Gindou est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Gindou | |
![]() L'église Saint-Barthélemy. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Cazals-Salviac |
Maire Mandat |
Mireille Figeac 2020-2026 |
Code postal | 46250 |
Code commune | 46120 |
Démographie | |
Population municipale |
336 hab. (2019 ![]() |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 37′ 56″ nord, 1° 15′ 03″ est |
Altitude | Min. 163 m Max. 331 m |
Superficie | 15,65 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Gourdon |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de l'Ourajoux et par deux autres cours d'eau. Elle est incluse dans le bassin de la Dordogne.
Gindou est une commune rurale qui compte 336 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 813 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Gindounais ou Gindounaises.
La commune de Gindou est située sur le territoire de l'ancienne province du Quercy, en pays de Bouriane, à 30 kilomètres à l'ouest de Cahors.
Le Ruisseau de l'Ourajoux et le Ruisseau de la Masse sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Gindou.
Cazals | Salviac | Dégagnac |
Montcléra | ![]() |
Rampoux, Lavercantière |
Les Arques | Montgesty | Thédirac |
L'essentiel de la commune est en terrain calcaire, dans lequel se sont formées des grottes[2].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[8] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 16 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].
Gindou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,7 %), forêts (48 %), prairies (0,4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Gindou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Ourajoux. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[25],[22].
Gindou est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif Ouest. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 238 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 238 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2011 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Attestée sous la forme Parochia de Gindo, mentionné dans un traité entre les rois de France et d'Angleterre en 1287[30].
Le toponyme est basé sur un anthroponyme issu du germanique Gindo, un homme devenu citoyen romain[31].
Le village de Gindou était déjà habité à l'époque du Paléolithique supérieur comme le prouvent les différents outils trouvés sur place tel qu'un grattoir, un fragment de pointe et de burin.
Les chercheurs ont également trouvé des restes de chevaux et des débris de céramique[32].
Dans l'Antiquité, les habitants de Gindou faisaient partie de la tribu des Cadourques.
La voie romaine reliant Cahors à Périgueux traversait le village ce qui a permis la diffusion de la culture romaine et notamment la diffusion de la viticulture[32].
L'église de Gindou est l'église Saint-Barthélemy, elle date du XIIIe siècle et est du style roman. La région a été touchée par la peste et les paroisses de Gindou, Cazals (Lot) et Montclera ont dû être unifiées faute de moyens financiers.
En 1548, Gindou passe sous le culte protestant.
En 1558, l'armée de Biron rend Cazals et remet le canton sous culte catholique[32].
Les consuls de Gindou sous l'Ancien Régime sont[33] :
Année | Nom | Résidence (Lieu dit) |
---|---|---|
1734 | Mouraisse | Bargues |
1736 | Arnaud Vaquié | |
1737 | Raymond Soulié | |
1738 | Jean Delrieu | Rigal-Haut |
1739 | Vialard Lasserre | |
1742 | Bouissou | |
1747 | Vialard Lasserre | |
1751 | Miran (L'ainé) | |
1752 | Bargues (L'ainé) | |
1753 | Raymond Bargues | |
1754 | Jean Galan | |
1755 | Lavernhe | Lapounette |
1756 | Albet | |
1757 | Ambroise Celié | |
1758 | Soulié | Branlez |
1759 | Arnal | |
1760 | Mathurin Mouraisse | |
1761 | Jacques Cambarel | |
1762 | Jean Bartelemy dit laigat |
De violents affrontements ont eu lieu à Gindou pendant la Révolution.
Le les citoyens ont informé les autorités de leur refus de payer la dîme[32].
26 habitants de Gindou sont décédés lors de la Première Guerre mondiale ; le manque de main-d'œuvre amène alors les agriculteurs à se tourner vers l'élevage puis peu à peu vers la vigne[32].
La Seconde Guerre mondiale n'a pas épargné Gindou, où s'est installée une résistance, délogée en juillet 1944 par les soldats allemands, notamment lors des combats au Mas de Lort le [34].
Dans les années 1950, l'église est rénovée et perd sa nef.
L'école de Gindou ferme en 1979, lorsque l'effectif atteint le seuil de onze élèves[32].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1793 | 1806 | Ambroise Soulie | ||
1806 | 1814 | Antoine Longes | ||
1815 | 1821 | Ambroise Soulie | ||
1821 | 1834 | Antoine Soulie | ||
1835 | 1843 | Baptiste Bouyssou | ||
1844 | 1852 | Antoine Soulie | ||
1852 | 1861 | Joseph Barrety | ||
1861 | 1879 | Pierre Fabre | ||
1879 | 1884 | Camille Barrety | ||
1884 | 1892 | Pierre Théodore Marie Soulie | ||
1892 | 1902 | Ambroise Soulie | ||
1965 | 1971 | Abel Pelatié | ||
1971 | 1977 | Abel Pelatié | ||
1977 | 1983 | Fernand Delpeyroux | ||
1983 | 1989 | Fernand Delpeyroux | ||
1989 | 1995 | Fernand Delpeyroux | ||
1995 | 2001 | Fernand Delpeyroux | ||
Mars 2001 | 2008 | Serge Courant | Artisan retraité | |
Mars 2008 | En cours | Mireille Figeac | PS | Infirmière, Présidente de la Communauté de communes |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2019, la commune comptait 336 habitants[Note 5], en augmentation de 8,39 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
528 | 565 | 552 | 692 | 717 | 800 | 790 | 770 | 748 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
701 | 813 | 763 | 778 | 770 | 755 | 744 | 722 | 659 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
625 | 603 | 624 | 463 | 436 | 400 | 428 | 378 | 330 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
349 | 333 | 280 | 282 | 269 | 265 | 301 | 315 | 307 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
311 | 336 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 134 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 307 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 830 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,5 % | 5,9 % | 4,9 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 178 personnes, parmi lesquelles on compte 70,3 % d'actifs (65,4 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs) et 29,7 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 50 en 2013 et 56 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 118, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,7 %[I 10].
Sur ces 118 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 32 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
25 établissements[Note 8] sont implantés à Gindou au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 25 entreprises implantées à Gindou), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans la « Bourianne », une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 40 | 30 | 13 | 12 |
SAU[Note 10] (ha) | 634 | 528 | 404 | 346 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 30 en 2000 puis à 13 en 2010[42] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[43],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 634 ha en 1988 à 346 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 29 ha[42].
L’association Gindou Cinéma est créée en 1989. Depuis 2007, ses bureaux sont abrités dans un bâtiment sur lequel s’adosse Le Cinéma de Verdure, amphithéâtre de plein air de 700 places.
Tous les ans, au mois d'août, pendant une semaine, se tiennent les Rencontres de cinéma de Gindou[46] depuis 1985. Activité phare et fondatrice de l'association Gindou Cinéma, le festival a petit à petit donné naissance à un vrai projet de soutien et de diffusion du cinéma d'auteur.
Aujourd'hui, le public s'est largement étendu aux cinéphiles venant de la France entière. Sa fréquentation dépasse les 16 000 spectateurs. Une centaine de films est répartie dans trois sélections : la rétrospective d'un ou d'une cinéaste, les vagabondages cinématographiques (courts, longs métrages, fictions, documentaires), un « Focus sur » qui donne carte blanche à un festival européen de court métrage et des films du patrimoine proposés par la cinémathèque de Toulouse et à laquelle s’associent, depuis 2008, les archives françaises du film du CNC. En parallèle des projections, il est possible d'assister et de participer aux tchatches quotidiennes (rencontres entre les réalisateurs, acteurs et le public), aux apéros concerts, de visiter la librairie itinérante…
Gindou Cinéma s’est appuyée sur la notoriété des Rencontres de cinéma de Gindou, pour développer des actions d’éducation à l’image orientées prioritairement vers les jeunes publics mais aussi, pour le public professionnel, des résidences d’écriture de scénario, des dispositifs de soutien à la création de musique de films et un bureau d’accueil de tournages.
Gindou Cinéma emploie 6 salariés permanents pour mener à bien l’ensemble de ces activités qui font de l’association un pôle de ressources autour du cinéma, reconnu au plan national et inscrit dans l’économie locale.
Tous les ans, pendant trois jours se déroule la fête de Gindou, l'occasion pour les villageois de se retrouver chaque année autour de diverses animations, concours de pétanque, vide grenier et soirées dansantes. Cette fête se clôture par un repas copieux dont le thème général choisi est différent chaque année, en 2011, le jardin était à l'honneur. Cette tradition festive attire beaucoup de monde dans le village[réf. souhaitée].