit un taux de 51,02% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,9%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,5
5,7
75-89 ans
8,4
13,5
60-74 ans
14,5
16,9
45-59 ans
17,0
19,5
30-44 ans
18,2
20,8
15-29 ans
19,4
23,0
0-14 ans
20,9
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[48]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,7
6,4
75-89 ans
9,4
16,3
60-74 ans
17,3
19,7
45-59 ans
19,3
18,5
30-44 ans
17,7
19,1
15-29 ans
17,5
19,4
0-14 ans
17
Économie
Revenus de la population et fiscalité
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Emplois
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Entreprises et commerces
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Centre culturel Le Rive Gauche.
Église Saint-Étienne
Église Sainte-Thérèse
Forêt de La Londe-Rouvray
Mosquée Yahya
La maison des forêts
Centre culturel «Le Rive Gauche»
Rond-point des Vaches
Héraldique
Les armes de la commune de Saint-Étienne-du-Rouvray se blasonnent ainsi: De gueules aux deux léopards affrontés d’or, armés et lampassés d’azur, mouvant des flancs et supportant une roue dentée d’argent soutenus de trois trangles ondées du même, au chef cousu d’azur chargé d’une crosse issante aussi d’or accostée de deux chênes rouvres aussi d’argent.[49]
Jean-Baptiste Rondeaux, né le 1er septembre 1775 à Rouen et mort le 13 novembre 1864 à Saint-Étienne-du-Rouvray. Négociant à Rouen. Maire de Rouen en 1792, conseiller général, député, membre de la chambre de commerce. Grand-oncle d'André Gide.
Émile Masqueray, né le à Rouen et mort le à Saint-Étienne-du-Rouvray, 129 rue Gambetta, anthropologue, ethnologue, linguiste et écrivain français.
Frédéric-Charles, prince de Prusse, né le à Wannsee et mort le à Saint-Étienne-du-Rouvray, membre de la Maison Royale de Prusse, cousin issu de germains (mais par sa mère neveu) du Kaiser Guillaume II, cavalier et pilote de guerre allemand mort de ses blessures.
Arthur Join-Lambert, historien, conseiller municipal de Saint-Étienne-du-Rouvray en 1865.
Marcel Brout, député communiste, puis collaborateur, mort à Saint-Étienne-du-Rouvray en 1957.
L'abbé Jacques Hamel, né en 1930 à Darnétal, prêtre auxiliaire de la paroisse Saint-Étienne, assassiné lors de l'attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016 à 85 ans.
Voir aussi
Bibliographie
Bibliothèque Elsa Triolet, Saint-Étienne-du-Rouvray, Bibliothèque Elsa Triolet: 1949 1987: trente-huit ans d'une association au service des Stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1987, 30 p.
Centre socioculturel Georges Déziré, Regards sur l’église Saint-Étienne, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2002.
Yves-Marie Deniel, Un jour en 1936, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, A. Lestringant, 1892, 391 p.
Pierre Duchemin, Histoire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Paris, Office d’édition et de diffusion du livre d’histoire, coll.«Monographie des villes et villages de France» (no1350), (ISBN2-84126-078-X)
Olivier Gosse, On appelle ça de l'humanité: mémoire du quartier Hartmann des années 1940 à 2008, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2009.
Georgette Gosselin, Les débuts du chemin de fer, 89 lithographies de Daumier, 14e festival culturel, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1976.
Georgette Gosselin, Lutes d’hier et d’aujourd’hui, 1843-1996: les communistes de Saint Étienne du Rouvray, Ed. de la section de Saint-Étienne-du-Rouvray du Parti communiste français, 1996
Groupe Archives Quatre-Mares, Les Ateliers de Quatre-Mares: huit décennies au service de la réparation des locomotives, Paris, La Vie du rail & des transports, , 311p. (ISBN2-902808-63-1)
Groupe Histoire & Patrimoine, Saint-Étienne-du-Rouvray au temps du Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2006.
Groupe Histoire & Patrimoine, 1866, en avant la musique, 140 ans de pratiques musicales à Saint-Étienne-du-Rouvray, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2007
Groupe Histoire & Patrimoine, 160 ans de commerce et d'artisanat stéphanais, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 2010
Atelier Histoire & Patrimoine, Vivre, survivre, résister: Saint-Étienne-du-Rouvray pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon, Médiris, 2015
Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen, vol.2: De Maromme à Ymare, Rouen, Ed. des Falaises, , 261-512p. (ISBN978-2-84811-063-9)
Guy Pessiot, Histoire de l'agglomération rouennaise: La rive gauche: La Bouille, Grand-Couronne, Grand-Quevilly, Moulineaux, Oissel, Petit-Couronne, Petit-Quevilly, Saint-Étienne-du-Rouvray, Sotteville-lès-Rouen, Rouen, Éd. du P'tit Normand, , 287p. (ISBN2-906258-21-0, lire en ligne)
Nathalie Ponsard, Lectures ouvrières à Saint-Étienne-du-Rouvray, des années trente aux années quatre-vingt dix: lecture, culture, mémoire, Paris, L'Harmattan, coll.«Logiques historiques», , 341p. (ISBN978-2-296-02592-9)
Claude Soloy, Saint-Étienne-du-Rouvray de la Préhistoire à 1945, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1971.
Saint-Étienne-du-Rouvray (préf. de Michel Grandpierre), Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1980, 65 p.
Saint-Étienne-du-Rouvray, Rouen, PTC, coll.«Guides de ville», , 79p. (ISBN2-35038-006-8)
Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 24e festival culturel: 1936, le Front Populaire, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986.
Saint-Étienne-du-Rouvray: Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, , 60p. (ISBN2-908151-02-2)
Saint-Étienne-du-Rouvray: Citoyen de demain, Paris, Ed. Franciade, 1996, 64 p.
Saint-Étienne-du-Rouvray: d'hier à aujourd'hui, Saint-Avertin, Alan Sutton, coll.«Regards croisés», , 128p. (ISBN978-2-8138-0640-6, OCLC847574139)
1906-1986, Saint-Étienne-du-Rouvray: une ville, un espace, une histoire, un travail de la classe de 3e3 du collège Pablo Picasso, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1986, 39 p.
1959/1999: Saint-Étienne-du-Rouvray, 40 ans, Ed. Ville de Saint-Étienne-du-Rouvray, 1999, 29 p.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Hadrien Mathoux, «Municipales: la gauche communiste triomphe face à "l'imam centriste" à Saint-Etienne-du-Rouvray: Le maire sortant PCF, Joachim Moyse, a été confortablement réélu avec 78,94% des suffrages. Brahim Charafi, adhérent au MoDem et épinglé pour des messages sur les "sionistes", a réuni 13,68% des voix», Marianne , (lire en ligne, consulté le ).
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«Saint-Étienne-du-Rouvray: Hubert Wulfranc cède son fauteuil: Élu député, Hubert Wulfranc cède demain son fauteuil», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le )«Élu député de la 3ecirconscription, et dans le cadre de la loi sur le non-cumul des mandats, Hubert Wulfranc démissionne de son poste de maire qu’il occupait depuis 2002. Il continuera cependant de siéger en tant que conseiller municipal».
Aurélien Delavaud, «Saint-Étienne-du-Rouvray. À Saint-Étienne-du-Rouvray, le nouveau maire s'inscrit dans la continuité: Élu le jeudi 6 juillet 2017 par le conseil municipal, Joachim Moyse prend la suite d'Hubert Wulfranc, élu député communiste et touché par le non-cumul des mandats, à la mairie de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime). Devenu numéro un, l'ancien bras droit veut maintenir le cap défini par son prédécesseur», Tendance Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
«Municipales: Joachim Moyse, maire de Saint-Étienne-du-Rouvray, présente les grands thèmes de son programme: En attendant la composition de sa liste, Joachim Moyse, maire sortant, présente les grands thèmes de son programme», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
«Municipales 2020. Joachim Moyse réinstallé dans son fauteuil de maire à Saint-Étienne-du-Rouvray: Joachim Moyse (PCF) a été élu maire à Saint-Étienne-du-Rouvray le jeudi 28 mai 2020. Il est secondé par dix adjoints», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
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