Montbartier est une commune française située dans le sud du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.
Montbartier | |
![]() L'église Saint-Étienne. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Tarn-et-Garonne |
Arrondissement | Montauban |
Intercommunalité | Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne |
Maire Mandat |
Jean-Claude Raynal 2020-2026 |
Code postal | 82700 |
Code commune | 82123 |
Démographie | |
Gentilé | Montbartierens |
Population municipale |
1 474 hab. (2019 ![]() |
Densité | 98 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 54′ 49″ nord, 1° 16′ 24″ est |
Altitude | Min. 99 m Max. 141 m |
Superficie | 15,01 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Montech |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | montbartier.fr/ |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Verdié, le ruisseau du Vergnet et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montbartier est une commune rurale qui compte 1 474 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montbartierens ou Montbartierennes.
Commune de l'aire urbaine de Montauban située en Bas-Montauban sur le canal latéral à la Garonne, à 10 km au sud de Montauban.
Montbartier est limitrophe de sept autres communes.
Montech | Bressols | |
Finhan | ![]() |
Labastide-Saint-Pierre |
Monbéqui | Bessens | Campsas |
La superficie de la commune est de 1 581 hectares ; son altitude varie de 99 à 141 mètres[2].
Accès par la SNCF en gare de Montbartier, par l'autoroute A62 et Autoroute A20 qui y confluent.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le ruisseau de Verdié, le ruisseau du Vergnet, le ruisseau de Gajac, le ruisseau de Sandrune le ruisseau des Combes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Le ruisseau de Verdié, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Pantagnac à Escatalens, après avoir traversé 4 communes[5].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Corbarieu », sur la commune de Corbarieu, mise en service en 1993[12] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 13 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18] :
Montbartier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), terres arables (28,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,7 %), forêts (8,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), zones urbanisées (5,6 %), prairies (0,8 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Montbartier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Verdié et le ruisseau du Vergnet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2015[28],[25].
Montbartier est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 523 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 523 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2003, 2006, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[33].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
Prieuré dépendant de l’abbaye de Mas-Grenier, ancien fief du baron d'Astorg capitoul de Toulouse en 1415[35].
Jocelyne Bourdin et Marc Fasquel, « le couple pervers », y sont arrêtés le par un barrage de gendarmerie, achevant ainsi leur folle virée meurtrière. Marc Fesquel est abattu par les forces de l'ordre à proximité de la place de l'église tandis que son épouse est amenée à la gendarmerie de Castelsarrasin pour y être entendue.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36],[37].
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne et du canton de Montech. Avant le elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Canal.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | 2008 | Jacques Doumerc | ||
mars 2008 | En cours | Jean-Claude Raynal | DVD | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2019, la commune comptait 1 474 habitants[Note 9], en augmentation de 19,55 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
566 | 523 | 544 | 610 | 648 | 646 | 677 | 668 | 633 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
677 | 675 | 683 | 670 | 636 | 617 | 611 | 548 | 559 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
570 | 574 | 561 | 524 | 935 | 895 | 518 | 548 | 552 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
518 | 511 | 506 | 628 | 787 | 811 | 1 000 | 1 245 | 1 284 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 474 | - | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 78 | 83 | 66 | 52 | 57 | 50 | 38 | 44 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
Montbartier fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède un groupe scolaire : maternelle et primaire.
Salle des fêtes, comité des fêtes, discothèque,
Chasse, randonnée pédestre, pétanque, centre équestre, football (complexe associatif[46]), tennis, pêche, gymnastique[47],
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Grandsud82[48].
En 2018, la commune compte 574 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 405 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 960 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,1 % | 9,1 % | 11,6 % |
Département[I 7] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 892 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (67,9 % ayant un emploi et 11,6 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 889 emplois en 2018, contre 312 en 2013 et 228 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 612, soit un indicateur de concentration d'emploi de 145,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,8 %[I 10].
Sur ces 612 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 124 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 2,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
112 établissements[Note 12] sont implantés à Montbartier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 112 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 10 | 8,9 % | (9,6 %) |
Construction | 13 | 11,6 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 50 | 44,6 % | (29,7 %) |
Activités immobilières | 3 | 2,7 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 13 | 11,6 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 9 | 8 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 14 | 12,5 % | (9,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,6 % du nombre total d'établissements de la commune (50 sur les 112 entreprises implantées à Montbartier), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :
Viticulture : Fronton (AOC).
En 2010, le Conseil général de Tarn-et-Garonne décide de créer une Zone d'Activité Économique dédiée principalement à la logistique située en partie sur la commune de Montbartier. Cette ZAC nommée « Grand Sud Logistique » occupera, à terme, une surface de 450 hectares pouvant accueillir un nombre important d'entreprises et générer plusieurs milliers d'emplois (entre 2 500 et 3 000). Par exemple, Intermarché a choisi de réaliser un bâtiment logistique de 89 000 m2 générant quatre cents emplois.
Il existe aussi un projet de parc éolien sur la commune.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 37 | 25 | 15 | 6 |
SAU[Note 14] (ha) | 878 | 756 | 647 | 278 |
La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (37 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 278 ha[52],[Carte 6],[Carte 7].
![]() |
Blason | D'or chargé d'un écu d'argent surchargé d'une aigle de sable et surmonté d'une burèle d'argent, chargée de l'inscription en capitales de sable MONTBARTIER et côtoyée de deux filets, d'argent[53]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | ![]() |
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