Questembert[kɛstɑ̃bɛʁ] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. La ville est le chef-lieu du canton de Questembert et le centre de Questembert Communauté[1].
Questembert est située approximativement entre les villes de Vannes, à 30 km, et Redon, à 35 km. Les plages les plus proches se trouvent à environ 20 km (Billiers, Damgan, Ambon). Le département voisin le plus proche est la Loire-Atlantique, à 25 km[1].
Communes limitrophes
Les distances entre l'hôtel de ville de Questembert et les mairies des communes les plus proches sont: Berric à 5,4 km, Larré à 6,7 km, La Vraie-Croix à 7 km, Lauzach à 7,2 km, Sulniac à 7,6 km, Noyal-Muzillac à 7,8 km, Limerzel à 8 km, Molac à 9,1 km et Le Cours à 9,3 km. Les communes en contact direct avec le territoire de Questembert sont: Larré, Pluherlin, Noyal-Muzillac, La Vraie Croix, Molac, Limerzel et Berric[1].
Questembert se situe en arrière du littoral, à 15 km de l'océan Atlantique et une vingtaine de kilomètres du golfe du Morbihan, dans un environnement alternant un paysage de bocage, agricole et naturel, fait de champs, prairies, haies, taillis, bois et landes. Son territoire est traversé par de petits cours d'eau, dont les principaux sont la rivière de Saint-Éloi et le Trévelo.
L'étang de Célac est le principal plan d'eau de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1988 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records QUESTEMBERT (56) - alt: 96 m 47° 40′ 18″ N, 2° 27′ 24″ O Statistiques établies sur la période 1988-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2020
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
3
2,9
4,1
5,2
8,8
11
12,7
12,7
10,4
8,4
5
2,8
7,3
Température moyenne (°C)
6,1
6,6
8,6
10,3
14
16,7
18,4
18,7
15,9
12,6
8,7
6
11,9
Température maximale moyenne (°C)
9,2
10,3
13,1
15,4
19,3
22,4
24,1
24,7
21,4
16,8
12,4
9,2
16,6
Record de froid (°C) date du record
−11,9 02.01.1997
−10,5 08.02.1991
−10 01.03.05
−3 05.04.12
−1,3 06.05.19
2 09.06.1989
4,8 10.07.04
4 31.08.1990
0 28.09.1990
−3,5 21.10.10
−7 21.11.1993
−9,3 26.12.10
−11,9 1997
Record de chaleur (°C) date du record
19 27.01.03
22 27.02.19
23,8 19.03.05
29 20.04.18
31,3 26.05.17
36,2 27.06.19
36,6 23.07.19
38,5 09.08.03
32,5 07.09.16
28,6 02.10.11
21,1 01.11.15
16 24.12.1989
38,5 2003
Précipitations (mm)
129,3
88,2
82,7
75,1
87,3
51,4
58,4
49,4
81,3
119,6
112,7
134,7
1 070,1
Source: «Fiche 56184001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
La région de Questembert est située dans le domaine varisque sud-armoricain qui est un témoin de la tectonique tangentielle hercynienne[9], avec le cisaillement sud-armoricain constitué de deux branches. La branche sud est bordée au Nord par une bande de leucogranite (granite clair, à muscovite et biotite, semblable aux granites à deux micas qui jalonnent le cisaillement sud-armoricain)[10], épais de 2 km, issue de fondus anatectiques, daté de 329 ± 21 Ma, dont la forme, en «goutte d'eau renversée», montre une racine étroite[11]. Cette roche constitue le massif granitique de Grand-Champ/Allaire plus connu sous le nom de massif granitique de Questembert, qui forme un appendice de quelque 70 kilomètres de long pour quelque 5 kilomètres de large[12]. Ce massif est intrusif dans les schistes du briovérien (qui ne subsistent qu’à l’état de panneaux entre les lobes de ce massif dont ils forment l’encaissant) et localement paléozoïques affectées par un métamorphisme de contact ubiquiste[13].
Voies de communication
Routes
L'ancienne route nationale 775 (aujourd'hui déclassée en route départementale) traverse d'ouest en est en passant au lieu-dit Bel-Air à 3 km au nord du centre de la ville, permettant de rejoindre la RN 166 de Rennes à Vannes. Des routes départementales orientées nord-sud (dont la D1, surnommée «Route bleue»[14]) permettent d'accéder à la RN 165 de Nantes à Brest[1].
Trains
La voie de chemin de fer de Paris à Quimper traverse la commune d'est en ouest. La gare de Questembert, située à Bel-Air, est le lieu d'arrêt des TER Bretagne, permettant notamment de rejoindre les gares de Vannes ou Redon pour accéder aux correspondances avec le TGV Atlantique[1].
L'aéroport de Vannes-Meucon, réservé aux petits avions privés, est situé à moins de 20 km. Les aéroports ouverts au trafic national et international les plus proches sont: l'aéroport de Lorient - Bretagne Sud sur la base de Lann-Bihoué à 90 km; l'aéroport de Nantes Atlantique à 100 km et l'aéroport de Rennes - Saint-Jacques à 90 km[1].
Voie verte
La voie verte de Saint-Malo à Rhuys s'arrête provisoirement à Bel-Air en Questembert. Elle permet notamment de rejoindre le chemin de halage du canal de Nantes à Brest et la ville de Ploërmel[15].
Article détaillé: Voie verte Mauron Questembert.
Urbanisme
Typologie
Questembert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Questembert, une unité urbaine monocommunale[19] de 7 585 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Tissu urbain discontinu
5,0%
330
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques
1,1%
72
Équipements sportifs et de loisirs
0,7%
47
Terres arables hors périmètres d'irrigation
35,1%
2301
Prairies et autres surfaces toujours en herbe
15,1%
994
Systèmes culturaux et parcellaires complexes
29,6%
1939
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants
Diverses appellations de la petite ville sont relevées selon les époques, notamment: Kaistemberth en 1160, Questebert et Questembert en 1164, Kestembert en 1255, Kestemberts en 1261, Questembert en 1266, Questelberz en 1387, Quinntembert en 1428, Questelbertz et Questebert en 1453, Quenstelbertz en 1482, Quitinber en 1630 et Guistemberg en 1636[25].
Le nom de la localité possède un nom en breton, Kistreberh, et un nom en gallo, Tchitembé[26].
En breton, Kistreberzh aurait pour origine «kisten berh», qui signifie «pays des châtaignes»[14].
Histoire
Moyen-Âge
Alain le Grand, roi de Bretagne[27], aurait écrasé les Normands (Vikings) dans les environs de Questembert, le [28]. Des 15 000 Normands, 400 ou 40, selon les sources, eurent la vie sauve en s'enfuyant vers leurs bateaux. Mais cette localisation est remise en cause par les historiens récents qui pensent que ce combat se serait déroulé nettement plus à l'est[29].
Alain le Grand est à associer à Judicaël, son rival devenu allié, tué à l'extrémité ouest du front, avant la bataille[30]. Une stèle de granite de 5 m de hauteur a été érigée place Gombaud en 1907 par l’Union Régionaliste Bretonne à l’occasion du millénaire de la mort du roi Alain le Grand. Elle commémore la victoire du chef breton sur les Normands[14].
Combat de Coëtbihan
En 1793, Questembert est le théâtre d'affrontements entre Républicains et Chouans. Le combat de Coëtbihan en est l'épisode le plus sanglant.
Le XXesiècle
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Questembert porte les noms de 192 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[31].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Questembert porte les noms de 32 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[31]. Sept résistants ont été fusillés ou sont morts en déportation: parmi eux Albert le Brun[32] et Gabriel Malard[33], tous deux le à la caserne du Colombier à Rennes.
La gare de Bel-Air, à la jonction entre la ligne ferroviaire Paris-Quimper et de celle qui venait de Malestroit, vit transiter (les transits étaient organisés par un hôtelier-restaurateur de Bel-Air) de nombreux aviateurs alliés cherchant à gagner des ports des Côtes-du-Nord afin de regagner l'Angleterre[34]. Un cheminot, Stanislas Pivaut, mourut en déportation le au stalag II-D de Stargard[35].
Des résistants FFI de Questembert furent tués lors de combats contre les Allemands: Christophe Flatrès[36] le à Questembert et René Daniel[37] le à Nostang.
L'après Deuxième Guerre mondiale
Un soldat originaire de Questembert est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine et un autre pendant la Guerre d'Algérie [31].
Économie
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2019, la commune comptait 7 862 habitants[Note 5], en augmentation de 5,9% par rapport à 2013 (Morbihan: +2,97%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 468
2 789
2 715
3 488
3 561
3 755
3 590
3 836
3 803
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 844
3 940
4 049
4 021
4 113
4 155
4 131
4 102
4 152
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 076
4 119
4 357
4 071
4 206
4 229
4 187
4 198
4 062
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
4 068
4 209
4 661
4 961
5 076
5 727
6 272
6 585
7 021
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
7 399
7 862
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Questembert se caractérise par la mise en place de[48]:
système d'autostop participatif, entre le centre-ville et la gare, appelé Questen'pouce[49];
système de collecte des déchets triés par traction hippomobile[50];
«pédibus» pour deux écoles maternelles/primaires;
«coulée verte» périurbaine;
minimum de 20% de produits alimentaires biologiques et locaux servis dans la restauration scolaire;
filière bois-énergie locale et réseau de chaleur bois pour le chauffage de la piscine communautaire et le centre de loisirs;
«zéro phyto» depuis 2013.
Ramassage des déchets à Questembert par les chevaux.
Enseignement
Français
La commune abrite un lycée (Marcelin-Berthelot), deux collèges (Saint-Joseph, Jean-Loup Chrétien), trois écoles maternelles et primaires (école Beau Soleil, école Notre-Dame, école Diwan[51]), une maison familiale rurale et une antenne du lycée agricole ISSAT Saint-Jacut. En 2008, l'institut de Questembert a procédé à un échange avec le Cinco Villas constaté de Ejea de los Caballeros, Saragosse, Espagne.
Bilingue: français breton
À la rentrée 2018, 87 élèves étaient scolarisés à l’école Diwan et dans les écoles bilingues (soit 10,6% des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[réf.nécessaire][52].
Culture et patrimoine
Histoire linguistique
En 1806, Questembert est noté par l'enquête impériale menée par Charles Coquebert de Montbret comme bretonnante. En 1843 dans l'enquête mené par M.Ogée[53], on y indique qu'on y parle le français. Le pays de Questembert avec celui de Muzillac appartient au «pays d'A-Bas», qui a fait l'objet d'un travail de collectage coordonné par Philippe Blouët, réalisé notamment dans les années 1980 par le cercle celtique-bagad de Questembert. Plusieurs publications sont à signaler (cahier de pays avec disque «Dastum numéro 6-chants traditionnels du bas pays- Muzillac Questembert» en 1982, «Sonneneù bro Gwened ihuel 1 et 2» par le cercle celtique de Questembert, puis un CD avec livret trilingue breton gallo français «chants du pays de Questembert» édité par l'association locale Andon et les éditions Alain Pennec en 2002, composé de chants collectés et réinterprétés, en français, gallo et en breton). Le pays de Questembert n'est pas «en pays gallo», mais plutôt aux confluents de la Basse Bretagne et de la Haute Bretagne, aujourd'hui (ou jusqu'aux années 1980) partiellement d'expression gallèse à l'est seulement et encore brittophone jusqu'au début du XIXesiècle sur son pourtour comme plusieurs communes voisines. M.Broudic[54].
Patrimoine architectural
Les halles du XVIesiècle, Classé MH(1922);
L'église Saint-Pierre;
La chapelle Notre-Dame-des-Neiges;
La chapelle Sainte-Suzanne;
La chapelle Sainte-Noyale;
La chapelle Saint-Michel, Classé MH(1922);
La chapelle Saint-Vincent du lieu-dit Saint-Doué, Inscrit MH(1928) pour la Croix à bannière;
La chapelle Notre-Dame-de-l'O;
La chapelle Saint-Jean;
Le calvaire Saint-Michel, Classé MH(1922);
le moulin de Lançay;
L'hôtel Belmont;
Le puits de l'ancien presbytère, Inscrit MH(1934);
La croix du Congo, Inscrit MH(1933);
La croix des Buttes, Inscrit MH(1933);
Le château d'Ereck - Privé - fermé au public;
Le château de Bocquenay.
Halles.
Chapelle Saint-Michel.
Calvaire Saint-Michel.
Chapelle Saint-Vincent.
Puits de l'ancien presbytère.
Croix du Congo.
Tour de l'hôtel Belmont.
Animation culturelle
Questembert bénéficie d'une riche animation culturelle.
Infrastructures
Salle de spectacles intercommunale L'Asphodèle, fondée en 2006;
Cinéma Art et Essai Iris;
Médiathèque.
Événements culturels
Festival de théâtre jeune public Festi'Mômes[55], fondé en 2005, annuel jusqu'en 2015, puis biennal;
Festival des arts de la rue Festives Halles[56], annuel de 1997 à 2016;
Salon du livre jeunesse[57], fondé en 2000, annuel jusqu'en 2015, puis biennal.
Tradition: le chêne guérisseur du Hulo
«À Questembert, au lieu-dit "Le Hulo", on peut voir une niche contenant une statue de la Vierge Marie, l'ensemble étant fixé au tronc d'un vieux chêne tout au bord de la route. Des petits vêtements y sont souvent accrochés, car Notre-Dame-du-Hulo est invoquée pour guérir les maladies infantiles comme la rache, la gourme ou l'impétigo. En accrochant un linge ayant été porté par le petit malade, on obtenait la guérison par transfert. Cette même Vierge pouvait, paraît-il, aider les jeunes femmes à trouver un époux. Cette tradition était encore bien vivante avant la Seconde Guerre mondiale»[58].
La Bogue d'Or de Questembert: club omnisports fondé le regroupant actuellement six sports dont le football, le tennis de table, la gymnastique, le GRS Twirling, la marche randonnée et la pétanque. La section football évolue en DSR. Tandis que celle du tennis de table évolue en D2 du comité du Morbihan de la FFTT. Le nom du club fait référence à la signification du nom de la commune en breton ("pays de la châtaigne").
Les Avettes de Questembert: club de basket évoluant dans les championnats départementaux de la FFBB.
Le HBCRK Handball Questembert: club de handball créé en 1991 dont l'équipe masculine évolue en Pré-Régionale (haut niveau départemental) et l'équipe féminime évolue elle aussi dans les championnats départementaux de la Fédération française de handball.
Le CARQ: club d'athlétisme, running et cross-country crée en 1993 affiliée à la Fédération française d'athlétisme113 licenciés en 2022 .
Questembert a accueilli le Tour de France 1997 le .
Personnalités liées à la commune
René Mulot, missionnaire de la Compagnie de Marie, décédé à Questembert (1683-1749).
Jean-Julien Le Mauff, officier de marine, né et décédé à Questembert (1731-1798).
René Gabriel, recteur de Questembert et député aux États généraux de 1789 (1742-1821).
Bénigne-Urbain-Jean-Marie du Trousset d'Héricourt, évêque d'Autun, né à Questembert (1797-1851).
Jean Grimaud, maire de Questembert et député (1909-1993).
Roland Becker, créateur des Festives Halles (1997).
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
(en) J.Bernard-Griffiths, J.J.Peucat, S.Sheppard, Ph.Vidal, «Petrogenesis of Hercynianleucogranites from the Southern Armorican Massif: contribution of REE and isotopic(Sr, Nd, Pb and O) geochemical data to the study of source rock characteristics and ages», Earth and Planetary Science Letters, vol.74, nos2-3, , p.235–250 (DOI10.1016/0012-821X(85)90024-X).
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