Verfeil, également nommée localement Verfeil-sur-Seye, est une commune française située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue.
Pour les articles homonymes, voir Verfeil.
Verfeil-sur-Seye redirige ici.
Verfeil | |
La halle. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Tarn-et-Garonne |
Arrondissement | Montauban |
Intercommunalité | Communauté de communes du Quercy Rouergue et des gorges de l'Aveyron |
Maire Mandat |
Roger Raitière 2020-2026 |
Code postal | 82330 |
Code commune | 82191 |
Démographie | |
Gentilé | Verfeillais |
Population municipale |
416 hab. (2019 ![]() |
Densité | 23 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 11′ 14″ nord, 1° 52′ 38″ est |
Altitude | 185 m Min. 150 m Max. 383 m |
Superficie | 18,46 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Quercy-Rouergue |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | verfeilsurseye.gandi-site.net |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baye, la Seye et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Verfeil est une commune rurale qui compte 416 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 107 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Verfeillais ou Verfeillaises.
Commune du nord-est du département de Tarn-et-Garonne limitrophe du département de l'Aveyron et proche de celui du Tarn.
Elle se situe dans la vallée de la Seye, entre Caussade et Villefranche-de-Rouergue. Dans le canton de Saint-Antonin-Noble-Val, Verfeil est dans le Rouergue, proche du point culminant du département à 504 mètres, Pech Maurel commune de Castanet.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Baye, la Seye, le ruisseau de Barthe Redonde, le ruisseau de Bournac, le ruisseau de Canténac, le ruisseau de Montégou, le ruisseau de Négo Saoumo, le ruisseau de Rieucord, le ruisseau d'Orlan et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[3],[Carte 1].
La Baye, d'une longueur totale de 15 km, prend sa source dans la commune de Castanet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Varen, après avoir traversé 6 communes[4].
La Seye, d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Parisot et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Varen, après avoir traversé 5 communes[5].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ginals », sur la commune de Ginals, mise en service en 2000[12] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 914 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 46 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[18] : les « vallées de la Baye, du Jouyre, du Ferran et de Fargues et puechs de Genibrous et Mourtayrol » (2 797 ha), couvrant 8 communes dont trois dans l'Aveyron et cinq dans le Tarn-et-Garonne[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] : la « vallée de la Bonnette et vallée de la Seye » (6 289 ha), couvrant 12 communes du département[20].
Verfeil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[21],[I 1],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,7 %), prairies (24,9 %), forêts (23,9 %), zones urbanisées (1,4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Verfeil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baye et la Seye. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001[27],[24].
Verfeil est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 91,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 298 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 294 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 1998, 2003 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
La bastide a été créée en 1250 à l'initiative d'Alphonse de Poitiers, frère du roi Saint Louis, sur l'emplacement d'un ancien camp romain.
Verfeil a été détruite plusieurs fois au cours des siècles.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1792 | 1793 | Jean-Antoine Colard | ||
1792 | 1794 | Jean Boissieres | ||
1792 | 1793 | François Vidal | ||
1792 | 1796 | François Blanc | ||
1793 | 1800 | Jean-Pierre Cadilhac | ||
1793 | 1795 | Jean-Jacques Poux | ||
1794 | 1796 | Jean Pautal | ||
1795 | 1798 | Jean-Antoine Ravailhe | ||
1796 | 1798 | Jean Boissieres | ||
1796 | 1798 | Joseph Signal | ||
1798 | 1799 | Jean Lombard | ||
1798 | 1799 | Jean Marty | ||
1798 | 1799 | Jean-Antoine Colard | ||
1799 | 1800 | Jean-Baptiste Besse | ||
1799 | 1800 | Jean-Antoine Roques | ||
1799 | 1800 | Antoine Hebrard | ||
1800 | 1800 | Jean-Antoine Colard | ||
1800 | 1800 | Jean Boissieres | ||
1800 | 1809 | Jean-Antoine Colard | ||
1809 | 1814 | Antoine François Blanc | ||
1814 | 1831 | Etienne Faure | ||
1831 | 1832 | Jean-Antoine Moulin | ||
1832 | 1834 | Jean-Antoine Ichard | ||
1834 | 1837 | Jean-Pierre Rebayrol | ||
1837 | 1848 | Charles René Poux | ||
1848 | 1878 | Claude Marie Molinier | ||
1878 | 1881 | Jean-Romain Rames | ||
1881 | 1883 | Joseph Cadilhac | ||
1883 | 1888 | Jean-Pierre Mercie | ||
1888 | 1908 | Gaston Louis Davet | ||
1908 | 1912 | Georges Besson | ||
1912 | 1919 | Jean Dujols | ||
1919 | 1921 | Philippe Delmas | ||
1921 | 1925 | Ulysse Viguier | ||
1925 | 1929 | Philippe Delmas | ||
1929 | 1935 | Ulysse Viguier | ||
1935 | 1939 | Lucien Davet | ||
1939 | 1940 | Louis Ferre | ||
1940 | 1940 | Ulysse Viguier | ||
1940 | 1943 | Lucien Davet | ||
1943 | 1944 | Philippe Mourgues | ||
1944 | 1948 | Lucien Davet | ||
1948 | 1965 | Raymond Vidal | ||
1965 | 1970 | Roland Arches | ||
1970 | 1977 | Marius Taurines | ||
1977 | 1983 | Raymond Viguier | ||
1983 | 1989 | Charles Alzonnes | ||
1989 | 1995 | Gaston Bedel | ||
1995 | 1998 | Mathieu Claude | ||
1998 | 2008 | Marie-Fernande Jacquesson | ||
mars 2008 | juillet 2020 | Daniel Durand | ||
juillet 2020[33] | En cours | Roger Raitière |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2019, la commune comptait 416 habitants[Note 9], en augmentation de 27,22 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
654 | 759 | 979 | 1 036 | 1 103 | 1 084 | 1 031 | 1 045 | 1 104 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 102 | 1 107 | 1 094 | 1 072 | 1 067 | 1 006 | 1 010 | 1 031 | 924 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
842 | 860 | 799 | 731 | 687 | 629 | 578 | 625 | 527 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
524 | 519 | 451 | 425 | 360 | 320 | 324 | 325 | 327 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
416 | 416 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 166 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 352 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 750 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 10,5 % | 8,6 % | 6,6 % |
Département[I 7] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 244 personnes, parmi lesquelles on compte 70,1 % d'actifs (63,5 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs) et 29,9 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 79 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 61 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 157, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,9 %[I 10].
Sur ces 157 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 60 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
49 établissements[Note 12] sont implantés à Verfeil au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 49 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 24,5 % | (9,6 %) |
Construction | 7 | 14,3 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 8 | 16,3 % | (29,7 %) |
Activités immobilières | 3 | 6,1 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 9 | 18,4 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 5 | 10,2 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 5 | 10,2 % | (9,3 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,5 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 49 entreprises implantées à Verfeil), contre 9,6 % au niveau départemental[I 14].
La commune est dans le Rouergue, une petite région agricole située dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 43 | 26 | 20 | 20 |
SAU[Note 15] (ha) | 1 192 | 1 229 | 1 291 | 1 056 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 43 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 26 en 2000 puis à 20 en 2010[40] et enfin à 20 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 53 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[41],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 192 ha en 1988 à 1 056 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 53 ha[40].
![]() |
Blason | D'argent à dix trèfles de sinople posés en orle. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Sur les autres projets Wikimedia :