La commune est située dans l'unité urbaine de Bergerac. Bordée au sud par la Dordogne, elle est arrosée par un de ses affluents, l'Estrop, qui y prend sa source.
Trois ponts traversent la Dordogne à ce niveau du fleuve: le pont Michel-de-Montaigne (vers Sainte-Foy, ancien pont suspendu dont ont été conservés les piliers d'entrée), le nouveau pont suspendu (vers Pineuilh, construit en 1961[1]) et le pont ferroviaire.
Bien que la commune soit dans le département de la Dordogne (numéro 24), son code postal commence par 33 (bureau distributeur: Sainte-Foy-la-Grande en Gironde).
Communes limitrophes
Parmi les dix communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, la moitié se trouvent dans le département de la Gironde. Son territoire est limitrophe de celui d'Eynesse, au sud-ouest sur moins de 300 mètres, et d'environ 350 mètres de celui de Saint-Avit-Saint-Nazaire à l'est. Au sud-est, la commune de Pineuilh est limitrophe en deux endroits disjoints, séparés par Sainte-Foy-la-Grande.
Communes limitrophes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no805 - Sainte-Foy-la-Grande» et «no829 - Duras» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Carte géologique de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFp :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites indifférenciées
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
Fy :
terrasses sous-flandriennes indifférenciées: sables, graviers et galets localement de grande taille (Weichsélien - '-Wurm'-)
Calcaire blanc de l'Agenais: calcaire lacustre blanc renfermant localement des silex et localement gréseux (Aquitanien basal continental)
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g2-A :
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant: argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-As :
Calcaire à Astéries: biocalcarénite détritique à rudistes, calcaire bioclastique à rhodolites et polypiers, marno-calcaire et marne à foraminifères à intercalations molassiques ou lacustre (Rupélien marin)
g1-Ml :
marnes à Longirostris: argiles et marnes à huîtres (Crassostrea longirostris), foraminifères, nodules carbonatés et intercalation de micrite (Rupélien marin)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s.: calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
g1b :
Formation de Boisbreteau moy.: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses - deuxième séquence différenciée et cartographiée sur la feuille de Sainte-Foy-la-Grande (Rupélien inf. continental)
Éocène
e7-g1-S :
Molasse du Fronsadais sup. à faciès sableux dominant: sables argileux grossiers feldspathiques, argiles silteuses/sableuses gris-vert et grès carbonatéss. Nombreux chenaux sableux au sommet (Priabonien sup. à Rupélien basal continental)
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant): argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e6-7 :
Argiles à Paléotherium: argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux, à niveaux carbonatés +/- durcis, sables grossiers micacés marron rouge à la base (Bartonien sup. à Priabonien inf. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 7 mètres et 167 mètres[7],[8].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[11],[12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 18,32 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,79 km2[4].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Dordogne, l'Estrop, la Léchou, la Prunarède, la Rode, le ruisseau du Lardot et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[17],[Carte 1].
La Dordogne longe la commune sur son flanc sud-est. D'une longueur totale de 483,1 km, elle prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements, dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne, pour former l'estuaire de la Gironde[18]. Elle borde la commune au sud sur plus de sept kilomètres, face à Saint-Avit-Saint-Nazaire, Pineuilh, Sainte-Foy-la-Grande et Eynesse.
L'Estrop, d'une longueur totale de 17,8 km, prend sa source dans le nord la commune et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Saint-Antoine-de-Breuilh et de Saint-Seurin-de-Prats, face à Pessac-sur-Dordogne[19],[20]. Il arrose le nord de la commune sur deux kilomètres et demi, lui servant de limite naturelle sur plus d'un kilomètre, face à Fougueyrolles.
Son affluent de rive gauche le ruisseau du Lardot prend sa source sur la commune qu'il baigne sur 300 mètres.
Deux autres affluents de rive droite de la Dordogne arrosent le territoire communal: la Prunarède à l'ouest sur plus de deux kilomètres, et la Rode qui sert de limite naturelle à l'est sur 1,8 kilomètre face au Fleix.
La Léchou, affluent de rive gauche de la Lidoire, borde le territoire communal au nord-est sur un kilomètre et demi, face à Monfaucon.
Quai le long de la Dordogne (promenade de la Batellerie).
Chemin sur berge le long de la Dordogne (promenade de Larmane).
Réseaux hydrographique et routier de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]
Moyenne annuelle de température: 12,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1956 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[29]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records PORT STE FOY (24) - alt: 28 m 44° 51′ 00″ N, 0° 11′ 06″ E Records établis sur la période du 01-07-1956 au 31-05-2017
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
2,1
1,9
4,2
6,4
10,1
13,1
14,8
14,6
11,5
9,2
4,9
2,7
8
Température moyenne (°C)
5,9
6,8
9,8
12,3
16,1
19,5
21,5
21,4
18,2
14,5
9,4
6,6
13,5
Température maximale moyenne (°C)
9,8
11,7
15,5
18,1
22,1
25,8
28,2
28,1
24,8
19,9
13,9
10,4
19,1
Record de froid (°C) date du record
−18,5 17.01.1987
−16 09.02.12
−11,5 01.03.05
−3,1 21.04.17
−2,9 07.05.1957
2,5 01.06.06
6,5 11.07.04
4,3 30.08.1986
1,5 21.09.1977
−5,6 30.10.1997
−8,5 17.11.07
−11,8 26.12.1962
−18,5 1987
Record de chaleur (°C) date du record
19 02.01.03
23,1 15.02.1998
27 29.03.12
31,5 07.04.11
34,4 30.05.01
40,5 26.06.11
40,2 08.07.1982
42 05.08.03
38 03.09.05
32,5 02.10.11
26 06.11.15
21 05.12.06
42 2003
Précipitations (mm)
66,9
57
58,3
77,3
79,8
51,8
54,1
57
63,7
72,7
82,1
81,5
802,2
Source: «Fiche 24335001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[30],[31]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[32].
La Dordogne à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
ZNIEFF
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II «La Dordogne»[33],[34], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[35].
Urbanisme
Typologie
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[36],[37],[38].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[39] et 64 183 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[40],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[42],[43].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (31,9%), zones agricoles hétérogènes (29,7%), zones urbanisées (12,8%), forêts (12,5%), prairies (6,1%), eaux continentales[Note 8] (3,2%), terres arables (2,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5%)[44].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[47]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[48]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2015[49],[45]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la «vallée de la Dordogne», couvrant 9 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[50],[51].
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[52]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[53],[54].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[55]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[56]. 90,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[57].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[45].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 10] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[59].
Toponymie
Le nom de Sanctus Petrus de Punchac est mentionné pour la première fois en 1122[60].
En occitan, la commune porte le nom de Lo Pòrt de Senta Fe e Ponchac[61].
Histoire
Repère de crue.Monument aux morts.
Le long de la promenade de la Batellerie, des repères indiquent le niveau des crues importantes de la Dordogne de 1848 et 1944.
En , à la suite de l'avancée des forces allemandes en Alsace et en Lorraine, les habitants de ces deux régions sont évacués et répartis dans le Centre-Ouest et le Sud-Ouest de la France[62]. Le , la gare de Sainte-Foy-la-Grande voit arriver 850 Alsaciens originaires de Plobsheim, dont une partie est accueillie à Port-Sainte-Foy[63].
En 1960, les communes de Ponchapt et de Port-Sainte-Foy fusionnent sous le nom de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[60].
En eaux profondes, ce petit village de mariniers, pêcheurs, artisans, et commerçants de la vigne et du vin a connu son apogée artisanal et commercial avec l'âge d'or de la batellerie sur la Dordogne. Une intense vie marinière animait alors quais, chais et entrepôts bordant la rivière.
Le , le train TER en provenance de Bordeaux et à destination de Sarlat percute à 120km/h un camion-citerne chargé de 31 tonnes d'hydrocarbures, au passage à niveau du Noble où se croisent la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson et la route départementale 936 (axes Bordeaux-Bergerac). Le bilan de cet accident est de 13 morts et 43 blessés, dont dix grièvement brûlés.
Au XXIesiècle, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt promeut le tourisme et les loisirs: sentiers de randonnées, églises romanes et moulins, deux bases de loisirs nautiques (aviron et canoë-kayak), tennis-club et enfin la Maison du Fleuve et du Vin, musée de la Dordogne batelière, avec sa vue imprenable sur la Dordogne.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont les suivantes:
Élection présidentielle de 1995: 52,19% pour Lionel Jospin (PS), 47,81% pour Jacques Chirac (RPR). Le taux de participation était de 86,57%.
Élection présidentielle de 2002[64]: 79,72% pour Jacques Chirac (RPR), 20,28% pour Jean-Marie Le Pen (FN). Le taux de participation était de 84,85%.
Élection présidentielle de 2007[65]: 51,43% pour Ségolène Royal (PS), 48,57% pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 87,88%.
Élection présidentielle de 2012[66]: 55,74% pour François Hollande (PS), 44,26% pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 83,89%.
Élection présidentielle de 2017[67]: 61,53% pour Emmanuel Macron (REM), 38,47% pour Marine Le Pen (FN). Le taux de participation était de 76,24%.
Élection présidentielle de 2022[68]: 52,65% pour Emmanuel Macron (LREM), 47,35% pour Marine Le Pen (FN). Le taux de participation était de 75,21%.
Élections législatives
Article connexe: Deuxième circonscription de Dordogne.
Résultats des deuxièmes tours:
Élections législatives de 1993: 57,34% pour Katherine Traissac (UDF), 42,66% pour Daniel Garrigue (RPR). Le taux de participation était de 63,86%.
Élections législatives de 1997: 57,85% pour Michel Suchod (MDC), 42,15% pour Daniel Garrigue (RPR). Le taux de participation était de 79,59%.
Élections législatives de 2002[69]: 52,19% pour Daniel Garrigue (UMP), 47,81% pour Cécile Labarthe (PS). Le taux de participation était de 68,65%.
Élections législatives de 2007[70]: 52,77% pour Cécile Labarthe (PS), 47,23% pour Daniel Garrigue (UMP). Le taux de participation était de 68,03%.
Élections législatives de 2012[71]: 55,36% pour Brigitte Allain (EÉLV), 44,64% pour Dominique Mortemousque (UMP). Le taux de participation était de 62,92%.
Élections législatives de 2017[72]: 63,48% pour Michel Delpon (LREM), 36,52% pour Robert Dubois (FN). Le taux de participation était de 48,27%.
Élections législatives de 2022[73]: 52,25% pour Serge Muller (RN), 47,75% pour Michel Delpon (REN). Le taux de participation était de 54,38%.
Élections européennes
Article connexe: Circonscription Sud-Ouest.
Résultats des deux meilleurs scores:
Élections européennes de 1994: 21,70% pour Dominique Baudis (UDF), 18,45% pour Michel Rocard (PS). Le taux de participation était de 61,58%.
Élections européennes de 1999: 26,50% pour François Hollande (PS), 11,14% pour Charles Pasqua (RPFIE). Le taux de participation était de 56,90%.
Élections européennes de 2004[74]: 30,62% pour Kader Arif (PS), 16,03% pour Alain Lamassoure (UMP). Le taux de participation était de 45,74%.
Élections européennes de 2009[75]: 27,61% pour Dominique Baudis (UMP), 17,31% pour Kader Arif (PS). Le taux de participation était de 45,10%.
Élections européennes de 2014[76]: 27,51% pour Louis Aliot (FN), 17,36% pour Michèle Alliot-Marie (UMP). Le taux de participation était de 48,29%.
Élections européennes de 2019[77]: 28,33% pour Jordan Bardella (RN), 22,00% pour Nathalie Loiseau (LREM). Le taux de participation était de 57,00%.
Élections régionales
Résultats des deuxièmes tours:
Élections régionales de 2004[78]: 51,54% pour Alain Rousset (PS), 29,95% pour Xavier Darcos (UMP), 18,52% pour Jacques Colombier (FN). Le taux de participation était de 71,44%.
Élections régionales de 2010[79]: 55,77% pour Alain Rousset (PS), 32,25% pour Xavier Darcos (UMP), 11,97% pour Jean Lassalle (MoDem). Le taux de participation était de 56,99%.
Élections régionales de 2015[80]: 42,80% pour Alain Rousset (PS), 28,80% pour Virginie Calmels (LR), 28,40% pour Jacques Colombier (FN). Le taux de participation était de 60,76%.
Élections régionales de 2021[81]: 43,53% pour Alain Rousset (PS), 24,37% pour Edwige Diaz (RN), 12,44% pour Nicolas Florian (LR), 11,59% pour Geneviève Darrieussecq (MoDem), 8,07% pour Nicolas Thierry (EÉLV). Le taux de participation était de 36,20%.
Élections départementales de 2015[82]: 43,20% pour Serge Fourcaud et Pascale Penisson (PS), 30,53% pour Thierry Boidé (UMP) et Christel Defoulny (DVD), 26,27% pour Simone Gateau et Jean Gratade (FN). Le taux de participation était de 59,30%.
Élections départementales de 2021[83]: 55,77% pour Christel Defoulny et Éric Frétillère (DVD), 44,23% pour Serge Fourcaud et Célia Landreau (PS[84]). Le taux de participation était de 36,71%.
Élections cantonales de 1994: 58,84% pour Serge Fourcaud (PS), 41,16% pour Didier Lourec (RPR). Le taux de participation était de 73,95%.
Élections cantonales de 2001: 55,74% pour Serge Fourcaud (PS), 26,91% pour Robert Descoins (RPR), 17,35% pour Didier Lourec (DVD). Le taux de participation était de 76,34%.
Élections cantonales de 2008[85]: 52,99% pour Serge Fourcaud (PS), 47,01% pour Robert Descoins (DVD). Le taux de participation était de 63,84%.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[86],[87].
Dans le domaine judiciaire, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt relève[90]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
Panneau de jumelage à l'entrée de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt sont appelés les Port-Foyens[91].
Jusqu'en 1859, les trois communes du Canet, de La Rouquette et de Saint-Avit-du-Tizac étaient indépendantes. Leur regroupement a donné naissance à la commune de Port-Sainte-Foy.
Lors de la fusion des communes de 1859, Saint-Avit-du-Tizac prend le nom de Port-Sainte-Foy. En 1960, la commune de Ponchapt fusionne avec Port-Sainte-Foy qui devient Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1861. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[92]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[93].
En 2019, la commune comptait 2 478 habitants[Note 11], en diminution de 0,8% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1 110
1 190
1 197
1 314
1 319
1 317
1 322
1 400
1 489
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1 447
1 428
1 216
1 189
1 253
1 248
1 320
1 432
1 594
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
1 798
1 872
2 093
2 222
2 345
2 335
2 489
2 492
2 478
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[94].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Bibliothèque municipale.
À l'origine, l'école communale se trouvait dans le même bâtiment que l'hôtel de ville, comme dans la plupart des autres municipalités[95].
Avant l'instauration de la mixité, Port-Sainte-Foy disposait d'une école de filles, dont l'inscription est toujours visible sur le fronton du 54 rue Onésime-Reclus. L'édifice accueille de nos jours la bibliothèque municipale.
La mosquée de la Paix de Port-Sainte-Foy, édifiée en 1995[97].
Église catholique: messes hebdomadaires[98] à Sainte Foy-la-Grande (tous les dimanches à 11 h) ou à Port-Sainte-Foy.
Églises protestantes de la fédération protestante de France:
Église réformée: cultes hebdomadaires à Sainte-Foy-la-Grande;
Église évangélique tzigane: cultes hebdomadaires.
Culte musulman sunnite: quotidien.
Sports et loisirs
Stade Pierre-Lart.
Club de tennis.
Plage des Bardoulets, au bord de la Dordogne, surveillée durant l'été dans le cadre de l'opération CAP33, en partenariat avec le département de la Gironde. Activités culturelles et sportives proposées, dont du beach-volley[99],[100].
Manifestations culturelles et festivités
Salon du livre Mémoire ancrée, en septembre (12eédition en 2022[101]).
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
Emploi des habitants
En 2015[102], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 873 personnes, soit 34,9% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (135) a augmenté par rapport à 2010 (122) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,5%.
Emploi sur la commune
Ehpad Saint-Joseph.
En 2015, la commune offre 984 emplois pour une population de 2 503 habitants[103]. Le secteur tertiaire prédomine avec 42,2% des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 33,9%.
Au , la commune compte 228 établissements[104], dont 141 au niveau des commerces, transports ou services, trente-trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et quinze dans la construction[105].
Jusqu'à l'ouverture du centre commercial Leclerc Grand Pineuilh en 2012, Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt comptait une grande surface de la même enseigne, avenue de Bordeaux, par la suite reconvertie en Brico-Leclerc[106].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Fauga, XVIIIesiècle, inscrit depuis 1989 au titre des monuments historiques[107].
Église de l'Immaculée-Conception. Au-dessus de la porte de l'église est installé un bas-relief figurant des armoiries (dont une tiare pontificale). Étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Un refuge paroissial destiné aux pèlerins se trouve près de l'église. Une coquille Saint-Jacques en métal est incrustée dans la voirie, au croisement de la rue Notre-Dame et de la rue Jacques-Jasmin.
Temple protestant (désaffecté).
La Maison du Fleuve et du Vin, musée de la Batellerie de Dordogne, fondée en 1996[108].
Le château de Fauga.
L'église de l'Immaculée-Conception.
Armoiries.
L'ancien temple.
La maison du Fleuve et du Vin, musée de la Batellerie.
Le foyer municipal.
Pigeonnier dans le bourg de Port-Sainte-Foy.
Cimetière.
Personnalités liées à la commune
Charles Sinsout (1889-1985), homme politique, sénateur, adjoint au maire de Port-Sainte-Foy
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Héraldique
Les armes de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt se blasonnent ainsi:
Écartelé, au premier et au quatrième contre-écartelé au I et au IV de gueules au lion d'or, au II et au III d'argent plain, au deuxième et au troisième d'or à l'aigle de sable.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[58].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte du site «la Dordogne», INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
Carte de la ZNIEFF «la Dordogne», INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre «Couches disponibles», barrer d'abord la couche «Orthophotos» avant de cliquer sur «Fonds de cartes», puis sur la couche «Fonds Cartographique IGN».
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