Ferrière-la-Grande est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.
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Ferrière-la-Grande | |
La mairie | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Nord |
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe |
Intercommunalité | CA Maubeuge Val de Sambre |
Maire Mandat |
Benoit Courtin 2020-2026 |
Code postal | 59680 |
Code commune | 59230 |
Démographie | |
Gentilé | Ferriérois, Ferriéroises |
Population municipale |
5 273 hab. (2019 ![]() |
Densité | 527 hab./km2 |
Population agglomération |
110 876 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 15′ 20″ nord, 3° 59′ 36″ est |
Altitude | Min. 127 m Max. 184 m |
Superficie | 10,01 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Maubeuge (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Maubeuge (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Maubeuge |
Législatives | 3e circonscription du Nord |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://ferrierelagrande.fr/ |
modifier ![]() |
Ferrière-la-Grande adhère à l'Agglomération Maubeuge Val de Sambre, qui fait partie de l'unité urbaine de Maubeuge.
Ferrière-la-Grande se situe au sud de Maubeuge et est arrosée par la Solre qui est un affluent de rive droite de la Sambre.
La ville est traversée par la D938 qui va de Maubeuge, son chef-lieu de canton, à Cousolre.
Commune urbaine, elle fait partie par sa trame urbaine continue de l'unité urbaine de Maubeuge qui forme la cinquième agglomération urbaine dans le département du Nord.
Maubeuge | Rousies | Cerfontaine |
Louvroil | ![]() |
Ferrière-la-Petite |
Beaufort | Damousies |
La commune est drainée par la Solre, un affluent de la Sambre en rive droite, et donc un sous-affluent de la Meuse.
Plusieurs ruisseaux confluent dans la Solre à Ferrières-la-Grande, dont le Ruisseau des Besaces.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 73 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Ferrière-la-Grande est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 22 communes[17] et 110 876 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,3 %), prairies (32,2 %), zones urbanisées (28,1 %), forêts (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
De la signification de Ferrière à la découverte de vieux madriers et d’outils rudimentaires attribués aux Mérovingiens, tout concourt à rappeler combien l’exploitation du minerai de fer a conditionné l’apparition des premiers établissements humains en ces lieux. Sans le fer, Ferrière n’aurait probablement jamais connu un tel développement.
C’est pour bénéficier des ressources du sous-sol (fer, Chaux, pierre, terre à poteries…), du cours rapide de la Solre mais aussi pour garantir l’approvisionnement de sa place stratégique frontalière que s’implante en 1715 une manufacture royale d’armes. La machine – c’est le nom que lui attribuent les ruraux de l’époque – fait la prospérité du bourg. Elle cède la place, en 1830, aux premiers hauts fourneaux du Nord. Les minerais sont exploités dans l’étendue de la concession faite au propriétaire et maître de forge, M. Dumont.
Pendant l’Ancien Régime, Ferrière-la-Grande est le chef-lieu d’une grande paroisse dépendant principalement de l’abbaye bénédictine d’Hautmont. La cense de Rémont aurait d’ailleurs été fondée au VIIe siècle par une colonie moniale détachée pour défricher et mettre en valeur les terres.
La seigneurie est très convoitée, au point que privilèges ecclésiastiques et juridiction échevinale se superposent difficilement. La plupart des 36 feux que compte Ferrière en 1469 se répartissent autour d’un noyau central occupé par le pouvoir religieux et constitué par l’église, le presbytère, l’hôtel-dieu et le moustier (petit monastère). 181 ans plus tard, seules 20 maisons supplémentaires ont été érigées. Si faible soit-elle, l’urbanisation conforte pourtant au fil des siècles le point nodal et rayonne le long des grands axes en direction d’Hautmont, de Maubeuge et de Solre-le-Château, préfigurant l’actuelle trame urbaine.
C’est l’avènement précoce de l’industrie qui entraîne la métamorphose socio-économique de Ferrière-la-Grande. Le développement du bourg suit celui des établissements Dumont : 903 habitants en 1822, 2 568 en 1866 puis 4 045 en 1906.
Alors que plus tard dans le Val de Sambre, la poussée démographique s’accompagne d’une mutation urbaine dont les formes architecturales reflètent la sociologie de l’époque, il est encore trop tôt pour voir apparaître à Ferrière les types industriels caractéristiques du Hainaut.
Bien entendu, la construction de nouveaux logements se révèle indispensable pour accueillir les contingents d’ouvriers, mais la disponibilité des matériaux (bois et pierre étaient distribués à titre gracieux) et l’état des techniques expliquent le développement d’un habitat dont l’aspect reste majoritairement de type rural hennuyer, avec un emploi de pierres bleues dominant.
Peu à peu, le tissu industriel de la commune s’étoffe : laminoirs Lessafre, fonderie Riquaire, usine Delattre, usine Miroux, usine Auwercx, Cie Duplex, petits ateliers de forges Chef Frères "Forges et Usinage" Marcel Nicodème et de modelages font prospérer la commune.
Le , la ligne de chemin de fer Maubeuge - Fourmies est inaugurée. Le tracé passe par Rousies, Ferrière-la-Grande, Ferrière-la-Petite, Sars-Poteries, Solre-le-Château, Liessies, Trélon. Au début du XXe siècle, le chemin de fer prend une importance considérable et dessert la majeure partie des usines de la cité. Une ligne de tramway relie Ferrière à Maubeuge en 1903, contribuant à renforcer les liens, déjà étroits, entre les deux communes.
C’est aux Trieux, nouveau quartier créé à l’écart du village lors de l’arrivée du chemin de fer, que le style industriel s’exprime le mieux.
Lors de la Première Guerre mondiale, les allemands arrivent dans la ville de Ferrière-la-Grande le jeudi . le village se trouve en zone occupée jusque début .
La section Ferrière-la-Grande - Glageon de la ligne Maubeuge-Fourmies est fermée depuis 1972. En est inauguré sur son tracé un chemin de randonnée, dénommé « sentier Émeraude ». À la suite de travaux effectués sur un linéaire plus important, (de Ferrière-la-Grande à Glageon), le "sentier Émeraude" est intégré à la « voie verte de l'Avesnois ». L'ancienne gare de Ferrière-la-Grande a été transformée en relais Eco-Vélo.
En 1963, les corons de la Spie Batignolles sont érigés à proximité de l’établissement. Ils sont sans doute la réalisation la plus représentative de cette période productiviste dans la commune. La proximité des grands axes routiers (RN2/RN49), la position privilégiée par rapport à Maubeuge confère à Ferrière-la-Grande une grande attractivité résidentielle. On assiste à une extension pavillonnaire le long des voies vers Cousolre, Louvroil, et surtout aux abords de la rue du fort. Sans doute faut-il y voir la conséquence d’un certain laxisme des documents de planification urbaine. À l’Est, apparaissent des réalisations concertées sous forme de maisons individuelles groupées ou de petits collectifs[27].
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.
Elle faisait partie de 1793 à 1910 du canton de Maubeuge, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Maubeuge-Sud[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Maubeuge
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.
Ferrières-la-Grande est membre fondateur de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé initialement en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, la liste DVG menée par le maire sortant Philippe Dronsart obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 277 voix (54,08 %, 23 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant significativement celle DVD menée par Jean-Philippe Delbart (1 084 voix, 45,91 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 34,81 % des électeurs se sont abstenus[29].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, la liste PS menée par Benoît Courtin — qui bénéficiait du soutien du maire sortant Philippe Dronsart qui ne se représentait pas — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 009 voix (59,98 %, 23 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant très largement la liste DVD menée par Jean-Philippe Delbart[30], qui a recueilli 673 voix (40,01 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 54,41 % des électeurs se sont abstenus[31],[32].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1704 | 1705 | Claude Raout | ||
1705 | 1706 | Jean Mercier | ||
1707 | 1708 | André Renon | ||
1708 | 1709 | Mathieu De Havay | ||
1709 | 1710 | Laurent Pierart |
Maire en 1802-1803 : Montreuil aîné[33].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1860 | 1864 | Pierre François Dumont | ||
1878 | 1884 | Philippe Willame | ||
1888 | 1892 | Cauderlier | ||
1892 | 1908 | Ernest Lesaffre | Républicain | |
1908 | 1920 | Alfred Willame | ||
1920 | 1926 | Olivier Soumillon | ||
1926 | 1927 | Romain Duchâteau | ||
1927 | 1932 | Alphonse Splingard | ||
1932 | 1933 | Deudon | ||
1933 | 1939 | Émile Bottieau | ||
1939 | 1942 | Hubert Delvaux | ||
1942 | mai 1945 | Marcel Gillet | ||
mai 1945 | mars 1959 | Léonce Delens[Note 8] | ||
mars 1959 | mars 1977 | Gilbert Annaert | UDR | |
mars 1977 | janvier 2004 | Michel Dorchies | PS | Médecin[34] |
25 janvier 2004 | mai 2020[35] | Philippe Dronsart[36] | PS | Cadre du secteur privé Conseiller général de Maubeuge-Sud (2004 → 2015) |
mai 2020[37] | En cours (au 2 décembre 2020) |
Benoît Courtin | PS | Collaborateur d'élus Ancien directeur général des services de la ville (2017 → 2020) Vice-président de la CAMVS (2020 → ) |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2019, la commune comptait 5 273 habitants[Note 9], en diminution de 1,75 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
741 | 745 | 818 | 903 | 1 021 | 1 161 | 1 217 | 1 357 | 1 493 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 787 | 2 046 | 2 568 | 2 494 | 2 668 | 3 175 | 4 004 | 3 480 | 3 719 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 992 | 4 045 | 4 294 | 4 030 | 4 256 | 4 300 | 4 269 | 4 177 | 4 515 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 263 | 5 346 | 5 703 | 5 611 | 5 746 | 5 672 | 5 481 | 5 457 | 5 365 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 301 | 5 273 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 514 hommes pour 2 778 femmes, soit un taux de 52,49 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,7 |
5,5 | 75-89 ans | 9,3 |
15,2 | 60-74 ans | 15,6 |
19,2 | 45-59 ans | 18,3 |
19,1 | 30-44 ans | 18,9 |
18,9 | 15-29 ans | 16,8 |
21,6 | 0-14 ans | 19,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,1 | 75-89 ans | 8,1 |
14,3 | 60-74 ans | 15,6 |
19,2 | 45-59 ans | 18,6 |
19,6 | 30-44 ans | 18,7 |
20,7 | 15-29 ans | 19,1 |
20,7 | 0-14 ans | 18,5 |
![]() |
Blason | Écartelé : aux 1 et 4, d’argent à trois fasces de gueules ; aux 2 et 3, d’argent à trois doloires de gueules, les deux du chef adossées. |
---|---|---|
Détails | Plusieurs villages de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe possèdent les mêmes armoiries : Étrœungt, Féron, Lez-Fontaine, Ferrière-la-grande, Rousies, Solre-le-Château et Solrinnes, ainsi que Bermerain dans l'arrondissement de Cambrai et Sivry-Rance en Belgique dans le Hainaut. Cette similitude est due au fait que ces villages appartenaient à la famille de Croÿ-Renty. Autre coïncidence, cinq de ces villages sont arrosés par la Solre : Lez-Fontaine, Ferrière-la-grande, Rousies, Solre-le-Château et Solrinnes. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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