Espinas est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Pour les articles homonymes, voir Espinasse.
Espinas
Château de Cas à Espinas.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Tarn-et-Garonne
Arrondissement
Montauban
Intercommunalité
Communauté de communes du Quercy Rouergue et des Gorges de l'Aveyron
Maire Mandat
Daniel Feral 2020-2026
Code postal
82160
Code commune
82056
Démographie
Gentilé
Espinasais, Espinasois, Espinassols
Population municipale
173 hab. (2019 )
Densité
11 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 11′ 49″ nord, 1° 49′ 46″ est
Altitude
195 m Min. 151 m Max. 392 m
Superficie
16,15 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Quercy-Rouergue
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Espinas
Géolocalisation sur la carte: France
Espinas
Géolocalisation sur la carte: Tarn-et-Garonne
Espinas
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Espinas
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Bonnette, le ruisseau de la Gourgue et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Espinas est une commune rurale qui compte 173 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 821 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Espinasais ou Espinasaises.
Géographie
Localisation
Espinas est située à la limite du Quercy et du Rouergue, entre les communes de Caylus et Saint-Antonin-Noble-Val, dans l'angle est du département de Tarn-et-Garonne.
Communes limitrophes
Espinas est limitrophe de cinq autres communes.
Carte de la commune de Espinas et de ses proches communes.
La superficie de la commune de est de 1 615 hectares; son altitude varie de 151 à 392mètres[2].
La commune se compose de deux noyaux reliés par une bande de terrain, large de 800 mètres en son point le plus étroit. Le terrain dominant est le causse (de Mordagne et de Saint-Amans, plus le plateau d'Espinas), tranché par la vallée de la Bonnette.
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales D 19 et D 75.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Bonnette, le ruisseau de la Gourgue, le Garracis, le Saut, le ruisseau de Canténac, le ruisseau de Caudesaygues, le ruisseau de Montégou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Bonnette, d'une longueur totale de 24,9 km, prend sa source dans la commune de Puylagarde et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Saint-Antonin-Noble-Val, après avoir traversé 7 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier d'Espinas.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 12,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ginals», sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[11] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 43 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[15] à 14°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[17]:
la «vallée de la Bonnette et vallée de la Seye» (6 289ha), couvrant 12 communes du département[18].
Urbanisme
Typologie
Espinas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[I 1],[20].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (39,7%), zones agricoles hétérogènes (36,6%), forêts (23,7%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Espinas est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bonnette. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[25],[22].
Espinas est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Espinas.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 148 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 108 sont en en aléa moyen ou fort, soit 73%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Toponymie
L'occitanespinas ou Lespinasse désigne les lieux où poussent des fourrés épineux.
Histoire
Espinas fut inclus dans le département de Tarn-et-Garonne lors de sa création en 1808. L'année suivante, la commune fut augmentée de la paroisse de Saint-Amans qui lui donna sa forme spéciale.
Les Templiers et les Hospitaliers
Espinas fut fondée au XIVesiècle par les Hospitaliers lorsque ceux-ci prirent possession de la ferme templière de Saint-Cirice. Le site du château d'Espinas étant plus attirant car surveillant la vallée de la Bonnette, ils décidèrent de transférer le village sur le plateau voisin. Saint-Cirice est aujourd'hui un lieu-dit près du hameau de La Grésie, dont il ne reste que des ruines dans les bois.
Initialement membre de la commanderie de La Capelle-Livron, Espinas devint une commanderie distincte, affectée aux frères conventuels et aux servants d'armes (pas aux chevaliers)[31],[32].
En 1562, durant les guerres de Religion, les troupes catholiques de Caylus détruisirent le château en allant attaquer Saint-Antonin-Noble-Val.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[33],[34].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Montauban de la communauté de communes du Quercy Rouergue et des Gorges de l'Aveyron et du canton de Quercy-Rouergue (avant le redécoupage départemental de 2014, Espinas faisait partie de l'ex-canton de Caylus).
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 1981
2003
Yvan Remezy
2003
2014
Alban Lombard
2014
En cours
Daniel Feral
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2019, la commune comptait 173 habitants[Note 7], en augmentation de 2,37% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
305
304
614
756
821
759
794
760
815
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
816
807
784
787
788
741
685
648
591
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
555
516
508
436
386
366
338
265
272
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
257
214
189
175
150
163
177
175
176
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
173
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Entre 1850 et 1940, Espinas compta jusqu'à cinq-cents habitants avec des commerces variés. L'exode rural réduisit ensuite la population de la commune à cent-cinquante personnes. Une certaine reprise démographique maintient ce chiffre, avec l'aide du tourisme, les résidences secondaires, l'afflux de néo-ruraux et de ressortissants de l'Union européenne, et une natalité positive.
Enseignement
Espinas fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture
Activités sportives
Chasse, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 80 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 175 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 220 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 97 personnes, parmi lesquelles on compte 80,8% d'actifs (70,7% ayant un emploi et 10,1% de chômeurs) et 19,2% d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 32 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 71, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7%[I 10].
Sur ces 71 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 35% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
20 établissements[Note 10] sont implantés à Espinas au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 20 entreprises implantées à Espinas), contre 9,6% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 18 en 2000 puis à 12 en 2010[45] et enfin à 10 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 69% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[46],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 918ha en 1988 à 825ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à 83 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
Église Saint-Martin de Cas dédiée à saint Martin. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2009[47]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[47]. L'église est à angles arrondis, et a été probablement construite au XIesiècle[47].
Église de la Nativité-de-Notre-Dame de Mordagne.
Église Saint-Amans de Saint-Amans.
Église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte d'Espinas.
Patrimoine civil
Vestiges du château, détruit en 1562 par les gens de Caylus durant les guerres de Religion.
Château de Cas, ancien site templier avec sa chapelle, son cimetière et les traces de sa tour, incluse dans le bâti actuel (mais on y a aussi trouvé des traces d'occupation préhistorique et wisigothique; le jardin lui, est du XVIIIesiècle).
Pigeonnier de Cas inscrit au titre des monuments historiques en 1980[48].
Grotte de la Nougairède et grotte de la Gourgue, abris sous roche préhistoriques, concrétions calcaires; la source de la Gourgue crée une rivière intermittente ornée de «coussins» calcifiés. Selon la légende, cette source fut percée par la chute d'un couvent de nonnes maudites du haut de la colline qui la surplombe!
Le hameau de Saint-Amans le vieux compte une église romane, des gariottes (abris de bergers), et un rocher tremblant - une colonne de pierre branlante, haute de quatre mètres.
La région est connue pour ses gisements de fossiles du Jurassique (ammonites, gryphées, bélemnites, crinoïdes, terriers de crabes, quelques fragments d'ichtyosaures).
Personnalités liées à la commune
La famille des comtes de Cas se réclame d'une origine carolingienne.
Pour approfondir
Bibliographie
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Articles connexes
Liste des communes de Tarn-et-Garonne
Communauté de communes du Quercy Rouergue et des Gorges de l'Aveyron
Grand prieuré de Saint-Gilles et langue de Provence (ordre de Saint-Jean de Jérusalem)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Antoine du Bourg, Ordre de Malte: Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p.555-56, lire en ligne sur Gallica.
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