Grigny est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 653 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
Grigny est un petit village picard de l'Artois, située sur la petite rivière la Ternoise, à un tiers nord-est d'Hesdin et à 34 km au sud-est de Berck et à 29 km du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
La commune, située à 30 m d'altitude, s'étend sur 2,1 km2.
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes:
Article connexe: Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais.
La commune est traversée par la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41,43 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville et conflue dans la Canche dans la commune d'Huby-Saint-Leu[1].
Climat
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Milieux naturels et biodiversité
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1]: la forêt domaniale d'Hesdin et ses lisières. Elle est située dans le Ternois et s’étend sur le plateau de l’Aa et sur le rebord sud d’un glacis incliné vers la dépression synclinale de la Canche[2].
la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. La Ternoise, avec ses 25 km de vallée étroite, a des versants occupés par des bois, des pelouses, des prairies et des lisières arbustives, et son plateau limoneux est utilisé pour la culture. Le versant droit de la Ternoise est entaillé par de nombreuses vallées sèches drainant les collines crayeuses de l’Artois[3];
la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin. Cette zone humide recelant des marais tourbeux, s'étend d'Étaples à Hesdin sur une superficie de 12 059 hectares[4].
Urbanisme
Typologie
Grigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[5],[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Hesdin, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[8] et 6 799 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (46,2%), prairies (24%), zones urbanisées (16,5%), forêts (12,4%), zones agricoles hétérogènes (0,9%)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Voies de communication et transports
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Toponymie
Le nom de la commune viendrait de Grinnius ou Grino, nom d'homme germanique[15].
Le nom de la localité est attesté sous les formes: Grynni (cartulaire d'Auchy - 1079), Grinni (1112), Gregni (1123), Greigni (petit cartulaire de Dommartin - 1144), Grengi (cartulaire de Saint-Georges - 1164), Greni et GrenniXIIesiècle, Gringni (1221), Gringi (1228), Grigni (1285), Grenii (1294), Greigny (1298), Grigniacum (1316), Grenhi (1321), Gregny (1330), Gringny (1526), Griny (1559), Griniy (1725)[16], GrignyXVIIIesiècle, Grigny depuis 1793 et 1801[17].
Histoire
En 1789, Grigny faisait partie au temporel du bailliage d'Hesdin et suivait la coutume d'Artois. Au spirituel, son église, consacrée à Sainte-Gertrude était un secours de Marconne et faisait partie du doyenné d'Hesdin, dans l'ancien diocèse de Saint-Omer (aujourd'hui celui d'Arras)[16].
C'est dans cette localité que s'est installé, en 1639, le campement de l'état-major de Charles de la Meilleraye[Note 5]. Il s'empara d'Hesdin en 1639 puis, ayant fait sa jonction avec Maillé-Brezé après la chute de Lens (1641), il ravagea les faubourgs de Lille et mit le siège devant Bapaume.
La terre de Grigny, érigée en marquisat en 1690, relevant du château d'Hesdin, a tous droits de justice (justice seigneuriale), ancien château, manoir seigneurial, plusieurs beaux fiefs et domaines, dépendances, cens, ventes, redevances, fermes, moulins, bois, prés et autres droits utiles et honorifiques[18]. En octobre 1705, des lettres, données à Fontainebleau, réaffirment l'érection en marquisat de Grigny, mais en y incorporant les terres de Fresnoy, Quisy et Marconnelle[19].
La famille de Salperwick a acquis la terre de Grigny par héritage et mariage en 1702 et a conservé le fief jusqu'à la Révolution[20].
Seigneurs de Grigny
Le généalogiste L.-E. de La Gorgue-Rosny mentionne plusieurs seigneurs du nom de Grigny au Moyen Âge[21], sans préciser cependant à quel fief de Grigny ces personnages se rattachent[Note 6]:
Gautier de Gregny, chevalier, témoin d'une charte de Willaume, comte de Ponthieu, de l'an 1194 (dom Grenier, tome 57);
Robert de Grinny, cité dans une charte d'Élenard de Hafrengues, seigneur de Grinni, du (cartulaire d'Auchy);
Robert de Grigny, écuyer, était lieutenant du bailli d'Étaples en 1462.
En , Elnard de Grigny et Elnard d'Haffringues, seigneur de Grigny, figurent parmi les pairs de la châtellenie d'Hesdin[22]. Au siècle suivant, Enlard, sire de Grigny (1311) et Pierre, également sire de Grigny (1328), chevaliers, ont laissé leur sceau, qui figurait un écu chargé de trois doloires, avec parfois un lambel[23].
Château
La présence d'un château, sur une tapisserie de Bayeux représentant Grigny, conduit le musée de France d'Opale Sud de Berck à entreprendre des fouilles dans les années 2010. Elles mettront au jour de nombreuses pièces datant du Moyen Âge attestant de la présence de ce château[24].
Politique et administration
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Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.
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Circonscriptions administratives
Articles connexes: Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.
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Circonscriptions électorales
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.
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Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Ouvrier qualifié[27],[28] Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30]
Équipements et services publics
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Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Grignois[31].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 297 habitants[Note 7], en augmentation de 0,34% par rapport à 2013 (Pas-de-Calais: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
260
108
228
308
425
469
473
451
465
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
428
413
396
400
400
375
403
400
377
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
386
404
382
404
411
345
344
303
304
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
369
383
399
375
361
329
299
299
295
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
297
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0%, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0% la même année, alors qu'il est de 24,9% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 153 hommes pour 143 femmes, soit un taux de 51,69% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
0,7
7,8
75-89 ans
7,6
17,0
60-74 ans
25,1
20,3
45-59 ans
22,3
18,5
30-44 ans
14,7
15,2
15-29 ans
15,5
21,2
0-14 ans
14,1
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[36]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
5,4
75-89 ans
8,9
15,9
60-74 ans
17,3
20,2
45-59 ans
19,4
19,1
30-44 ans
18,2
18,6
15-29 ans
16,3
20,3
0-14 ans
18,3
Économie
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Au XVIesiècle, Antoine de Bassecourt, écuyer, est seigneur de Grigny (lès-Hesdin). Il est reçu bourgeois d'Arras le . Son grand-père, Pierre Bassecourt, avait été anobli par le roi Philippe II en [20]. La famille de Bassecourt est originaire de Picardie[38].
En mars 1598, le frère cadet du seigneur de Grigny, Hugues de Bassecourt, est seigneur de Hornaing[39]. Hugues de Bassecourt est le fils de Claude de Bassecourt, seigneur de Saint-Floris en partie et de Marie Duriez, fille de Philippe Duriez, en son vivant censier de l'abbaye de Corbie à Monchy-au-Bois, et cousin germain maternel de Jérôme Duriez, écuyer, seigneur du Hamel, qui avait obtenu une sentence de noblesse en mai 1592[39].
Jean-Baptiste de Bassecourt, arrière-petit-fils d'Antoine de Bassecourt et petit-neveu de Robert de Bassecourt[38], est créé marquis de Grigny par lettres patentes du roi d'Espagne Charles II du 22 (27) , avant que le titre ne soit reconnu en France, en (lettres patentes enregistrées le à Fontainebleau[20],[19]. Jean-Baptiste de Bassecourt est en 1690 chevalier de l'ordre de Saint-Jacques, seigneur d'Huby, de Grigny, général des armées d'Espagne, issu d'une ancienne famille de l'Artois, au service depuis 1655. L'érection intervient en récompense de ses services comme lieutenant-général des armées et commandant général de la cavalerie aux Pays-Bas[18]. N'ayant pas d'héritier, Jean-Baptiste de Bassecourt donne cette terre par acte passé à Naples le à Antoinette Philippe de Bassecourt, sa sœur mariée à Louis de Salperwick, pour en jouir après sa mort et la laisser ensuite à François de Salperwick, leur fils et neveu de Jean-Baptiste de Bassecourt[18].
En octobre 1705, des lettres données à Fontainebleau permettent à François de Salperwick de relever le titre de marquis de Grigny. François de Salperwick et sa femme Marie Charlotte de Harchies déclarent consentir à ce qu'Antoinette Philippe de Bassecourt jouisse sa vie durant de la terre de Grigny. François de Salperwick est seigneur du Fresnoy, Crehem, Hestruval, Plumoison, Quiesy, Ristade, Marconnelle, Héricourt et Leuzeux, mousquetaire de la seconde compagnie de la garde du roi, commandée par le sieur de Jouvelle, a assisté aux prises de Valenciennes, Cambrai, Saint-Omer, à la bataille de Cassel. Il est fils de feu Louis de Salperwick et d'Antoinette Philippe de Bassecourt et neveu de Jean Baptiste de Bassecourt, marquis de Grigny. Il peut relever ce titre de marquis en y ajoutant et y incorporant les terres de Fresnoy, Quisy et Marconnelle qui relèvent aussi du château d'Hesdin, pour en jouir après le décès de sa mère qui suivant les intentions de son frère, lui avait fait don de la terre de Grigny par acte du 17 janvier 1703[40].
Héraldique, logotype et devise
Article connexe: Armorial des communes du Pas-de-Calais.
Blason
De gueules à la bande d'argent chargée de trois flanchis du champ posés à plomb[41].
Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
Notes et références
Notes
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Charles de la Meilleraye, grand maître de l'artillerie de France, est lieutenant général des armées du roi en 1635. En 1636, le cardinal de Richelieu le dépêche à Port-Louis pour rendre la citadelle de la ville, lors du siège d'Hesdin.
Outre la seigneurie de Grigny (au canton du Parcq), L.-E. de La Gorgue-Rosny précise l'existence de plusieurs autres fiefs de ce nom dans l'actuel département du Pas-de-Calais: Grigny près Engoudsent (Boulonnais), le hameau de Grigny entre Preures et Bezinghem, la ferme de Grigny près de Houllefort (Boulonnais), fief de Grigny à Wierre-Effroy, terre de Grigny tenue de la châtellenie d'Aire-sur-la-Lys etc. Ces fiefs ont pu donner naissance à plusieurs familles homonymes distinctes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Institut archéologique du Luxembourg, Arlon Belgium, Annales de l'Institut archéologique du Luxembourg, (lire en ligne), p.50.
comte de Loisne, Dictionnaire topographique de la France: Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, vol.24, Paris, Comité des travaux historiques, (lire en ligne), p.176.
Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 56, lire en ligne
Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 68, lire en ligne
Félix-Victor Goethals, Miroir des notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France, vol.2, Bruxelles, Polack-Duvivier, (lire en ligne), p.411.
Louis-Eugène de La Gorgue-Rosny, Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, vol.2, Boulogne-sur-Mer, impr. C. Le Roy, (lire en ligne), p.695.
Germain Demay, Inventaire des sceaux de l'Artois et de la Picardie: recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements du Pas-de-Calais, de l'Oise, de la Somme et de l'Aisne, avec un catalogue des pierres gravées ayant servi à sceller et vingt-quatre planches photoglyptiques, Paris, (lire en ligne), p.38.
Claire Couillez-Brouet, «Les «poubelles» du château de Grigny, racontent la vie du Ternois au Moyen Âge», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Camille Gaubert, «Le maire de Grigny a «rééquilibré le budget et amélioré le camping»: Le maire de Grigny, Marcel Deldique, ne souhaite pas lever le voile sur sa candidature aux municipales avant janvier 2014. Le retraité, qui siège au conseil depuis 2001, devient premier magistrat en 2008. Avant de lancer des travaux de rénovation, le maire a dû rééquilibrer le budget.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
«Canton du Parcq - Des nouveaux maires élus à Grigny, Incourt et Maisoncelle», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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