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Caylus, [kajlys] prononciation locale, Cailutz en occitan, anciennement Caylus-Bonnette, est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.

Caylus

Halle.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire
Mandat
Vincent Cousi
2020-2026
Code postal 82160
Code commune 82038
Démographie
Gentilé Caylusiens, Caylusiennes
Population
municipale
1 473 hab. (2019 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 14′ 12″ nord, 1° 46′ 18″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 385 m
Superficie 96,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Quercy-Rouergue
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Caylus
Géolocalisation sur la carte : France
Caylus
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Caylus
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Caylus
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Bonnette, la Seye, le ruisseau de Laval, le ruisseau de Poux Nègre, le ruisseau de Sietges et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « causse de Gaussou et sites proches »), un espace protégé (l'« espace naturel du Four à pain ») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Caylus est une commune rurale qui compte 1 473 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 5 424 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Caylusiens ou Caylusiennes.


    Géographie



    Localisation


    Commune située en limite méridionale des causses du Quercy, proches des départements du Lot au nord et Aveyron à l'est. Elle a donné son nom au causse de Caylus.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Caylus[1]
    Mouillac Loze Lacapelle-Livron
    Puylaroque Parisot
    Lavaurette,
    Saint-Antonin-Noble-Val
    Espinas Ginals

    Voies de communication et transports


    La ligne 203 du réseau liO relie la commune à Montauban et à Rodez[2].


    Hydrographie


    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Bonnette, la Seye, le ruisseau de Laval, le ruisseau de Poux Nègre, le ruisseau de Sietges, le Garracis, le ruisseau de Caudesaygues, le ruisseau de Fonpeyrouse, le ruisseau de Rigail et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[4],[Carte 1].

    La Bonnette, d'une longueur totale de 24,9 km, prend sa source dans la commune de Puylagarde et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Saint-Antonin-Noble-Val, après avoir traversé 7 communes[5].

    La Seye, d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Parisot et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Varen, après avoir traversé 5 communes[6].

    Réseau hydrographique de Caylus.
    Réseau hydrographique de Caylus.

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 851 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 41 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].


    Milieux naturels et biodiversité



    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].

    Un espace protégé est présent sur la commune : l'« espace naturel du Four à pain », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 4,2 ha[20].


    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.
    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « causse de Gaussou et sites proches »[22], d'une superficie de 198 ha, un ensemble de petits causses sur sol karstique, argileux du bord du plateau du Quercy blanc. Il s'agit du site à orchidées le plus intéressant de Tarn-et-Garonne[23].


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24] :

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24] :


    Urbanisme



    Typologie


    Caylus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,7 %), prairies (19 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), terres arables (2 %), zones urbanisées (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Caylus est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Seye et la Bonnette. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[36]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001 et 2018[37],[34].

    Caylus est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[38].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Caylus.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Caylus.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[39].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 133 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 852 sont en en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[41].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[34].


    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[42].


    Toponymie


    Plusieurs hypothèses ont été émises sur l’étymologie du nom de Caylus. Un chevalier romain, nommé Caius Lucius, aurait fait construire un château, à l’origine de la ville qui porte son nom. Ailleurs, la tradition orale rapporte que Caylus vient de Caii lux, en référence à des feux allumés depuis la tour. Une autre source indique de Caylus vient de Castri locus. Toutes ces hypothèses ont été réfutées dans le Bulletin archéologique et historique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne publié en 1888. L’auteur explique que Caylus dérive de la forme latine Castluscium ou Castellucium, qui par contractions successives, devient Castlucium, Castluz, Castlux, puis Caylucium en latin, et Caylutz ou Caylus en roman[43].

    Le village s'appelait anciennement Caylus-de-Bonnette[44], ou Caylus-Bonnette, afin de ne pas être confondu avec la seigneurie de Caylus dont le château se trouvait au lieu-dit du Rocher de Caylus, commune de Saint-Affrique[45]

    Sur l'Atlas de Trudaine, le toponyme utilisé est Caylux[46].


    Histoire



    Le château


    Un castrum existait déjà avant 1176 et appartenait à Armand et Bertrand de Montpesat. Il fut échangé cette année-là contre les seigneuries et châteaux de Montpezat-de-Quercy et de Monclar-de-Quercy et devint possession du comte Raymond V de Toulouse[47].


    Ville


    La ville est prise par Simon de Montfort en 1211, incendiée, puis subit un second siège l'année suivante. En 1227 le comte de Toulouse installe les templiers à Lacapelle Livron. Il développe par ailleurs une véritable bastide accolée à l’ancien castrum. Caylus est annexé au domaine royal en 1270, en même temps que le comté de Toulouse. Avant la guerre de Cent Ans, Caylus est devenue une vraie ville, presque autant peuplée que Saint-Antonin, deuxième ville du Rouergue. En plus des guerres et de leurs malheurs, la peste noire de 1348 élimine un tiers de la population. La paix est de retour en 1444.

    En 1562, les troupes calvinistes de Symphorien de Durfort, sire de Duras, s'emparent de la ville et massacrent 250 habitants. Caylus prendra le parti catholique, adhère au parti de la Ligue et accueille en 1622, Louis XIII y établit son quartier général durant le siège de Saint-Antonin.

    Caylus ne se releva jamais des guerres de religion. Au XVIIIe siècle, les fortifications furent en grande partie démolies. De ville, Caylus est progressivement devenue un bourg rural.

    Une légende est attachée à la construction de l'église de pèlerinage Notre-Dame-de-Livron : « la délivrance miraculeuse d'un dragon malfaisant, réalisée par le chevalier de Lagardelle, grâce à la protection de la Vierge ».


    Camp militaire de Caylus


    Article détaillé : Camp de Caylus.

    Héraldique


    Blason
    De gueules au château de trois tours d'or maçonné de sable, surmonté d'une croisette cléchée, vidée et pommetée de douze pièces aussi d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration


    Mairie de Caylus.
    Mairie de Caylus.

    La commune fait partie de l'arrondissement de Montauban, de la communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron et du Pays Midi-Quercy. Elle était le chef-lieu du canton de Caylus, avant le découpage territorial de 2014 et son intégration au nouveau canton de Quercy-Rouergue


    Controverse démocratique : représentation de Caylus au sein de la communauté de communes.


    A l’été 2020, l’élection d’un vice président est mise en cause par des membres du conseil communautaire ainsi que par des habitants de Caylus, commune de la CCQRGA. En effet, c’est un conseiller municipal de la liste minoritaire de Caylus qui est élu premier vice-président chargé de l’économie. Le président de la communauté de communes, Gilles Bonsang, argue que l’élection à un poste de vice-président d’un élu ayant perdu les élections municipales n’est pas contraire à la loi. La partie adverse explique qu’il s’agit de respecter l’esprit de la démocratie en reconnaissant le vote des électeurs de Caylus. Ainsi, Serge Regourd, élu de Laguépie, conseiller régional et spécialiste de droit public dénonce l’irrégularité de l’élection du vice-président à l’économie, le mépris de l’intérêt général et du service public. Lors d’un conseil communautaire, Gilles Bonsang menace d’user de son pouvoir de police afin de mettre fin au débat, menace jugée abusive par Serge Regourd. Le maire de Caylus, Vincent Cousi, informe le préfet Pierre Besnard de la situation[48],[49].


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1941 1944 François Mazelier    
    septembre 1944 1948 Henri-Camille Amic    
    décembre 1948 1965 Gaston Férié    
    mars 1965 1971 Dr Robert Lafon    
    mars 1971 1972 Roland Delort    
    octobre 1972 1983 Dr Robert Lafon    
    mars 1983 1989 Paul Raynal    
    mars 1989 2001 Dr Christian Nicolas    
    mars 2001 juin 2020 Christian Maffre DVG  
    juin 2020 En cours Vincent Cousi SE  

    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

    En 2019, la commune comptait 1 473 habitants[Note 9], en diminution de 1,93 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 0005 1315 4115 3985 3195 4245 1525 3025 363
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5 2124 9734 9504 8294 9284 6444 5634 2654 033
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 6543 7703 5292 5802 4882 3822 0892 0061 788
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6621 6581 3641 4091 3081 3241 5261 5311 536
    2015 2019 - - - - - - -
    1 4501 473-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[57] 1975[57] 1982[57] 1990[57] 1999[57] 2006[58] 2009[59] 2013[60]
    Rang de la commune dans le département 14 17 21 27 27 24 26 30
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Culture et festivités


    Musée : la Maison du Patrimoine et de l'Environnement[61].


    Économie



    Revenus


    En 2018, la commune compte 659 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 351 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 050 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).


    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,8 %10,3 %10,3 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 768 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (64 % ayant un emploi et 10,3 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 745 emplois en 2018, contre 751 en 2013 et 771 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 521, soit un indicateur de concentration d'emploi de 142,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,8 %[I 10].

    Sur ces 521 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 311 travaillent dans la commune, soit 60 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 77,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 9,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].


    Activités hors agriculture



    Secteurs d'activités

    201 établissements[Note 12] sont implantés à Caylus au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble201100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    4321,4 %(9,6 %)
    Construction3416,9 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    5225,9 %(29,7 %)
    Information et communication21 %(1,9 %)
    Activités financières et d'assurance42 %(3,4 %)
    Activités immobilières52,5 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2210,9 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    199,5 %(13,6 %)
    Autres activités de services2010 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,9 % du nombre total d'établissements de la commune (52 sur les 201 entreprises implantées à Caylus), contre 29,7 % au niveau départemental[I 14].


    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[62] :


    Agriculture


    La commune est dans les Causses du Quercy, une petite région agricole située dans l'est du département de Tarn-et-Garonne[63]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations124855353
    SAU[Note 15] (ha)3 9724 4324 3614 542

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 124 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 85 en 2000 puis à 53 en 2010[65] et enfin à 53 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[66],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 3 972 ha en 1988 à 4 542 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 86 ha[65].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Patrimoine religieux



    Patrimoine civil



    Personnalités liées à la commune



    Caylus dans les arts



    Pour approfondir


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    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[64].
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    73. Il est né le à Château-Thierry. En 1783, il poursuit ses études à l'Ecole Militaire Royal de Rebais en Brie. Le , il s'engage dans l'armée républicaine sous le nom d'emprunt "Antoine Edmond", dans le bataillon auxiliaire des Colonies. Il est affecté à la 111 éme demi-brigade, puis à la 46 éme demi-brigade. Il participe à la bataille d'Ostende dans l'armée d'Angleterre, à la bataille de Zurich dans l'armée du Rhin. Le , il est gravement blessé à la bataille d'Oberhausen et il est fait prisonnier par les autrichiens. Il fut échangé contre l'enseigne Stemmer par la commission militaire datée du . Il rentre France, où il est réformé à la suite de ses blessures après 9 ans 6 mois et 15 jours de service. Il est nommé le , receveur des contributions à vie à Caylus, puis le , percepteur des contributions directes des communes de Caylus, Mouillac et Espinas. Il est durant plusieurs années, électeur et élu de sa circonscription de Montauban, mais aussi membre du conseil municipal de Caylus jusqu’en 1843. Antoine est décédé le à Caylus et il est inhumé dans le cimetière de Caylus au côté de sa femme Elisabeth née de Labarthe-Pradal. En son souvenir, une rue de Caylus porte son nom "Antoine Edmond Delacontrie, soldat de l'an II[réf. souhaitée]

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    [de] Caylus (Tarn-et-Garonne)

    Caylus (früher: Caylus-Bonette; okzitanisch: Cailutz) ist eine französische Gemeinde mit 1.473 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Tarn-et-Garonne in der Region Okzitanien. Die Gemeinde liegt im Arrondissement Montauban und ist Teil des Kantons Quercy-Rouergue (bis 2015: Kanton Caylus). Die Einwohner werden Caylusiens genannt.

    [en] Caylus, Tarn-et-Garonne

    Caylus (French pronunciation: ​[kajlys]; Languedocien: Cailutz) is a commune in the Tarn-et-Garonne department in the Occitanie region in southern France. Its inhabitants are called Caylusiens and Caylusiennes.
    - [fr] Caylus (Tarn-et-Garonne)



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