Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Garagnon, le ruisseau le lamesan et par divers autres petits cours d'eau.
Lavelanet-de-Comminges est une commune rurale qui compte 614 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Lavelanéciens ou Lavelanéciennes.
Géographie
Localisation
La commune de Lavelanet-de-Comminges se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 47 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 28 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 31 km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cazères[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Lavelanet-de-Comminges fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans[5].
La commune de Lavelanet-de-Comminges est établie sur la première terrasse de la Garonne en rive gauche.
La superficie de la commune est de 1 354 hectares; son altitude varie de 232 à 253mètres[7].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Garagnon, le ruisseau le lamesan un bras du Lamesan le Cloutas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Réseaux hydrographique et routier de Lavelanet-de-Comminges.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cerizols», sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[15] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1°C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 27 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[19], à 12,3°C pour 1981-2010[20], puis à 12,7°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].
Urbanisme
Typologie
Lavelanet-de-Comminges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (56,4%), zones agricoles hétérogènes (29,6%), prairies (11,5%), zones urbanisées (2,5%)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Morphologie urbaine
L'essentiel des constructions est situé autour de son église.
Logement
L'urbanisation croissante s'explique par la périurbanisation due à la proximité de Toulouse, Lavelanet-de-Comminges faisant partie de son aire urbaine[I 5].
Risques naturels et technologiques
Lavelanet-de-Comminges est située sur une zone à risque de coulées de boue[28].
La commune est également concernée par un risque de séisme de 2/5 (faible)[28].
La ligne 379 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune au centre-ville de Saint-Gaudens.
Toponymie
Son nom viendrait de L’Aveylas ou L’Aveynas un lieu planté de noisetiers[29].
Histoire
L’occupation humaine de la commune remonterait de l'époque gallo-romaine comme l'atteste le site gallo-romain de Serres.
La bastide a été créée entre 1260 et 1270 par Alphonse de Poitiers comte de Toulouse.
Politique et administration
Mairie
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[30],[31].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Volvestre et du canton d'Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Lavelanet-de-Comminges faisait partie de l'ex-canton de Rieux-Volvestre).
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Haute-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Liste des maires de 1791 à 1990
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1791
1792
Bernard Lapeyre
1792
1793
Bertrand Forgues
1793
1794
Bertrand Montané
1794
1795
Esprit Lapeyre
1795
1795
François Latronche
1795
1795
Jean Dubois
1795
1799
Bernard Lasmartres
1799
1826
Jean-Marie André
1826
1830
Jean Bernède
1830
1841
Joseph comte de Caffarelli (1760-1845)
comte de l'Empire, Conseiller d'Etat, 1er Préfet Maritime de Brest, vice-amiral, conseiller général
1841
1848
Séverin Anouilh
1848
1868
François Montané
1848
1863
colonel Auguste Gleizes (1781-1863)
colonel du génie
1863
1870
Jules Gleizes (1826-1880)
1870
1870
Pierre Périssé
1870
1871
Louis-Marie-Joseph Jeammayrac
1871
1881
Jules Gleizes (1826-1880)
1881
1882
Jean-Marie Lamouroux
1892
1911
Louis Alquier-Bouffard (1822-1911)
officier du génie, TPG du Tarn, maire de Castres (1860-1871)
1911
1917
Lucien Montané
1917
1919
François Lajous
1919
1925
Jules Mounès
1925
1935
colonel Joseph Bezard (1865-1943)
colonel de cavalerie
1935
1944
Georges Gras
1944
1944
Ernest Alquier
1944
1947
Fernand Mounès
1947
1965
Pierre Dumas
1965
1989
Jean-Marie Penent
PS
1989
1990
Paul Morère
1990
2001
Roger Delavergne
PS
2001
2004
Jean-Claude Menville
mars 2004
2005
Jean-Claude Trazic
2005
2020
Évelyne Delavergne
DVG
Employée
mai 2020
En cours
Jean Chalduc
Jumelages
Brazii(Roumanie)
Narthang(Tibet) depuis 2012
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2019, la commune comptait 614 habitants[Note 7], en augmentation de 3,54% par rapport à 2013 (Haute-Garonne: +7,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
418
750
550
618
595
582
579
590
634
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
648
592
602
549
585
600
639
650
649
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
649
594
603
533
539
511
524
508
490
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
517
491
492
420
465
483
524
526
554
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
611
614
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Lavelanet-de-Comminges fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède une possède une école primaire: école maternelle et élémentaire, l'école des Noisettes.
Culture
Maison des associations, salle des fêtes, bibliothèque-médiathèque[40], ludothèque, théâtre, ferme pédagogique de Paillac,
Activités sportives
Le village possède un stade de football, le stade Robert Sérignac où joue l'équipe du Volvestre. Il possède également un court de tennis. pétanque, chasse, équitation,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Volvestre[41],[42].
Il existe une déchèterie sur la commune de Carbonne en limite de la commune de Peyssies[43].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 249 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 602 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 620 €[I 6] (23 140 € dans le département[I 7]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 370 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7% d'actifs (74,9% ayant un emploi et 3,8% de chômeurs) et 21,3% d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 199 emplois en 2018, contre 153 en 2013 et 130 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 281, soit un indicateur de concentration d'emploi de 70,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,7%[I 12].
Sur ces 281 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 66 travaillent dans la commune, soit 23% des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2% les transports en commun, 1,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
67 établissements[Note 10] sont implantés à Lavelanet-de-Comminges au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
67
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
10
14,9%
(5,7%)
Construction
13
19,4%
(12%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
21
31,3%
(25,9%)
Information et communication
3
4,5%
(4,1%)
Activités immobilières
1
1,5%
(4,2%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
14,9%
(19,8%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
4
6%
(16,6%)
Autres activités de services
5
7,5%
(7,9%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,3 % du nombre total d'établissements de la commune (21 sur les 67 entreprises implantées à Lavelanet-de-Comminges), contre 25,9% au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[44]:
See Jean Bergougnan Et Fils, commerce de gros (commerce interentreprises) d'animaux vivants (20 493 k€)
Isodoc France, fabrication de portes et fenêtres en métal (2 783 k€)
Alter Energies, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (801 k€)
Laboratoire Dentaire Saint Blancat, fabrication de matériel médico-chirurgical et dentaire (178 k€)
Guy Laroche Terrassements, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (83 k€)
Agriculture
La commune est dans «les Vallées», une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 37 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 33 en 2000 puis à 22 en 2010[47] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 51% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[48],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 194ha en 1988 à 1 244ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 69ha[47].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Barthélemy.
place du
Château d'eau
La maison des associations
La maison des associations
Personnalités liées à la commune
Joseph comte de Caffarelli, (1760-1845), premier préfet maritime de Brest, pair de France, Grand officier de la Légion d'honneur
Louis Alquier-Bouffard, (1822-1911), maire de Castres puis de Lavelanet
Colonel Auguste Gleizes, polytechnicien, colonel du génie
Colonel Joseph Bezard, colonel de cavalerie, historien de la commune
Étienne de Lassus Saint Geniès (1887-1979), industriel, Grand officier de la Légion d'honneur
Paul Garrigues (1944-2011), joueur de rugby à XV avec le Stade toulousain de 1964 à 1973, né à Lavelanet-de-Comminges
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Haute-Garonne.
Blason
D'azur au cimeterre dressé et à la masse à picotons d'or passés en sautoir et au bonnet phrygien de gueules brochant, le tout soutenu de deux branches de laurier de sinople; à la bordure d'argent enclavée en chef, chargée de sept noisettes au naturel, 2, 2, 2 et 1 et d'une croix cléchée et pommetée d'or remplie de gueules au point du chef.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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