Le Neubourg est une commune française du département de l'Eure, en région Normandie.
Ne doit pas être confondu avec Le Neufbourg dans le département de la Manche
Pour les articles homonymes, voir Neubourg.
Cet article est une ébauche concernant une commune de l’Eure.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Le Neubourg est une commune du Centre du département de l'Eure. Elle est la «capitale» d'une «région naturelle» portant son nom: le plateau du Neubourg, appelé traditionnellement «Campagne du Neubourg» au sens normanno-picard du terme, attestée sous une forme française la champaigne du Neufbourc en 1428[1]. Le bourg est à 23 km à l'est de Bernay[2], à 23 km au nord-ouest d'Évreux[3] et à 35 km au sud de Rouen[4].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Canappeville», sur la commune de Canappeville, mise en service en 1960[13] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6°C et la hauteur de précipitations de 744 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Évreux-Huest», sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 25 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,3°C pour la période 1971-2000[17] à 10,8°C pour 1981-2010[18], puis à 11,2°C pour 1991-2020[19].
Urbanisme
Typologie
Le Neubourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22].
Elle appartient à l'unité urbaine du Neubourg, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 4 725 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Neubourg, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[26],[27].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (44,7%), zones urbanisées (26%), forêts (13,4%), prairies (6,8%), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6%), zones agricoles hétérogènes (0,8%)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Novus Burgus en 1089 (charte de Roger à la Barbe), Neuf Borc en 1195[30], Noef-Borc en 1200 (Chron. de Saint-Denis, Hist. de France, t. XVIII, p. 385), Castellum Novum en 1211 (ch. de Henri de Neubourg), Neubort en 1281 (Trésor des chartes), Nuefbourg en 1350 (Saint-Allais, Monstre) Neufboure en 1359, Nuefbourc en 1383 (arch. nat.), Neufbourc et Neufbourt en 1401 (aveu de Charles de Couesmes), Nuefbourc en 1403 (aveu d’Yves de Vieuxpont), Neaubourg en 1419 (Soc. des antiquaires, 23e vol.), Neboursg en 1469[30], Neubourg-la-Forêt en 1828 (L. Dubois).
On ne connaît pas la date précise de sa fondation[31]. Cependant, il est peu probable qu'elle soit antérieure à l'époque ducale. François de Beaurepaire fait remarquer que la présence de l'article défini implique vraisemblablement une date de fondation au début du second millénaire[32].
L'antéposition de l'adjectif neu(f)- est caractéristique de l'influence syntaxique du germanique continental, du vieil anglais ou du norrois. Dans la partie sud du domaine d'oïl, on trouve uniquement la forme Bourgneuf ou Bourg-neuf. On rencontre plusieurs noms de lieux se terminant par -bourg dans la toponymie de la Normandie, dont un ancien Wambourg (Saint-Aubin-sur-Quillebeuf) dans l'Eure; de nombreux Cabourg; Cherbourg; Jobourg; etc. Ces formations composées sont caractéristiques du nord de la France.
Homonymie avec le Neufbourg, commune de la Manche, plusieurs hameaux de Normandie du type le Neu(f)bourg et homographie avec le village annexe de Neubourg, rattaché administrativement à Dauendorf, dans le Bas-Rhin.
Histoire
Le Neubourg a laissé à la postérité la lecture d'un coutumier mis au jour en 1972[33].
Le Neubourg a été le théâtre d'évènements historiques importants. C'est au Neubourg, au début du XIIesiècle, que les barons anglo-normands se réunissent à la mort du roi Henri Beauclerc (4efils de Guillaume le Conquérant), pour désigner un successeur. Pendant ce temps, un des neveux d'Henri, Étienne de Blois, s'empare du Trésor Royal de Winchester et cet évènement marque le début d'une guerre civile anglaise qui se terminera dix-neuf ans après, par l'accession au trône de l'Angevin Henri Plantagenêt, époux d'Aliénor d'Aquitaine.
On peut citer aussi Jacques Charles Dupont de l'Eure (1767-1855), premier président du gouvernement provisoire de la Deuxième République en 1848, né au Neubourg et qui en fut le premier magistrat en 1792. Le Dr Auzoux, né à Saint-Aubin-d'Écrosville, a inventé l'écorché d'anatomie que de nombreux élèves ont vu en classe de sciences naturelles, ce qui explique la présence locale d'un Musée de l'écorché d'anatomie, rassemblant plusieurs belles pièces des «ateliers Auzoux».
En 1962, Jacques Mesrine, alors inconnu, y est arrêté pour la première fois alors qu'il essayait, avec trois complices, de s'en prendre à l'agence du Crédit agricole (ses parents possédaient une maison de campagne à Louviers).
Héraldique
Ces armes peuvent se blasonner ainsi:
bandé de gueules et d'or.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans l'Eure.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
En 2017, la commune a été labellisée «3 fleurs» par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[34].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2019, la commune comptait 4 241 habitants[Note 8], en augmentation de 2,94% par rapport à 2013 (Eure: +0,75%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 702
1 944
1 902
1 809
2 118
2 131
2 105
2 292
2 341
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 454
2 567
2 500
2 443
2 433
2 343
2 414
2 437
2 500
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 437
2 563
2 587
2 376
2 438
2 362
2 400
2 392
2 563
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2 835
3 132
3 498
3 454
3 639
3 833
3 922
3 964
4 172
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 098
4 241
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Riche région agricole, le plateau du Neubourg a été habité dès la préhistoire malgré le manque d'eau. En effet, il n'y a pas de cours d'eau. Lieu de passage vers les villes proches (Rouen, Évreux, Elbeuf, Louviers très importante au Moyen Âge), Le Neubourg a été une place importante de négoce de bétail et de produits agricoles. Son marché est encore reconnu aujourd'hui.
Ville très dynamique (plus d'emplois que d'habitants), l'activité économique est agricole mais aussi industrielle avec la plasturgie, l'entreprise Valois (société Aptar depuis 2012[39]), leader de la fabrication de pompes d'aérosol, l'alimentaire avec Saveur de France-Brossard et les abattoirs (groupe Socopa), le textile avec un pôle majeur en Europe de teillage de lin.
Elle est le siège du journal Le Courrier de l'Eure.
Sa devise résume bien l'état d'esprit des gens de la région: «Travail vaut richesse».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune du Neubourg compte trois édifices classés et inscrits au titre des monuments historiques:
l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XVe) (XVIe), Classée MH(1938)[40]. Édifice gothique du XVesiècle avec des parties du XVIesiècle. Les deux tours de façade sont inachevées. À l'intérieur se trouvent un lutrin, une toile de Nicolas Loir, des vitraux du XIXesiècle inspirés de ceux de Saint-Ouen de Rouen et des vitraux de Jean Barillet réalisés au XXesiècle [41];
Le château du Neubourg (XIIIe) (XVIe), Inscrit MH(2002)[42]. Il comprend aujourd'hui côté nord un front fortifié (tours, courtine, porte à pont-levis), correspondant côté sud à un logis du XIIIesiècle à grande salle sous charpente, et à la Maison Neuve (début XVIesiècle);
le château du Champ-de-Bataille[43] (XVIIe et XVIIIe), Classé MH(1952), Classé MH(1971), Inscrit MH(1995) et Classé MH(1995)[44]. Le jardin est labellisé Jardin remarquable.
Chapelle Saint-Jean: prieuré bénédictin ou abbaye de filles du même ordre attestée en 1638[45] fondée par Renée de Tournemine, veuve douairière du marquis du Neubourg, Alexandre de Vieux-Pont et première abbesse. Lui succédèrent les dames Françoise de Créquy (1640), Charlotte de Créquy (1678) puis Charlotte Maignart de Bernières (1709) [46].
Cinéma Le Viking.
Musée de l'écorché d'anatomie qui rend hommage à Louis Auzoux, inventeur des «écorchés d'anatomie», une technique qui, en son temps, fit le tour du monde et contribua à former les médecins.
Statue en pierre de Jacques Charles Dupont de l'Eure réalisée par Roger Courroy, située place Dupont de l'Eure. L'originale en bronze de Louis-Émile Décorchemont est déboulonnée et fondue sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux.
Statue de «La Veuve et l’Orphelin». Œuvre du sculpteur Hubert Yencesse , ce monument aux morts a été inauguré le 18 octobre 1953[47].
Le vieux château.
L'église.
Château du Champ-de-Bataille.
Musée de l'écorché.
Statue de Jacques Charles Dupont de l'Eure.
Patrimoine disparu
Statue de Léon Gambetta.
Statue de Léon Gambetta réalisée en bronze par Raoul Verlet et inaugurée en sur la place Dupont de l'Eure. Elle est déboulonnée et fondue sous le régime de Vichy, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux.
Patrimoine naturel
Sites inscrits
L'avenue d’arbres qui relie le château du Champ-de-Bataille à la ville du Neubourg[48], Site inscrit(1934);
Le château du Neubourg, la maison normande, l'hôtel du Soleil d'Or au Neubourg, Site inscrit(1943)[49];
Les abords du château du Champ-de-Bataille […], Site inscrit(1942)[50] (en ce qui concerne les immeubles bâtis, l'inscription vise les façades, élévations, toitures).
Personnalités liées à la commune
Jacques-Charles Dupont de l'Eure.
Robert de Neubourg (1101-1159), noble normand.
Alexandre de Crequy, constructeur du château du Champ-de-Bataille.
Anne-François d'Harcourt, un des propriétaires du château du Champ-de-Bataille.
Louise de Vieux-Pont, mère du marquis Alexandre de Sourdéac de Rieux.
Pierre Corneille, auteur de La Toison d'or, premier opéra joué en France, au Neubourg, à l'initiative du marquis Alexandre de Sourdéac de Rieux[51].
Nicolas Loir (1624-1679), peintre, auteur de La résurrection du Christ[52], dans l'église Saint-Paul.
Pierre Dubuc de Rivery (1640-1708), héros de la guerre de 1658 contre les Indiens caraïbes.
Jacques Charles Dupont de l'Eure (1767-1855), chef de l'État ( – ).
Gaston Leroux (1868-1927), romancier, avait ses attaches familiales dans le canton.
Alexandre Duval (1875-1943), député de l'Eure de 1919 à 1942 et notaire.
Roger Boucher (1885-1918), organiste et compositeur, natif de la commune.
René Lebret (1886-1971), homme politique, natif de la commune.
Pauline Peugniez (1890-1987), cartonnière, a travaillé dans le canton.
Bernard Hillemand (1923-2015), professeur de médecine et membre de l'Académie nationale de médecine, résida dans le canton.
Richard Allan (1942-...), ancien acteur pornographique, devenu chocolatier au Neubourg.
Jacques Garcia (1947-...), décorateur, rénovateur du château du Champ-de-Bataille.
Jean-François Miniac (1967-...), écrivain et auteur de bande dessinée, réside dans le canton.
Christophe Rocancourt (1967-...), escroc médiatique, résida en famille d'accueil dans la commune.
Culture
Chaque année, en mars, a lieu l'élection de l'Ambassadrice du Neubourg et de la filière lin. Lors de la fête du Neubourg, la reine trône sur un char et salue la foule avec ses dauphines. Elle participe également à de nombreuses manifestations, même à l'extérieur de la ville.
Tous les ans, en février et mars, a lieu le festival du dessin animé. Au programme: expositions, une semaine de projection au cinéma, animations diverses et interventions de prestigieux parrains.
Le Neubourg est célèbre depuis le Moyen Âge pour son marché.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
François de Beaurepaire (préf.Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221p. (ISBN2-7084-0067-3, OCLC9675154), p.82.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p.153.
André Plaisse, La baronnie du Neubourg, Paris 1961.
François de Beaurepaire (préf.Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, (ISBN2-7084-0067-3, OCLC9675154), p.149 - 150
Plaisse André. La Coutume du Neubourg. In: Hors-série des Annales de Normandie. Recueil d'études offert en hommage au doyen Michel de Boüard Volume II. 1982. pp. 489-508. En ligne sur Persée .
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии