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Montfermeil est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France.

Montfermeil

L'hôtel de ville, en .

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-Saint-Denis
Arrondissement Le Raincy
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris - Grand Est
Maire
Mandat
Xavier Lemoine (VIA)
2020-2026
Code postal 93370
Code commune 93047
Démographie
Gentilé Montfermeillois, Montfermeilloises
Population
municipale
27 928 hab. (2019 )
Densité 5 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 00″ nord, 2° 34′ 00″ est
Altitude 116 m
Min. 62 m
Max. 117 m
Superficie 5,45 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tremblay-en-France
Législatives 12e circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Montfermeil
Géolocalisation sur la carte : France
Montfermeil
Géolocalisation sur la carte : Seine-Saint-Denis
Montfermeil
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Montfermeil
Liens
Site web http://www.ville-montfermeil.fr

    Ses habitants sont appelés les Montfermeillois.


    Géographie


    Localisation de Montfermeil dans la petite couronne.
    Localisation de Montfermeil dans la petite couronne.

    La ville s'étend sur 545 ha (5,45 km2) et se situe à 15 km à l’est de Paris, sur le flanc sud du plateau portant la forêt de Bondy.

    Montfermeil possède 69 ha d’espaces verts répartis entre les 21 ha de forêt de Bondy, 20 ha pour le Bois des Ormes, 23 ha de parcs et jardins, 5 300 m2 de massifs fleuris, 3 ha dans les établissements municipaux.

    Montfermeil se situe sur un point culminant de la Seine-Saint-Denis.


    Communes limitrophes


    La ville est limitrophe de Clichy-sous-Bois au nord-ouest ; Coubron au nord ; Gagny au sud-ouest ; Chelles au sud-est.

    Clichy-sous-Bois Coubron Coubron
    Clichy-sous-Bois N Chelles
    O    Montfermeil    E
    S
    Gagny Chelles Chelles

    Quartiers


    Carte des quartiers.
    Carte des quartiers.
    Place Notre-Dame-des-Anges à Montfermeil.
    Place Notre-Dame-des-Anges à Montfermeil.

    La ville regroupe différents quartiers hétéroclites :


    Géographie administrative


    Jusqu’à la loi du [2], la commune fait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le .

    Avec la commune limitrophe de Clichy-sous-Bois, elle forme la Communauté d'agglomération de Clichy-sous-Bois Montfermeil jusqu'en 2015.

    Depuis le , Montfermeil fait partie de la Métropole du Grand Paris et intègre selon les décrets no 2015-1655 à 2015-1365 du , l’Établissement public territorial Grand Paris - Grand Est composé de 14 communes, Clichy-sous-Bois, Coubron, Gagny, Gournay-sur-Marne, Le Raincy, Les Pavillons-sous-Bois, Livry-Gargan, Montfermeil, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Rosny-sous-Bois, Vaujours et Villemomble.


    Climat


    Montfermeil comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. La localisation de la commune au sein de l'urbanisation très dense de l'agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d'un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d'Île-de-France, en particulier par temps calme et anticyclonique. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour, et a tendance à s'accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec 4,7 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec 20 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 43, dont 9 au-delà de 30 °C. Au Bourget, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d'ensoleillement est de 1 719 heures[3]

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 6 7 11 14 18 21 24 24 21 15 9 7 14,8
    Températures minimales moyennes (°C) 1 1 3 6 9 12 14 14 11 8 4 2 7,1
    Températures moyennes (°C) 4 4 7 10 14 17 19 19 16 12 7 5 11,2
    Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France

    Voies de communication et transports


    Tramway T4 à la station Arboretum.
    Tramway T4 à la station Arboretum.

    La ville est desservie par trois stations de tramway :

    La commune est desservie par différentes lignes d'autobus :

    La gare RER du Raincy - Villemomble - Montfermeil, bien que portant le nom de la ville, est située sur le territoire des communes du Raincy et de Villemomble, et il faut 20 à 30 minutes pour rejoindre Montfermeil depuis cette gare, grâce à la ligne 602 du réseau de bus TRA.

    Par ailleurs, dans le cadre du projet Grand Paris Express, il est prévu l'implantation d'une gare de la ligne 16 en limite de Clichy-sous-Bois, la gare de Clichy - Montfermeil qui sera alors en correspondance avec la nouvelle branche de tramway[4],[5].


    Urbanisme



    Typologie


    Montfermeil est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[9] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].


    Toponymie


    Mons fermeolus en 1196, Mons fermoil en 1200, Monfermeil en 1209, Mons firmalis[14], Mons fermolii[14], Mons-firmolium en 1221, Montéfirmo cité en 1122, Montfermolio en 1124[15], Mons firmiolus en 1248[14].

    Montfermeil - La Grande Rue au début du XXe siècle. Montfermeil était desservi depuis 1890 par la ligne du tramway du Raincy à Montfermeil qui la reliait à la gare du Raincy. Cette ligne cessa son activité le 14 avril 1938.
    Montfermeil - La Grande Rue au début du XXe siècle. Montfermeil était desservi depuis 1890 par la ligne du tramway du Raincy à Montfermeil qui la reliait à la gare du Raincy. Cette ligne cessa son activité le 14 avril 1938.

    L'étymologie de Montfermeil provient du latin Mons Firmaculus qui signifie « mont fermé » ou « mont fortifié ». L'autre hypothèse de l'étymologie vient du Mont Vermeil en référence aux nombreuses vignes (toujours d'actualité) qui poussaient le long des montées de la ville. Le lieu est habité depuis la période du Néolithique (silex taillés, haches, grattoirs, flèches).


    Histoire



    Néolithique et antiquité


    De nombreux vestiges de l'époque néolithique, dont un foyer de chasseurs « tardenoisiens » datant de 3 000 ans avant Jésus-Christ, attestent de la présence de l'homme dans la ville depuis la préhistoire. Des tribus gauloises, des colons romains et mérovingiens adoptent par la suite le plateau et en font un site stratégique d'observation de la vallée de la Marne.


    Période médiévale


    La cité de Montfermeil, qui n'est alors qu'une clairière dans la forêt de Bondy, apparaît pour la première fois dans le courant du XIIe siècle, sous la forme latine de Montefirmo (mont fermé) en 1122, puis de Montfermolio en 1124. Au Moyen Âge, Montfermeil est divisée en plusieurs fiefs (Le lieu relevait entre-autres de l'abbaye de Chelles), et possède au XIIIe siècle une léproserie, des moulins à eau et des carrières. L’activité y est essentiellement agricole, et surtout viticole. La première église date du XIIIe siècle, probablement construite sur l’emplacement d’un ancien sanctuaire mérovingien. La guerre de Cent Ans fait des ravages dans la région et Montfermeil fut occupé par les Anglais. Jeanne d'Arc passa dans le bourg le . Montfermeil, ruinée, se dépeuple.

    Henri IV y créa la foire de la Saint-Michel.


    Renaissance


    Mise sous la protection de seigneurs successifs, Montfermeil se développe peu à peu. Les vignes recouvrent les coteaux mais les bois et les friches prédominent encore. C’est le seigneur Antoine Pélissier qui commence la construction du château, que terminera Michel de Chamillard (1652-1721), ministre de Louis XIV. Le château est vendu en 1701 aux frères Bégon. En 1735, la seigneurie est vendue à Jean Hyacinthe Hocquart, dont le fils Jean Hyacinthe Emmanuel Hocquart deviendra le premier marquis de Montfermeil, qui compte alors 500 habitants. Il participe activement au développement de la ville avec la construction d'in nouveau moulin à vent, l'aménagement de routes et de salles de classe. À sa mort, en 1778, son fils Jean Hyacinthe Louis poursuit les travaux d'aménagement avec de nouvelles rues. En 1782, il fait créer un étang pour assécher des friches au lieu-dit « Des Sept îles », lac qui est maintenant asséché et où se situe un centre commercial.


    Révolution française et Empire


    Au début de la Révolution française, Montfermeil compte 720 habitants. Le château est saisi comme bien national et est acheté par le général de division Louis-Henri Loison avant d'être restitué à la marquise de Montfermeil. L’église est vendue en 1799 et est rendue aux habitants en 1802 (en partie démolie).

    À la fin de l'époque napoléonienne, Montfermeil souffre, lors de la campagne de France de 1814 et lors des Cent-Jours de 1815, des invasions russes et prussiennes, qui marquent leur passage par des pillages et des réquisitions abusives. À partir du milieu du XIXe siècle la ville retrouve son calme. Quelques belles propriétés se construisent autour de l’église reconstruite en 1820.

    Montfermeil a été mis en lumière par le roman de Victor Hugo Les Misérables. Sur un des chemins s'enfonçant dans le bois, Jean Valjean rencontre Cosette, s'en allant chercher de l'eau à la source du buisson. Une fontaine a d'ailleurs été édifiée à cet emplacement. La commune était également célèbre pour son pèlerinage à Notre-Dame-des-Anges, qui avait lieu en septembre pendant lequel on venait boire l'eau d'une source miraculeuse près d'une chapelle en bois de la forêt de Bondy.

    Montfermeil était, à la fin du XIXe siècle, un bourg assez isolé et malaisé d'accès, et en 1847, avant la mise en service de la gare du Raincy, les transports publics étaient constitués par des voitures publiques, qui faisaient deux fois par jour le trajet Paris - Le Raincy en deux heures environ. Lorsque la ligne Paris - Strasbourg rendit les déplacements plus faciles, un service d'omnibus à chevaux fut mis en place par la Compagnie des chemins de fer de l'Est pour relier Montfermeil à la gare de Gagny, puis à celle du Raincy.

    La commune de Montfermeil souhaitait toutefois un désenclavement plus efficace vers le chemin de fer, et elle militait pour la création d'une ligne de tramway, qui « valoriserait les terrains, multiplierait les propriétés de plaisance, encouragerait la fixation dans la commune de sa population estivale »[16].

    Monorail Larmanjat à Montfermeil.
    Monorail Larmanjat à Montfermeil.
    « L'entrée du Pays », avec le tramway venant de la Gare du Raincy - Villemomble - Montfermeil.
    « L'entrée du Pays », avec le tramway venant de la Gare du Raincy - Villemomble - Montfermeil.
    Une longue rame longue du tramway du Raincy à Montfermeil de la STCRP au terminus de Montfermeil, vers 1931.
    Une longue rame longue du tramway du Raincy à Montfermeil de la STCRP au terminus de Montfermeil, vers 1931.

    À la suite de sa présentation par Jean Larmanjat à l'Exposition universelle de 1867[17] est installé un monorail en 1868 entre Le Raincy et Montfermeil. La date de fin d'exploitation n'est pas connue, mais il semble que la voie ait été détruite lors de la Guerre franco-prussienne de 1870.

    La guerre amène en effet de nouvelles difficultés et la commune est occupée par les troupes prussiennes. Presque toute la population quitte Montfermeil pour trouver refuge à Paris.

    La question des transports en commun est à nouveau traitée en 1888, avec la concession accordée à M. Dufrane-Macart pour la création et l'exploitation d'un tramway à cheval entre Le Raincy et Montfermeil[18]. Celui-ci, un investisseur lié à une société, l'Union immobilière de Raincy-Montfermeil[16], ne souhaite pas la mettre en œuvre lui-même et souhaite que la ville du Raincy se substitue à lui-même. Après négociations, la concession est rétrocédée à la Société anonyme du tramway du Raincy à Montfermeil et Extensions par décret du , avec intervention de la Ville du Raincy, pour une durée de 50 ans[19]. La ligne est mise en service en 1890, directement exploitée en traction à vapeur et en traction électrique en 1895.

    L'année 1896 marque un tournant décisif dans l’histoire de Montfermeil. Le comte Roger de Nicolay vend son domaine à une société immobilière qui crée les lotissements de Franceville et des Coudreaux, et la ville devient à la fois villégiature populaire et banlieue de peuplement[20],[21]. Le château du XVIIe siècle est vendu à des lotisseurs en 1891, racheté par la ville en 1928 et détruit quelques mois plus tard.


    Époque contemporaine


    Montfermeil est durement touchée par la Première Guerre mondiale. Avec 90 morts, ses pertes sont au-dessus de la moyenne nationale.

    Pendant l'entre-deux-guerres, Montfermeil se transforme et sa population s’accroît sensiblement passant de 2 000 habitants en 1919 à plus de 6 000 en 1939. Le tramway du Raincy à Montfermeil, qui portait l'indice 112, est exploité depuis 1921 par la STCRP (ancêtre de la RATP), qui supprime progressivement toutes ses lignes de tramway. La ligne fut la dernière de cette compagnie à être exploitée en tramway, qui sont remplacés, le , par des autobus, alors considérés comme plus modernes[22].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands occupent de nouveau la ville qui sera libérée le par les troupes américaines.

    Dans les années 1950 et 1960, une politique de grande construction urbaine a vu le jour et a provoqué l'édification d'un grand ensemble essentiellement sous le statut de copropriété privée (les Bosquets I et II).

    Construite dans les années 1960, sous l’impulsion de l’État, pour répondre à un afflux massif de population, la résidence des Bosquets connaît rapidement des problèmes dans la gestion de la copropriété : les services ne correspondent aux besoins des habitants, les charges augmentent, le surendettement aussi et la paupérisation du site s’accompagne de problèmes de salubrité et de violences. Pour enrayer le phénomène et apporter des conditions de vie dignes et décentes aux centaines de famille résidentes aux Bosquets, la Ville et le PACT ARIM 93 s’engagent alors, à partir de 1985, dans un programme de rénovation sur le long terme : l’acquisition des logements de la copropriété couplée à une politique sociale volontariste, avec notamment la création d’une halte-garderie, du centre de loisirs Moulinsart et l’implantation de la Mission locale et de la Maison des services publics. Le plan Borloo vient parachever ce long processus en injectant plus de 700 millions sur le Plateau pour le résultat visible aujourd’hui.

    Depuis 2004, dans le cadre du Programme de Rénovation Urbaine (PRU), ce sont au total 659 logements issus de copropriétés dégradées qui ont déjà été démolis à Montfermeil, soit 6 barres et 4 cages d’escalier (B1, B3, B7, B10, B11, B12…). Les ménages des bâtiments qui ont été détruits précédemment ont été relogés dans de nouveaux logements sociaux et bénéficient aujourd’hui d’une amélioration considérable de leur cadre de vie. En une décennie, à Montfermeil, le PRU, un des plus emblématiques en France, a totalement bouleversé le paysage du territoire. Il permet aujourd’hui, d’offrir une vision rénovée de la résidence des Bosquets et de la ville tout entière : création de nouveaux logements, réaménagement des espaces publics, ouverture de nouveaux équipements et services publics, développement des activités économiques et commerciales, accompagnement des familles tout au long du processus de relogement. Le programme se poursuivra encore jusqu’en 2018 avec la démolition du bâtiment B5, barre de 10 étages, comprenant 146 logements.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Antérieurement à la loi du [23], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis et à son arrondissement du Raincy après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la douzième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

    Elle faisait partie de 1801 à 1882 du canton de Gonesse, année où elle intègre le canton du Raincy du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient le chef-lieu du canton de Montfermeil[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Tremblay-en-France.


    Intercommunalité


    La ville a engagé de longue date un partenariat avec sa voisine, avec un SIVOM créé en 1961, un grand projet urbain (1994-1999) et un programme européen PIC URBAN[25], accru en 1997 avec la création de la communauté de communes de Clichy-sous-Bois Montfermeil, transformée en 2001 en communauté d'agglomération de Clichy-sous-Bois Montfermeil.

    Article détaillé : communauté d'agglomération de Clichy-sous-Bois Montfermeil.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[26].

    Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale. Les EPT exercent également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.

    La commune a donc également été intégrée le à l'Établissement public territorial Grand Paris - Grand Est, qui remplace également l'ancienne communauté d'agglomération Clichy / Montfermeil[27].

    Articles détaillés : métropole du Grand Paris, établissement public territorial et Établissement public territorial Grand Paris - Grand Est.

    Tendances politiques et résultats


    Xavier Lemoine, Maire VIA depuis 2002.
    Xavier Lemoine, Maire VIA depuis 2002.

    Montfermeil a longtemps été dirigée par le PCF jusqu'à ce que Pierre Bernard, DVD, succède à Gilles Guimet en .

    Pierre Bernard reste maire pendant 19 ans, à ce jour la plus longue longévité à ce poste dans la ville. Pierre Bernard cède son fauteuil à Xavier Lemoine UMP puis LR-PCD, son 1er adjoint, le [28].

    Il accroit sa notoriété en appelant en avril 2021 à la désobéissance civile pour contester la gestion de la crise sanitaire de la Pandémie de Covid-19 en France par le président Emmanuel Macron[29].

    Élections présidentielles

    Résultats des seconds tours dans la commune :

    Élections législatives

    La commune fait partie de la douzième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

    Résultats des seconds tours dans la commune :

    Élections régionales

    Résultats des seconds tours dans la commune :

    Élections cantonales puis départementales
    Élections municipales

    Résultats des seconds tours :

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis.
    Élections européennes

    Meilleurs scores :

    Référendums

    Administration municipale


    Compte tenu de l'importance de sa population, le conseil municipal de Montfermeil est composé 35 membres, dont le maire et ses adjoint[54]

    L'hôtel de ville se trouve 7 place Jean-Mermoz.


    Liste des maires


    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1944 Albert Leveque   Président du comité local du Souvenir français
    septembre 1944 octobre 1947 Marcel Berger[58] PCF Président du comité de Liberation, horticulteur
    octobre 1947 mai 1953 Adolphe Argence
    (1885-1974)
    RPF Fondé de pouvoir
    Chevalier de la Légion d'honneur
    mai 1953 mars 1956 Marcel Berger[58] PCF Horticulteur
    mars 1956 février 1970[59] Henri Vidal PCF Journaliste, premier adjoint (1953 → 1956)
    Décédé en fonction
    février 1970 octobre 1978 Michel Rosenblatt[60],[61] PCF Mécanicien en machines de bureau puis journaliste, premier adjoint (1959 → 1970)
    Conseiller général de Montfermeil (1967 → 1979)
    Démissionnaire
    octobre 1978 mars 1983 Gilles Guimet[62] PCF Instituteur, troisième adjoint (1972 → 1978)
    mars 1983 29 juin 2002[63] Pierre Bernard[64] DVD Ancien officier de marine
    Conseiller général de Montfermeil (1992 → 1998)
    Député de la Seine-Saint-Denis (1995 → 1997)
    Démissionnaire
    29 juin 2002 En cours
    (au 15 avril 2021)
    Xavier Lemoine PCD
    puis
    VIA[65]
    Officier de réserve (Marine nationale), collaborateur d'élus
    Vice-président du PCD puis de VIA
    Vice-président de la Métropole du Grand Paris (2020 →)
    Vice-président (2016 → 2020) puis président (2020 →) de l'EPT Grand Paris - Grand Est
    Président du Groupement hospitalier intercommunal Le Raincy-Montfermeil (? →)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[66]
    Article connexe : Liste des maires de la Seine-Saint-Denis.

    Distinctions et labels


    Panneaux à l'entrée de la commune montrant diverses distinctions et labels.
    Panneaux à l'entrée de la commune montrant diverses distinctions et labels.

    La commune de Montfermeil possède cinq labels :


    Jumelages


    Au , Montfermeil n'est jumelée avec aucune commune[74].

    La commune a été jumelée de 1966 à 1983 avec la commune allemande de Wusterhausen/Dosse[75].


    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[76],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 27 928 habitants[Note 4], en augmentation de 7,64 % par rapport à 2013 (Seine-Saint-Denis : +5,95 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7218368577681 0649059521 025982
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9501 1241 1401 0039971 0101 2291 2411 188
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6062 0092 0692 6194 0595 5366 1965 6608 271
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    12 01921 06323 23722 92625 55624 12126 12125 96326 085
    2019 - - - - - - - -
    27 928--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    La ville compte 1 155 élèves en école maternelle et 1 830 élèves en école élémentaire[78].

    La ville de Montfermeil relève de l’académie de Créteil[79]. Les écoles sont gérées par l’Inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale, boulevard Bargue.

    Enseignement public
    Enseignement privé
    Centres de loisirs *

    La ville offre de nombreux centres maternels, primaires et préadolescents[82] qui s'occupent des enfants pendant les vacances scolaires ou les mercredis.


    Culture


    Le service culturel de Montfermeil est composé[Quand ?] :


    Santé


    La ville compte plus d'une vingtaine de médecins généralistes, plus d'une trentaine de médecins spécialisés, une trentaine d'auxiliaires médicaux[Quand ?]. D'autre part, le centre hospitalier intercommunal Le Raincy-Montfermeil, créé en 1935, qui compte 516 lits, se situe rue du Général-Leclerc.


    Sports


    Entrée du stade Henri Vidal.
    Entrée du stade Henri Vidal.

    En 2020, la ville de Montfermeil possède quatre gymnases et divers équipements sportifs[83] :

    En plus d'accueillir des équipements, il existe des associations permettant la pratique sportive. L'Union Sportive de Montfermeil (USM) qui comptait 1 000 adhérents en 2016 comporte 4 sections sportives que sont les sections yoga, cyclisme, cyclotourisme et pétanque[83],[84]. Toutefois, elle ne constitue par la seule structure sportive car il existe d'autres associations sportives :


    Manifestations culturelles et festivités



    Police municipale


    La police municipale de Montfermeil a été créée le . Elle était en 2010 composée de quinze fonctionnaires de police municipale. Elle possède un blason créé par l'ensemble des policiers de ce service. Ses locaux se trouvent au 4 rue de la Haute Futaie, juste à côté de l'Hôtel de ville de Montfermeil[86]. En 2016, la police municipale est composée de 11 policiers municipaux. Créée en , l'unité cynophile de la Police Municipale appuie les fonctionnaires de police dans leurs missions de police administrative et judiciaire en matière de prévention et de surveillance du bon ordre, de la tranquillité, de la sécurité et de la salubrité publique. Elle est chargée d’assurer l’exécution des arrêtés de police et de constater par procès-verbal ou rapport les infractions. Elle intervient dans des domaines très divers et variés tels que notamment la sécurité routière, les conflits de voisinage, les atteintes au bruit. Elle effectue principalement la surveillance générale de la commune ou particulière à l’occasion de manifestations sportives ou culturelles.


    Édifices religieux et cimetières


    L'église Saint-Pierre Saint-Paul
    L'église Saint-Pierre Saint-Paul

    La commune compte cinq lieux de cultes[87] :

    Lieux de cultes des villes voisines accueillants des Montfermeillois :

    Il faut noter également la mosquée de l'avenue Jean Jaurès située dans le quartier de Franceville. En , Xavier Lemoine ferme la mosquée par arrêté pour « gros problèmes de sécurité[88] ». Une nouvelle mosquée, dont la première pierre a été posée en 2015, devrait ouvrir vers 2017 allée des Hortensias[89],[90].

    La commune compte deux cimetières, le Nouveau cimetière, rue des Moulins et l'Ancien cimetière, rue de Coubron.


    Médias


    La ville publie un mensuel pour informer ses concitoyens des différentes manifestations culturelles, politiques et sociales[91]. La première parution du Bulletin municipal de la Ville de Montfermeil a lieu au début de l'année 1938. Le magazine mensuel change de nom à plusieurs reprises. En 2016, il se nomme Montfermeil Magazine. En plus de cette publication, un dépliant à destination des commerçants est aussi distribué trimestriellement[92].


    Économie


    Au XIXe siècle, Montfermeil a exploité deux petites carrières de plâtre. On trouve un semblant d'emplacement sur le Chemin de la Carrière.

    Montfermeil a eu le siège de Titus France[93].

    Le centre commercial des Sept-Îles accueille un des magasins du secteur de la grande distribution appartenant à Auchan.

    Le centre-ville accueille un magasin du secteur du hard-discount, Lidl.

    Deux marchés sont à disposition des Montfermeillois, celui des Coudreaux et celui de Barrière Blanche à Franceville.


    Emploi


    La commune met à la disposition de ses habitants différentes structures pour se former à un travail :


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Édifices religieux


    Édifices civils

    Le moulin
    Le moulin
    Château des Cèdres de Montfermeil
    Château des Cèdres de Montfermeil
    Musée du Travail de Montfermeil
    Musée du Travail de Montfermeil
    Maison habitée par Funck-Brentano
    Maison habitée par Funck-Brentano

    La grosse borne, marque la limite de deux territoires, Clichy et Montfermeil. Elle mesure 70 cm de hauteur, 35 cm de base. Elle a été détruite lors des travaux de voirie en 1999[99].


    Espaces verts


    Montfermeil s’étend sur une superficie de 545 hectares dont 69 hectares d’espaces verts répartis entre les 21 hectares de forêt de Bondy, 20 hectares pour le Bois des Ormes, 23 hectares de parcs et jardins, 5 300 m2 de massifs fleuris, 3 hectares dans les établissements scolaires.

    Parc Arboretum de Montfermeil
    Parc Arboretum de Montfermeil
    Domaine de Formigé
    Domaine de Formigé

    Montfermeil et la littérature



    Montfermeil et le cinéma



    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Les armes de la commune de Montfermeil se blasonnent ainsi :
    De gueules à trois roses d'argent[102]

    Les armoiries de Montfermeil rappellent le marquisat par le blason de la famille Hocquart et l’étymologie du nom de la ville ainsi que l’activité principale du vieux village. Elles ont été confectionnées en 1923 par l’historien Frantz Funck-Brentano et Georges Lesueur, alors président et vice-vice du Syndicat d’initiative.

    Les armoiries de Montfermeil sont composées du blason et d’ornements :

    Le tout est entouré de pampres de vignes rappelant l’activité agricole de la ville qui fut essentiellement vinicole jusqu’au XXe siècle. Leur couleur verte signifie la force.

    Les couleurs dominantes des armoiries de Montfermeil sont le rouge et le vert.

    Ces armes sont issues de celles des Hocquart, connues depuis le XVIe siècle[103]. Cette famille fut le premier marquis de la ville au XVIIIe siècle, encadrées de vignes, principale activité agricole du village jusqu'au XIXe siècle.


    Pour approfondir



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références


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    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


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    На других языках


    [de] Montfermeil

    Montfermeil ist eine französische Gemeinde im Département Seine-Saint-Denis in der Region Île-de-France mit einer Fläche von 545 Hektar und 27.928 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019). Der Ort ist etwa 20 km östlich von Paris oberhalb von Chelles in einer Höhenlage von 116 m in eine Hügelkette eingebettet, die vom Ufer der Marne ansteigt. Er grenzt an den Wald von Bondy. Die Einwohner werden Montfermeillois genannt.

    [en] Montfermeil

    Montfermeil (French pronunciation: [mɔ̃fɛʁmɛj] (listen)) is a commune in the eastern suburbs of Paris, France. It is located 17.2 km (10.7 mi) from the center of Paris.
    - [fr] Montfermeil

    [ru] Монфермей

    Монфермей (фр. Montfermeil) — город и коммуна во французском департаменте Сен-Сен-Дени, округ Ле-Ренси, административный центр кантона Монфермей.



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