Malegoude (Malagoda en occitan languedocien) est une commune française, située dans le nord-est du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité.
Malegoude | |
![]() L'église Sainte-Marie. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Pamiers |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Mirepoix |
Maire Mandat |
Marie Lopez-Nayrac 2020-2026 |
Code postal | 09500 |
Code commune | 09178 |
Démographie | |
Gentilé | Malegoudiens |
Population municipale |
45 hab. (2019 ![]() |
Densité | 7,3 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 06′ 48″ nord, 1° 56′ 22″ est |
Altitude | Min. 315 m Max. 425 m |
Superficie | 6,14 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Mirepoix |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Malgoude et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Malegoude est une commune rurale qui compte 45 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 130 habitants en 1793. Ses habitants sont appelés les Malegoudiens ou Malegoudiennes.
La commune de Malegoude se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 32 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 27 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 6 km de Mirepoix[3], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mirepoix[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Gaudéric (1,9 km), Sainte-Foi (2,7 km), Cazals-des-Baylès (2,9 km), Seignalens (3,0 km), Moulin-Neuf (4,3 km), Plavilla (4,3 km), Roumengoux (4,6 km), Lignairolles (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Malegoude fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[5].
Malegoude est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de l'Aude.
Sainte-Foi | Saint-Gaudéric (Aude) | |
Mirepoix | ![]() |
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Cazals-des-Baylès | Seignalens (Aude) |
Commune du piémont pyrénéen située dans la Piège en Pays des Pyrénées cathares. C'est une commune limitrophe avec le département de l'Aude.
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1058 - Mirepoix » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et sa notice associée[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,14 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,19 km2[8]. L'altitude du territoire varie entre 315 m et 425 m[13].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de Malgoude, le ruisseau de Barréjat, le ruisseau de la Calvière, le ruisseau de Sainte-Foi, le ruisseau des Juncasses, le ruisseau du roudié et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[15],[16].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[17].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22],[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Alaigne », sur la commune d'Alaigne, mise en service en 1971[24] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[25],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 669,5 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 35 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[28], à 14,1 °C pour 1981-2010[29], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[30].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[31] : les « coteaux du Nord-Mirapicien » (1 893 ha), couvrant 8 communes dont 4 dans l'Ariège et 4 dans l'Aude[32] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[31] : l'« ensemble de coteaux au nord du Pays de Mirepoix » (9 691 ha), couvrant 17 communes dont 10 dans l'Ariège et 7 dans l'Aude[33].
Malegoude est une commune rurale[Note 8],[34]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (64,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,1 %), forêts (14,7 %), prairies (0,3 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Biarnésés, Gagnolet, Tambourayrès, Très-Cantous…
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 27, alors qu'il était de 24 en 2013 et de 27 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 70,4 % étaient des résidences principales, 22,2 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Malegoude en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (22,2 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Typologie | Malegoude[I 5] | Ariège[I 7] | France entière[I 8] |
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Résidences principales (en %) | 70,4 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 22,2 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,4 | 9,7 | 8,2 |
Accès avec les routes départementales D 119 et D 6A et sur le GR7.
Le territoire de la commune de Malegoude est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[37],[38].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[39].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Malegoude[40]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[41].
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[42].
La plus ancienne mention connue de Malegoude provient d'une charte de 1207, délimitant la seigneurie de Mirepoix. On y évoque alors la force de Malegoude ; quelques années plus tard, Arnaud Roger de Mirepoix reconnait y être passé : « Un jour, alors que j'étais à la force de Malegoude… » C'est sans doute un petit site fortifié dont on ne connait pas la surface.
Après la défaite des seigneurs occitans proches du catharisme, leurs terres sont données aux vainqueurs venus du nord. Malegoude est remise au bras droit de Simon de Montfort, Gui de Lévis et entre ainsi dans ce qui deviendra la terre du Maréchal.
En 1391, Roger-Bernard Ier de Lévis est contraint en raison de dettes impayées de céder Malegoude à l'abbaye de Boulbonne.
Après les guerres de Religion, le seigneur de Lévis cède la ville et tout le lieu de Malegoude, avec les bâtiments et dépendances ainsi que le droit de pratiquer la haute et basse justice ; il ne se réserve que le quart des revenus provenant de la justice et la moitié de ceux liés aux biens cédés.
Un plan parcellaire du XVIIIe siècle indique une « métairie du château de Malegoude » au lieu-dit Castélas, de 129 seterées, ce qui équivaut à un peu plus de 16 hectares. Le document précise également que les moines possédaient une forge, située au sud-est de la métairie.
Malegoude reste dans la dépendance de l'abbaye de Boulbonne jusqu'à la Révolution.
La commune de Malegoude est membre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mirepoix. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[43].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[44].
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[45],[46].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | 2014 | Jean-François Lopez | ||
mars 2014 | En cours | Marie-Thérèse Lopez | SE | Retraitée |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2019, la commune comptait 45 habitants[Note 9], en augmentation de 12,5 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
selon la population municipale des années : | 1968[51] | 1975[51] | 1982[51] | 1990[51] | 1999[51] | 2006[52] | 2009[53] | 2013[54] |
Rang de la commune dans le département | 293 | 258 | 252 | 259 | 243 | 272 | 275 | 294 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Malegoude fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune voisine de Mirepoix jusqu'au lycée.
La commune possède une salle des fêtes et un comité des fêtes.
Le sentier de grande randonnée 7 (sentier européen E4) passe par Malegoude dans l'étape de Mazamet à Mirepoix.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Pays de Mirepoix[55].
Une déchetterie intercommunale existe depuis sur la commune de Mirepoix[56].
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 5,4 % | 15,6 % | 10,7 % |
Département[I 11] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 28 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6 % d'actifs (67,9 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 21,4 % d'inactifs[Note 10],[I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 13]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 19, soit un indicateur de concentration d'emploi de 94,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,1 %[I 14].
Sur ces 19 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 68,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
6 établissements[Note 11] sont implantés à Malegoude au [I 17]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 6 entreprises implantées à Malegoude), contre 27,5 % au niveau départemental[I 18]. Les un entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[57] :
L'entreprise Pyrène Automation créée en 2000 est spécialisée dans la fabrication de chariots automatisés pour le maraîchage et l'horticulture serricole[58].
La commune abrite une auberge sur le GR7.
La commune fait partie de la zone de production viticole du Pays-cathare (IGP).
1988 | 2000 | 2010 | |
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Exploitations | 7 | 5 | 5 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 605 | 515 | 502 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[59]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[60]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 13] de 2010 (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 502 ha[60].
Elle apparaît en 1318 dans les pouillés de Mirepoix, son architecture révèle plusieurs campagnes de travaux.
Le chevet est sans doute roman (XIe siècle-XIIe siècle), de forme semi-circulaire, il est plus étroit que la nef et est voûté en cul-de-four. Les moellons qui le composent, grossièrement taillés, sont disposés en assises régulières.
Les trous visibles - dits boulins - recevaient les extrémités de poutres horizontales lancées sur la largeur du bâtiment, qui soutenaient les planches de l'échafaudage et le solidarisaient avec la construction en cours. Sur la face sud du chevet, une très petite fenêtre actuellement murée pourrait relever de cette période ; la travée de chœur peut aussi être romane en dehors des ouvertures.
La date de 1546 gravée sur une pierre du mur sud de la travée de chœur peut correspondre à une rénovation. Les fenêtres en arc brisé ou rondes (oculi), la nef et le clocher-mur à trois baies, étayé de contreforts, datent des travaux du XIXe siècle.
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Blason | De gueules mantelé d'azur[62]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |