Guillestre[ɡijɛstʁ] est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, et bureau centralisateur du canton qui porte le même nom.
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La commune de Guillestre est située à une altitude moyenne de 1 000 m, dominant la rive gauche des gorges du Guil, peu avant sa confluence avec la Durance. Située à la porte du Queyras, elle est le point d'accès unique de cette vallée, notamment pendant les mois d'hiver (le col Agnel et le col Izoard étant fermés une partie de l'année).
La commune est située sur le plateau du Simoust au nord et, en fond de vallée en bas de Risoul au sud.
Hydrographie
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Différents torrents et rivières traversent le territoire de la commune de Guillestre pour ensuite se jeter dans la Durance.
D'un côté, le Guil (longueur 51,5 km[3]) qui descend du Queyras et rejoint la Durance entre Guillestre et Mont-Dauphin. À celui-ci viennent s'ajouter le Chagne (long de 19,5 km, prenant sa source à Vars[4]), ainsi que l'un de ses affluents, le Rif Bel (long de 14,3 km[5] et prenant sa source au val d'Escreins).
Climat
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Le climat est de type tempéré avec des hivers assez rudes et des étés relativement chauds. Le vent souffle généralement depuis Embrun en remontant la vallée de la Durance. Il vient aussi parfois du nord par un retour d'est arrivant de la plaine du Pô.
Voies de communication et transports
Voies routières
Guillestre est accessible par la route départementale 902A, reliant le centre-ville à la route nationale 94 menant vers Gap, Embrun et Briançon, ainsi que par la route départementale 902 reliant le Queyras à Vars (route des Grandes Alpes).
Du centre-ville, la départementale 86 mène vers Risoul.
L'accès ferroviaire est possible via les liaisons TER reliant Marseille, Valence ou Grenoble à Briançon, ainsi que par le train de nuit reliant Paris à Briançon.
Le tronçon ferroviaire de la ligne de Veynes à Briançon est pour moitié à voie unique.
Transports en commun
Guillestre est desservie par la ligne 29 du réseau de lignes express régionales LER PACA, reliant Gap à Briançon. Les autocars s'arrêtent à la gare routière[6], ainsi que par quatre lignes du réseau Hautes-Alpes en car[7]:
Ces lignes (sauf exception) desservent la zone artisanale du Villard et la gare routière.
En hiver, des navettes relient Guillestre aux stations de ski de Ceillac, Vars et Risoul[12].
Urbanisme
Typologie
Guillestre est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Guillestre, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[16] et 3 299 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[17],[18].
La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Tissu urbain discontinu
2,9%
149
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques
0,4%
20
Prairies et autres surfaces toujours en herbe
7,7%
395
Systèmes culturaux et parcellaires complexes
0,4%
21
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants
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La place Salva.
La place Albert.
Remarques sur le choix du lieu d'implantation de la cité
Les caractéristiques du lieu qui ont conduit à cette implantation de Guillestre sont:
une exposition assez favorable d'ouest des terres fertiles faciles à irriguer;
un des torrents, le Rif-Bel a une hydrologie extrêmement favorable à la régularité même en période sèche pour la récupération de l'énergie hydraulique pour des moulins (ce sous-bassin-versant, plein nord-ouest, est très étroit et encaissé, entouré de sommets proches de 3 000 m d'altitude, alimenté par la régularité des fusions de glace en période d'estives (glaces profondes de glacier rocheux));
une position stratégique dans le massif à la croisée de trois voies principales importantes: (Queyras, Ubaye, Durance aval);
un encadrement par des confluences, limites défensives naturelles, des gorges (Chagne et Guil); (Le Guil a un débouché, dans les gorges du Queyras, sur environ deux kilomètres, entre Guillestre et Mont Dauphin, il existe un véritable canyon creusé par le torrent du Guil qui ainsi coule au pied de falaises de plus de 80 m de hauteur, espacées de seulement 200 m)[22].
Logements
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Toponymie
Graphies anciennes
Le nom de la localité est attesté sous la forme Guillestra en 1119[23], dans une bulle du pape Gélase II. Guillestra (occitan Guilhestra) est devenu Guillestre par francisation de la voyelle finale, selon le cas général pour les toponymes occitans.
Étymologie
Le premier élément Guill- représenterait l'hydronyme Guil (anciennement *Guillu-)[24],[23], c'est-à-dire le torrent des gorges du Queyras. Ernest Nègre partage ce point de vue et note que le Guil est attesté sous la forme latinisée Guillus en 1461[25].
Le second élément -estre:
peut être issu de l'occitan estra « hors de » (lui-même du latin extra[23]), d'où la signification globale de « (village) hors du Guil »;
légère variante de l'interprétation précédente, estra pourrait avoir le sens du substantif balcon ou adjectival d'en surplomb[26]. En effet dans la haute vallée de l'Ubaye, on nomme Estra, le balcon spécial, côté sud, qui reçoit le bois qui manque encore de séchage et qui est en communication directe avec la grange. Souvent, il n'a pas de garde-corps. Une interprétation globale de Guillestre donnerait alors « le village en balcon au-dessus du Guil »[Interprétation personnelle?][27].
Ernest Nègre considère que l'élément -estre représente le suffixe latin -estris, semblable à celui de camp-estris > champêtre en français. Pour lui la forme primitive du nom de lieu était *Aquili-estris (Guil étant formé sur l'adjectif latin aquilius « brun foncé, noir » devenu Aiguilh en occitan avec une aphérèse du Ai- initial). Il aurait d'abord désigné la région du Guil, puis le village de Guillestre lui-même[28].
Guilhestra, en occitan, tire son nom de la rivière torrentielle proche, le Guil, issu du radical pré-celtique gar qui désigne «l'eau». A donné aussi Gillardes pour, «grosses eaux» dans le Dévoluy et probablement Guisane[29] et du second élément occitan estra «hors de»[23], d'où la signification globale du village « hors du Guil ».
Histoire
Guillestre au XIXesiècle, illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).
La ville est fondée par les habitants de Rama (La Roche-de-Rame), dont la ville avait été détruite par une crue de la Durance[30].
Au XIIesiècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Sainte-Marie[31].
Guerres de religion
Guillestre est prise par Lesdiguières le .
XVIIesiècle
Au cours de la guerre de la Ligue d'Augsbourg, la ville est prise le par Victor-Amédée II de Savoie, après un siège de trois jours[32]. Son enceinte datait du XIVesiècle[33].
Article détaillé: Invasion du Dauphiné en 1692.
Politique et administration
Budget et fiscalité 2014
L'hôtel de ville.
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[34]:
total des produits de fonctionnement: 3 284 000 €, soit 1 358 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 2 676 000 €, soit 1 107 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 1 931 000 €, soit 799 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 871 000 €, soit 360 € par habitant.
endettement: 2 186 000 €, soit 904 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 13,38%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 19,71%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 107,14%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 96,83% ;
cotisation foncière des entreprises: 20,75%.
Tendances politiques et résultats
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Guillestre est une commune qui a tendance à voter à droite, comme le démontrent, aux élections présidentielles, les scores importants de Nicolas Sarkozy autant en 2007 (58,03%[35]) qu'en 2012 (53,84%[36]).
Aux élections municipales de 2014, le candidat sortant Bernard Leterrier a été réélu avec 59,25% des suffrages exprimés. Il acquiert quinze sièges au conseil municipal dont sept au conseil communautaire de la communauté de communes du Guillestrois. Le battu, Claude Feuillassier, avec 40,75% des voix, obtient les quatre sièges restants. La participation à cette élection s'est élevée à 73,37%[37].
Aux élections de mars 2020, le candidat sortant Bernard LETERRIER a été battu par sa première adjointe Christine PORTEVIN, cheffe de la liste Guillestre Ensemble. Elle acquiert 16 sièges au conseil municipal avec 62.92% des voix et 7 sièges à la Communauté de Communes du Guillestrois-Queyras. La participation aux élections a été de 60,05%. Christine PORTEVIN, compte-tenu de la crise sanitaire, n'a été élue à son poste que le 24 mai 2020. Elle est la 2ème femme élue maire de Guillestre.
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Hautes-Alpes.
Vétérinaire retraité 2evice-président de la communauté de communes du Guillestrois (2014-2016), puis de la communauté de communes du Guillestrois et du Queyras (2017-2020)
de 2001 à 2017, de la communauté de communes du Guillestrois;
depuis le , de la communauté de communes du Guillestrois et du Queyras[44].
Jumelages
Guillestre est jumelée avec Torre Pellice (province du Piémont, Italie).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].
En 2019, la commune comptait 2 312 habitants[Note 2], en diminution de 1,41% par rapport à 2013 (Hautes-Alpes: +1,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
952
970
1 183
1 363
1 672
1 754
1 759
1 742
1 739
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 606
1 460
1 509
1 509
1 479
1 491
1 450
1 403
1 361
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 399
1 374
1 315
1 146
1 080
1 052
1 057
1 092
1 030
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
1 448
1 479
1 466
1 937
2 000
2 211
2 276
2 247
2 325
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 301
2 312
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Guillestre dépend de l'académie d'Aix-Marseille.
Les élèves commencent leur scolarité à l'école maternelle puis à l'école primaire publique de la commune[49], puis la poursuivent au collège des Hautes-Vallées[49].
Santé
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Station thermale de Plan de Phazy.Source des Vignes au Plan de Phasy en hiver.
Services, équipements
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Cultes
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Économie
Guillestre est un carrefour de vallées où viennent s'approvisionner les habitants des communes environnantes. L'activité économique est essentiellement centrée sur le tourisme d'été et d'hiver[50]. Les activités de loisirs sont nombreuses dans le Guillestrois: sports d'eau vive sur la Durance ou le Guil, équitation, montagne (randonnée, ski, etc.), tennis, vol à voile, parapente, VTT, 4x4, etc.
La station de ski la plus proche est le domaine de la Forêt blanche sur les communes de Vars et Risoul.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La chapelle Saint-Guillaume (XIesiècle).
La tour d'Eygliers[51],[52], vestige des remparts médiévaux. Elle est classée monument historique.
L’église Notre-Dame d'Aquilon[53],[54],[55] a été construite entre 1507 et 1532. Son porche, inspiré du Réal d’Embrun, date de 1545[56]. Elle est répertoriée dans la base Mérimée, base de données sur le patrimoine architectural français du ministère de la Culture[57].
Rue des masques: étroite gorge naturelle, où la tradition prétend que les sorciers d'Eygliers y tenaient leur sabbat nocturne[61]
Tour d'Eygliers.
L'égliste Notre-Dame-d'Aquilon.
Porche de l'église.
La chapelle des Pénitents, sur le côté de l’église.
Personnalités liées à la commune
Plaque commémorative du général Albert.
Louis Court (1670-1733), peintre de l'Accademia di San Luca de Rome, y est né;
Joseph Jean-Baptiste Albert (1771-1822), général d'Empire, y est né;
Augustin Guillaume (1895-1983), général d'armée, y est né.
Héraldique
Les armoiries de Guillestre sont: D'or à l'aigle bicéphale de sable, armée, membrée, becquée et allumée de gueules, chargée en cœur d'un écusson d'azur à la croix d'argent.
Guillestre dans les arts et la culture
L'écrivain Pierre Bordage situe l'action de sa nouvelle Nuits-lumière dans la ville.
Pour approfondir
Bibliographie
Guillestre mon pays, par général Guillaume Cahiers de l'Alpe, 1963,
Guillestre et ses environs, par abbé Guillaume, 1906 (réédité en 1991 par Le livre d'histoire-Lorisse)
Guillestre, J. Feuillassier, A. Barre, E. Moyne, R.Meyer-Moyne. Verneuil-Calade, 2000
Les marbres de Guillestre. Bénédicte et Gérard de Wailly. Hors-série "Pays guillestrin" no16
Guillestre au Second Empire. Bénédicte de Wailly. Hors-série "Pays guillestrin" no20
Hors-série et journaux de l'association "Pays Guillestrin" sur Guillestre et les communes qui font partie du canton de Guillestre
De Guillestre à Vars, une base protestante dans les Hautes-Alpes au XIXesiècle, Bénédicte de Wailly [Bulletin de la Société d'Études des Hautes-Alpes, 2014]
(fr + en + de) Coordination générale: René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices: CRMH: Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP): Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH): Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide: Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198p. (ISBN978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Notice Guillestre p.41
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Carte de Guillestre sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 12 août 2016).
Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Toulouse, Privat, coll.«Rivières et vallées de France», (ISBN2-7089-9503-0), p.54.
Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, «Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIesiècle», in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'Abbaye, 999-1999, Villeneuve-lès-Avignon, 24-26 septembre 1999, Éd. Alpes de Lumières, collection «Cahiers de Salagon» no4, Mane, 2001, 448p. (ISSN1254-9371), (ISBN2-906162-54-X), p.218.
André Golaz, Odette Golaz, A. Guillaume (préfacier), Notice historique et descriptive sur Mont-Dauphin (Hautes-Alpes), Société d'études des Hautes-Alpes, Gap, 1981 (3eédition, 1reédition 1966) (ISBN2-85627-001-8), planche 1.
Patrick Garnero (dir.), Annuaire des Mairies des Hautes-Alpes, Cannes, EIP / Les Éditions Céline, coll.«Annuaire des Mairies de France», (ISBN9782352581048), p.35, (page non consultable le ).
Derennes, Gustave, Géographie du département des Hautes-Alpes: physique, politique, historique, administrative, économique et commerciale, Gap, (lire en ligne), p.54
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