La Petite-Verrière est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
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La Petite-Verrière
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L'une de ses particularités est de figurer parmi les dix communes les moins peuplées de Saône-et-Loire[1]. En effet, cinquante et un habitants y étaient recensés au (chiffre officialisé par l'INSEE au 1er janvier 2022), ce qui classe cette commune au 5e rang des communes les moins peuplées de Saône-et-Loire, derrière Chérizet (20 habitants), Grevilly (30 habitants), Montceaux-Ragny (31 habitants) et Collonge-la-Madeleine (50 habitants).
Géographie
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La commune repose sur le gisement de schiste bitumineux d'Autun daté de l'Autunien (−299 et −282 millions d'années)[2],[3].
Urbanisme
Typologie
La Petite-Verrière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (75,9%), prairies (24,1%)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Morphologie urbaine
Hameaux
Vaulion, lieu détruit.
Toponymie
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Histoire
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Le Tacot du Morvan
Article détaillé: Chemin de fer d'Autun à Château-Chinon.
Au début du XXesiècle, la commune était desservie par une des lignes du Tacot du Morvan: le chemin de fer d'Autun à Château-Chinon. Elle disposait d'une gare située au point kilométrique 15,269 de la ligne, qui servait également de desserte à la commune voisine de Cussy-en-Morvan. Le trafic voyageurs fut stoppé le , remplacé par un service d'autocars.
La ligne, fermée définitivement en 1936, fut démontée entièrement en 1939[11].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
mars 2008
Fréderic Bellet
mars 2008
en cours
Daniel Daunot
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].
En 2019, la commune comptait 51 habitants[Note 3], en diminution de 1,92% par rapport à 2013 (Saône-et-Loire: −0,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
208
185
190
197
212
219
245
242
227
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
200
218
212
222
220
212
219
226
189
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
200
217
190
139
396
144
129
126
104
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
82
75
75
67
64
65
55
52
52
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
52
51
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
L'église, sous le vocable de Notre-Dame-de-l'Assomption, du XIIe siècle, qui possède une porte romane, une chapelle attenante du XVe siècle et des vitraux où figurent des portées en grégorien.
Le château de la Boulaye, construit au XVIIe siècle, manoir dépourvu de tour ayant la forme d'un gros pavillon dominant la vallée, qui rappelle l'origine du village et des familles nobles ayant habité en ce lieu (les d'Arlay, les Jaucourt, les Champeaux, dont les descendants sont toujours propriétaires).
Les douglas de la Roche Guillaume, labellisés «Arbre remarquable de France» en (groupe de douglas d’exception: les premiers plantés en Morvan, vers 1880)[Note 4].
Personnalités liées à la commune
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Pour approfondir
Bibliographie
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Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Douglas figurant parmi les quatre arbres labellisés «Arbre remarquable de France» par l’association nationale A.R.B.R.E.S. en Saône-et-Loire, avec: l'orme bicentenaire de Martailly-lès-Brancion (labellisé en juin 2000), le chêne pédonculé poussant au bas du parc du château de Saint-Germain-lès-Buxy (labellisé en novembre 2011) et le hêtre pourpre bicentenaire du parc Monseigneur Joseph Robert à Lugny (labellisé en juin 2018).
Références
«Voyage à la découverte de nos communes», article de Fernand Nicolas paru dans la revue «Images de Saône-et-Loire» n° 100 de mars 1995, pages 20 à 27.
[PDF] J. Le Goff, Etude des aléas miniers dans le bassin d'Autun, Bourgogne (71) (exploitations de houille, schistes bitumineux et fluorine): Communes de Autun, Barnay, Cordesse, Curgy, Dracy-Saint-Loup, Igornay, La Celle en Morvan, Monthelon, La Grande Verrière, La Petite Verrière, Reclesne, Saint Forgeot, Saint Léger du Bois, Sully et Tavernay, Géoderis, Volume 1 et Volume 4.
[PDF] R.Feys, Puits et sondage dans le bassin d'Autun et Epinac, des origines à nos jours, BRGM, (lire en ligne), p.20-21.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«À travers le Haut-Morvan: le Tacot d'Autun à Château-Chinon de 1900 à 1936», article de J. Paineau paru dans la revue «Images de Saône-et-Loire» n° 80 (automne 1989), pages 3 à 8.
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