Miremont est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
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Miremont | |
![]() Église Saint-Eutrope. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Muret |
Intercommunalité | Communauté de communes du Bassin Auterivain Haut-Garonnais |
Maire Mandat |
Serge Baurens 2020-2026 |
Code postal | 31190 |
Code commune | 31345 |
Démographie | |
Gentilé | Miremontais, Miremontaises |
Population municipale |
2 623 hab. (2019 ![]() |
Densité | 117 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 22′ 16″ nord, 1° 25′ 05″ est |
Altitude | Min. 167 m Max. 291 m |
Superficie | 22,4 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Auterive |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Ariège, la Lantine, la Mouillonne, la Lichonne, le Rieutort, l'Esquers et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Miremont est une commune rurale qui compte 2 623 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Miremontais ou Miremontaises.
Ses habitantes sont appelées les Miremontaises, ses habitants sont appelés les Miremontais.
La commune de Miremont se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 12 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 5 km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Auterive[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Lagrâce-Dieu (3,4 km), Auribail (3,5 km), Puydaniel (4,0 km), Grépiac (4,6 km), Beaumont-sur-Lèze (4,9 km), Auterive (5,2 km), Lagardelle-sur-Lèze (5,2 km), Mauressac (5,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Miremont fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[5].
Miremont est limitrophe de sept autres communes.
Lagardelle-sur-Lèze | Vernet | Grépiac |
Beaumont-sur-Lèze | ![]() |
Auterive |
Auribail | Lagrâce-Dieu |
La commune de Miremont est établie dans la plaine de l'Ariège en rive gauche.
La superficie de la commune de Miremont est de 2 240 hectares ; son altitude varie de 167 à 291 mètres[7].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par l'Ariège, la Lantine, la Mouillonne, la Lichonne, le Rieutort, l'Esquers, la Courande, la Mercé, le Rivet, le ruisseau du Pissanel, le ruisseau du Pissanet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Lantine, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune d'Auribail et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Grépiac, après avoir traversé 4 communes[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[16] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 20 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[22].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23],[24].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[25].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[27], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[28].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[29] : l'« ancienne sablière du Vernet » (67 ha), couvrant 3 communes du département[30] et le « cours de l'Ariège » (1 341 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[31] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[29] : « l'Ariège et ripisylves » (1 975 ha), couvrant 56 communes dont 43 dans l'Ariège et 13 dans la Haute-Garonne[32].
Miremont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[I 2],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), zones urbanisées (6,4 %), forêts (5,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), eaux continentales[Note 10] (2,6 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), prairies (0,5 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Les Bruzes, Burguerolles,
La ligne 319 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Saverdun, et la ligne 325 relie la commune à la gare de Muret, en correspondance avec la ligne D en direction de Toulouse-Matabiau.
Le territoire de la commune de Miremont est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Mouillonne et le Lantine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1998, 1999, 2000, 2005, 2007, 2009 et 2018[38],[36].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[39]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 919 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 919 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
La commune est en outre située en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'Ariège, département de l'Ariège). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[42].
Miremont appartient à l'arrondissement de Muret et au canton d'Auterive.
Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne, représentée depuis 2017 par Élisabeth Toutut-Picard (LREM).
Depuis le , la commune appartient à la communauté de communes du Bassin Auterivain Haut-Garonnais. Avant cette date, Miremont faisait partie de la communauté de communes de la vallée de l'Ariège, intercommunalité créée en 1994.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix neuf[43],[44].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1935 | 1944 | Jean Saint-Gaudens | Ancien officier Nommé Conseiller départemental en 1943 | |
1944 | 1947 | Édouard Soulié | ||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
Maire en 1995[45] | Daniel Régnier[46] | Ingénieur en chef Président du SIERGA[47] (1983 → 2012) | ||
En cours | Serge Baurens | DVG-PCF | Retraité Président de la CC du Bassin Auterivain Haut-Garonnais (2017 → ) | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2019, la commune comptait 2 623 habitants[Note 11], en augmentation de 15,14 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
selon la population municipale des années : | 1968[52] | 1975[52] | 1982[52] | 1990[52] | 1999[52] | 2006[53] | 2009[54] | 2013[55] |
Rang de la commune dans le département | 103 | 98 | 99 | 103 | 102 | 102 | 98 | 93 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 934 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 573 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 220 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]). 52 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (55,3 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 7 % | 8,9 % | 5,9 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 574 personnes, parmi lesquelles on compte 79 % d'actifs (73,2 % ayant un emploi et 5,9 % de chômeurs) et 21 % d'inactifs[Note 14],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 378 emplois en 2018, contre 384 en 2013 et 333 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 162, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65 %[I 11].
Sur ces 1 162 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 164 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 89,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
164 établissements[Note 15] sont implantés à Miremont au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 164 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 7,3 % | (5,7 %) |
Construction | 41 | 25 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 27 | 16,5 % | (25,9 %) |
Information et communication | 6 | 3,7 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 5 | 3 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 9 | 5,5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 30 | 18,3 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 21 | 12,8 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 13 | 7,9 % | (7,9 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (41 sur les 164 entreprises implantées à Miremont), contre 12 % au niveau départemental[I 15].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[56] :
Une zone industrielle (de Pompignal) et des commerces (boulangerie, épicerie, coiffeurs, bar.
L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) ont encore une place importante mais tendent à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.
La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 54 | 24 | 21 | 23 |
SAU[Note 18] (ha) | 1 655 | 1 528 | 1 712 | 1 510 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 54 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 24 en 2000 puis à 21 en 2010[59] et enfin à 23 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[60],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 655 ha en 1988 à 1 510 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 66 ha[59].
Maison de santé, centre communal d'action sociale, crèche l'Oustalet,
Miremont fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède une école maternelle et une école élémentaire.
Médiathèque, centre de loisirs et de nombreuses associations[61], salle polyvalente, festival de rue,
Chasse, pétanque, randonnée pédestre, tennis, football, gymnastique, boxe française, judo.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font par le SMIVOM de la Mouillonne[62].
Sur la commune, il existe une déchèterie (Chemin Loubine), et une station d'épuration.
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Son blasonnement est : De sinople chapé d'argent. |
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