En 1997, la commune a obtenu le Label "Communes du Patrimoine Rural de Bretagne" pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager.[réf.nécessaire]
Géographie
Localisation et communes limitrophes
Peillac se trouve à l'est du Morbihan, à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Redon. La commune est située en Haute-Bretagne, la partie gallaise de la Bretagne.
La géologie de Peillac est marquée par la présence de l'anticlinal de Lanvaux, orienté de l'ouest-nord-ouest à l'est-sud-est, et les terrains affleurants sont organisés en bandes parallèles respectant cette orientation. Les formations schisteuses attribuées au Briovérien (b-02) (fin du Précambrien) se rencontrent au sud du territoire de Peillac mais également plus au nord, au niveau des Fougerêts. Des formations sédimentaires ordoviciennes, grès armoricain de l'Arénigien (O2), schistes d'Angers du Llanvirnien-Llandellien (O3-4) ou grès du Châtellier du Caradocien (O5) les recouvrent. Cet ensemble est structuré lors de l'orogénèse hercycienne qui se caractérise ici par la présence du granite des landes de Lanvaux (γ1). Des failles recoupent le banc de granite. Les alluvions de terrasse du Pléistocène (Fx-y) ou celles fluviatiles de l'Holocène (Fz) qui se déposent dans la vallée de l'Oust sont les plus récentes formations affleurantes du secteur[2].
Le territoire communal de Peillac affecte sensiblement la forme d'un rectangle allongé dans le sens de l'anticlinal de Lanvaux et mesurant 7,2 × 4,1 km dans ses plus grandes dimensions. Les points les plus hauts de la commune se rencontrent sur la crête de cet anticlinal qui s'abaisse progressivement de l'ouest vers l'est. Le chef-lieu communal, bâti sur cette crête, se trouve à une altitude d'environ 65 m. Les points les plus bas (au niveau de la mer) se trouvent dans les vallées de l'Oust et de l'Arz[3].
Avec 2 420ha, quand la surface moyenne d'une commune française est de 1 488ha, Peillac est une commune de grande taille[4].
Carte topographique de la commune de Peillac.
Hydrographie
Peillac se trouve intégralement dans le bassin versant de la Vilaine.
L'Oust, principal affluent de la Vilaine, longe et constitue la frontière nord du territoire de la commune. L'Oust est canalisé et forme une partie du canal de Nantes à Brest. L'Arz, affluent de l'Oust, limite le territoire de Peillac au sud. Ces deux rivières coulent d'ouest en est.
Paysages naturels
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]
Moyenne annuelle de température: 11,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Jacut-les-Pins», sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[11] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12°C et la hauteur de précipitations de 896,5 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Vannes-Séné», sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 40 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 12,3°C pour 1981-2010[15] à 12,4°C pour 1991-2020[16].
Risques naturels
Urbanisme
Typologie
Peillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (36,6%), terres arables (34,5%), prairies (13,2%), forêts (11,2%), zones urbanisées (4,5%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Morphologie urbaine
Logement
Lieux-dits et hameaux
Maubran
La construction des bâtiments les plus anciens commence à la fin du XVIesiècle et se poursuit pendant le XVIIesiècle. Au cœur du village s'élève la chapelle Notre-Dame de Liesse.
Une longère, ou habitation en longueur, datant de 1646.
Aménagements récents et en projet
Toponymie
Extrait de la Tabula ducatus britanniae gallis (XVIIesiècle) où l’on peut lire «Peillac» (en haut à gauche).
Le nom de la localité est attesté sous les formes Poliac en 849, Puliac en 850, Poilac en 867, Pellac en 1371, Peillac en 1387, Peilac en 1494[24].
Le nom de la localité en gallo, la langue régionale locale, est Peya[25].
La forme bretonne correcte proposée par l'Office public de la langue bretonne est Paolieg[24].
Histoire
Peillac sur une carte d'État-Major au XIXesiècle.
De la Préhistoire à l'Antiquité
Des lec'hs marquent les premiers sites d'habitat dans l'ensemble du territoire des Vénètes, notamment dans les clairières ou en hauteur, par exemple dans les Landes de Lanvaux[26]. L'emplacement de Peillac est au nord-est de ce territoire vénète, entre l'Oust et l'Arz[26]. À l'époque gallo-romaine, un ensemble d'habitats gaulois et une villa gallo-romaine forment une petite agglomération[26]. Celle-ci est située à proximité de sources, et surtout entre deux gués sur une voie romaine reliant deux cités[26].
Saint Sabulin serait ainsi le fondateur de la paroisse de Peillac, vers le Vesiècle[réf.souhaitée].
Moyen Âge
Peillac connaît comme le reste du territoire une période de paix puis de guerres[26]. La paix est provisoirement rétablie en 939[26].
Le déplacement des gués entraîne celui des voies de communication[26]. Celles-ci sont utilisées par des pèlerinages[26].
Site de défense, c'est aussi un lieu de pouvoir judiciaire[26].
Époque moderne
En 1532, la Bretagne est rattachée à la France[26].
Pendant les guerres de Religion de la fin du XVIesiècle, le bourg est incendié. Il est reconstruit avec les pierres du château de Cranhac, ruiné[26].
À la Révolution française, la paroisse devient une commune, chef-lieu de canton[26]. Elle conserve néanmoins les fonctions agricoles, d'artisanat et de commerce plus que sa fonction administrative[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 1 847 habitants[Note 7], en diminution de 0,65% par rapport à 2013 (Morbihan: +2,97%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 764
1 737
1 698
1 790
1 935
1 853
1 916
2 006
1 963
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 898
1 903
1 952
1 856
1 965
1 980
1 998
1 996
2 007
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 044
2 002
2 047
1 859
1 849
1 763
1 756
1 754
1 662
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
1 599
1 536
1 620
1 736
1 694
1 649
1 791
1 812
1 859
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 858
1 847
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Les écoles sont situées dans l'académie de Rennes, elles suivent le calendrier scolaire de la zone B.
Enseignement primaire
École Saint-Pierre
École primaire publique la Marelle, située Rue de la Cité des Fleurs
À la rentrée de , l'école primaire La Marelle accueille 112 élèves de classes maternelles et élémentaires, répartis en cinq classes[32].
École primaire privée Saint Pierre, située 13 rue du Stade
Elle accueille 106 élèves de classes maternelles et élémentaires[33].
Enseignement secondaire
Les collégiens dépendent du collège de Malansac[34] et les lycéens sont rattachés au lycée Marcelin Berthelot de Questembert[35].
Santé
Cultes
Culte catholique
Église Saint-Sabulin
Culte protestant
La commune est rattachée au secteur Vannes-Morbihan-est, de l'Église protestante unie de France. Les cultes hebdomadaires et cérémonies religieuses ont lieu au temple de Vannes[36].
Médias
Presse écrite
La presse écrite quotidienne régionale est représentée par Le Télégramme, qui propose des pages locales dédiées à Vannes et au Morbihan[37] et Ouest-France qui dédie une page à Peillac[38].
Télévisions
France 3 Bretagne est présente sur Vannes et propose des éditions du 12/13 et du 19/20 en langue bretonne. Elle est diffusée sur Vannes et tout le Morbihan grâce à la tour hertzienne TDF du Moustoir-Ac.
Enfin, la chaîne de télévision locale TébéSud (anciennement Ty Télé) diffuse des émissions sur le Morbihan et un décrochage d'une heure par jour permet de s'informer de la vie locale du bassin vannetais et du reste du département. Elle est basée à Lorient.
Activités sportives et culturelles
Façade de la médiathèque Le Grand Logis
Médiathèque Le Grand Logis est créée en 1995 dans un bâtiment, datant du XVIIe siècle. Son nom provient du fait que ce bâtiment était la maison du Sénéchal, siège administratif de la famille des Rohan[39].
Pendant plus de 140 ans, la médiathèque actuelle a été pour la population Peillaçoise: la maison des religieux ou maison des sœurs
François Nael, recteur de la paroisse de Peillac (1772-1848) achète en 1836 aux demoiselles Hervieu, la maison le Gand-Logis pour y installer les sœurs de Saint Jacut dans le but d’y créer une école de filles[40].
Tir à l'arc: les Archers de Cranhac
Basket: les clubs de la Jeanne d'Arc de Peillac et l'entente de l'Oust de Les Fougerêts ont fusionné de matière équitable.
Football: le club de la Jeanne d'Arc Peillac, fondé en 1941 et dont les matchs se déroulent au stade du Cormier.
Équipements collectifs
Piscine
Vie associative
La commune accueille des associations.
La rivière au pont à Peillac.
Dans le secteur des animations, la ferme des Écotais organise des ateliers dans le pays de Redon à destination des jeunes, comme des ateliers relatifs au numérique et à la robotique[41] ainsi que des ateliers tout public, notamment des ateliers de taille et de greffage[42].
Sur le cours principal de l’Oust l’Association Agrée pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique Pêches Loisirs de l’Oust a créé un parcours de pêche labellisé au niveau national, avec cinq postes de pêches dont un pour les personnes à mobilité réduite. L’Oust à cet endroit est une succession de zones de pêches diversifiée dont celle de certains poissons migrateurs (alose, lamproie, anguille)[43],[44].
Le Yoling Club de Peillac[45], créé en 2007, développe la navigation en yoles de Ness et favorise la sauvegarde et l'animation du patrimoine maritime et fluvial.
Festivals, spectacles et manifestations
Économie
Revenus et fiscalité
Emploi
Tissu économique
Agriculture
Industrie et artisanat
Artisans d'art de Peillac
M.C. Rouet, relieur d'art
Sean Miller, artisan potier
Bruno Lesteven, tisserand
Catherine Gerbeaux, décoratrice
Eric Moine, tailleur de pierre
Nicole Charpentier, artiste textile
Activités de service
Camping municipal du Pont de l'Oust
Culture et patrimoine
Patrimoine bâti
Église Saint-Sabulin
Elle est aussi connue comme église Saint-Pierre.
Une statue polychrome dite de saint Sabulin ou saint Aubin, datant du XVIesiècle, propriété de la commune, classée le [46];
Deux vantaux en bois peint, de la porte dite de la Balay, du XVIIIesiècle[47];
Une statue dite de la Vierge à l'Enfant;
Deux retables, 4equart du XIXesiècle;
Des confessionnaux, 4equart du XIXesiècle;
Des lambris de revêtement (boiseries du chœur), attribués au menuisier Le Brun, 4equart du XIXesiècle;
Deux statues de Saint Vincent Ferrier et de Saint Louis, XIXesiècle;
Un retable du maître-autel et deux statues de Saint Pierre et Saint François de Sales 3equart du XVIIIesiècle.
Chapelle Notre-Dame de Liesse
Notre-Dame de Liesse est une chapelle située dans le village de Maubran, à l'est du bourg de Peillac. Elle est reconstruite sur un édifice antérieur à la fin du XVIesiècle[48] (en 1586 par Jan Jouan selon le linteau de la porte d'entrée latérale sud). Sa voûte est consolidée en 1691 par Julien Méaude et son clocher est du XVIIIesiècle[49].
Mobilier intérieur
Elle abrite cinq objets mobiliers inscrits au titre des monuments historiques:
un autel avec peinture polychrome du XVIIIesiècle, représentant Notre-Dame-de-Liesse au milieu d'un décor de fleurs, ainsi que diverses statues, des stalles. Il a été inscrit le [50];
une statue de Vierge à l'enfant en bois polychrome du XVIesiècle, inscrite le ;
un autel en bois polychrome du XIXesiècle, inscrit le [51];
un gradin tabernacle et baldaquin en bois doré du milieu du XVIIIesiècle, inscrit le [52];
une croix d'autel en bois polychrome du XVIIIesiècle, inscrite le [53].
Cet espace accueille parfois des expositions. Des offices y sont célébrés chaque année au moment des rogations.
Notre-Dame de Liesse
Façade ouest de la chapelle Notre-Dame de Liesse.
Vue sud-ouest.
Autel du XVIIIesiècle.
Statue de Notre-Dame de Liesse.
Voûte en planches de châtaignier.
Autres bâtiments remarquables
Bâtiments inventoriés
Chapelle Saint Julien
Chapelle Saint Julien, appelée aussi chapelle des Landes: elle est située sur la rue du Bois du Plessis et date du XVIIIesiècle.
Écluse de garde de Limur, la vingtième du canal de Nantes à Brest[56] et sa maison éclusière[57] construite entre 1838 et 1841.
Autres bâtiments
Le lavoir de Maubran, situé au milieu du village et entouré de trois fontaines dont l'une est appelée Fontaine de Notre Dame de Liesse.
Les ruines du château de Cranhac (Site classé(1908))
Monuments
Lavoir de Maubran (2012).
Fontaine de Notre Dame de Liesse
Fontaine des communs
Culture populaire
La fête des fruits de l'automne se déroule chaque année le troisième week-end du mois d'octobre[58].
Costume traditionnel
Le costume traditionnel des femmes de Peillac est composé de différents éléments:
la coiffe, relativement plate, aux ailes repliées sur le dessus, est posée sur un bonnet de tulle ou au crochet, lui-même posé sur les cheveux réunis en chignon;
la taille aux manches amples est boutonnée sur le côté; elle peut être recouverte de la guimpe, une pièce noire ou blanche en dentelle, et constitue le haut du costume;
le tablier recouvre une jupe ample nommée cotillon; il peut être noir ou coloré, et indique le statut de sa porteuse: en étoffe simple et avec des poches pour les costumes plus modestes; en velours ajouré ou brodé pour les personnes plus aisées[59].
Carte postale représentant un costume de la région de La Gacilly, à proximité de Peillac (autour de 1900).
Patrimoine gastronomique
Héraldique
Les armoiries de Peillac se blasonnent ainsi:
D’argent à trois merlettes de sable
Les armoiries de la famille de la Landelle du château de la Grae en Peillac étaient similaires, elles avaient un «au franc canton de même» en plus[60].
Personnalités liées à la commune
François-Marie Trégaro (1824-1897) , évêque de Sées (Orne) et aumônier de l'armée des Indes, né à Peillac[61];
Marcel Callo (1921-1945), militant de la JOC, mort en camp de concentration, béatifié en 1987, un de ses parents était Peillacois;
Jean Prouff, joueur et entraîneur du Stade rennais, est né et a vécu à Peillac dans sa jeunesse;
Jacques Francini (1926-2012), clown «Auguste» de La Piste aux étoiles, a choisi Peillac pour sa retraite;
Patrice Martin, multiple champion du monde de ski nautique, a des attaches familiales à Peillac;
Yann Sohier, instituteur, militant de la langue bretonne et père de l'historienne Mona Ozouf, y a habité plusieurs années;
Anne-Marie Boudaliez, résistante née en 1920 à Peillac
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Christophe Meunier, Géographie: Professeur des écoles: Oral, admission - CRPE 2017, Dunod, , 256p. (ISBN978-2-10-075579-0, lire en ligne), p.73.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
(br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC63764620, lire en ligne), p.132
Titre non indiqué (bande dessinée sur l'histoire de Peillac), Peillac Scénario: Jean-Bernard Vighetti - Dessin: Lucien Rollin - Couleurs: Jean-Jacques Chagnaud.
Notice noIA56005518, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne. et
Mentionné p.160 dans Charles Floquet, Dictionnaire historique, archéologique et touristique des châteaux et manoirs du Morbihan Mayenne, Yves Floch, 1991.
Notice noIA56006177, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Notice noIA56006630, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
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