Puylagarde est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron
Maire Mandat
Alain Virolle 2020-2026
Code postal
82160
Code commune
82147
Démographie
Population municipale
331 hab. (2019 )
Densité
14 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 17′ 49″ nord, 1° 50′ 23″ est
Altitude
425 m Min. 260 m Max. 422 m
Superficie
23,14 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Villefranche-de-Rouergue (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Quercy-Rouergue
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Puylagarde
Géolocalisation sur la carte: France
Puylagarde
Géolocalisation sur la carte: Tarn-et-Garonne
Puylagarde
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Puylagarde
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Bonnette, le ruisseau de Saint-Laurent et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Puylagarde est une commune rurale qui compte 331 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 513 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue. Ses habitants sont appelés les Puylagardais ou Puylagardaises.
Géographie
Commune située à la limite méridionale des causses du Quercy, dans le Terrefort.
C'est sur la commune de Puylagarde que prend sa source la Bonnette, affluent de l'Aveyron.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe des départements de l'Aveyron et du Lot.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Bonnette, le ruisseau de Saint-Laurent, le ruisseau de Barayrou, le ruisseau de Bosc Blanc, le ruisseau de Laborde, le ruisseau d'Escaude et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[3],[Carte 1].
La Bonnette, d'une longueur totale de 24,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Saint-Antonin-Noble-Val, après avoir traversé 7 communes[4].
Le ruisseau de Saint-Laurent, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Bonnette à Loze, après avoir traversé 6 communes[5].
Réseaux hydrographique et routier de Puylagarde.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]
Moyenne annuelle de température: 12°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ginals», sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 50 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[16] à 14°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[18]:
la «vallée de la Bonnette et vallée de la Seye» (6 289ha), couvrant 12 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Puylagarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (51,9%), zones agricoles hétérogènes (27,6%), forêts (18,7%), zones urbanisées (1,8%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Puylagarde est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Puylagarde est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puylagarde.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 38,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 294 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 102 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009, 2011, 2012, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
Histoire
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1876
1879
Antoine Miquel
1879
1881
Jean Pierre Savignac
1881
1882
François Charrié
1882
1899
Antoine Savignac
1899
1913
Antoine Sudre
1913
1925
Maximin Cambou
1925
1929
Emile Barthes
1929
1935
Léon Costes
1935
1944
Jean Aymard
1944
1947
Germain Lauriac
1947
1965
Vincent Cazes
mars 1983
2001
André Dalat
PS
mars 2001
mars 2014
André Carrié
mars 2014
En cours
Alain Virolle
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2019, la commune comptait 331 habitants[Note 9], en diminution de 2,36% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 513
1 419
1 229
1 487
1 278
1 172
1 158
1 180
1 207
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 202
1 229
1 165
1 166
1 122
1 050
1 083
995
963
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
858
876
813
669
656
588
560
515
501
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
404
389
330
344
298
331
339
341
339
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
332
331
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 163 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 305 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 380 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 178 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3% d'actifs (63,5% ayant un emploi et 11,8% de chômeurs) et 24,7% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 64 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 115, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,1%[I 10].
Sur ces 115 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 32% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
29 établissements[Note 12] sont implantés à Puylagarde au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 44,8 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 29 entreprises implantées à Puylagarde), contre 9,6% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans le Rouergue, une petite région agricole située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 46 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 29 en 2000 puis à 28 en 2010[36] et enfin à 20 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 57% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[37],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 471ha en 1988 à 1 419ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 71 ha[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château construit entre le XIVe et le XVIesiècle: tour vraisemblablement du XIVesiècle, corps de logis dénaturé du XVIesiècle, petite aile en retour du XVIIesiècle[38].
Église paroissiale Saint-Jacques, XIIIe-XVesiècle[39]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[40]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[40].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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