Démuin est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
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La majorité du sol et du sous-sol de la commune est constitué de pentes de craie blanche ou marneuse. Au sud et au sud-est, des couches argileuses constituent le limon des plateaux mélangé parfois à du silex. Le sol de la vallée de la Luce est constitué d'alluvions tourbeux[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de la commune est celui d'un plateau et traversé par des vallées: celle de la Luce d'est en ouest et d'un vallon sec sud-nord. Le plateau culmine à 104 m d'altitude et s'abaisse en pente douce vers la vallée de la Luce[1].
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversé par la Luce, affluent de la rive droite de l'Avre , affluent de la rive gauche de la Somme. La nappe phréatique est située entre 22 m et 17, 75 en dessous du niveau du sol[1].
Climat
Le climat de la commune est tempéré océanique.
Géographie humaine
Urbanisme et aménagement du territoire
La commune présente un habitat groupé. Détruit pendant la Première Guerre mondiale, le village a été reconstruit durant l'entre-deux-guerres.
Transports et voies de communication
La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens)[2].
À environ 20 km au sud-est d'Amiens par la route, le village peut se rejoindre par l'axe Amiens - Noyon, l'ex-RN 334 (actuelle RD 934) ou par l'autoroute A29[3].
Démuin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (82,8%), forêts (7%), zones urbanisées (4,2%), zones agricoles hétérogènes (3,3%), prairies (2,7%)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Le nom Démuin provient du latin Domnus Audoëni, qui signifie maison de saint Ouen (évêque de Rouen auquel est dédiée l'église du village). Ce nom apparaît en 822 dans les Statuta antiqua abbatiae sancti Petri Corbeiensis d’Adalhard, abbé de Corbie[11].
On trouve également dans les textes anciens: Dommoin (1131), Domuin (1163), Demuyn (1240), Dimuin (1301), Muing (1425), Demmuyn (1567), Doumin (1668), Desmuin (1758)[12].
Histoire
Préhistoire
Des silex taillés datant de la préhistoire ont été découverts à Démuin[13].
Antiquité
Le site de Démuin se trouvait à proximité de la voie romaine reliant Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer); des tuiles à rebord ont été retrouvées sur le territoire communal.
Moyen Âge
Des fouilles archéologiques ont mis au jour un habitat du IXesiècle. Les Satuts de l'abbaye de Corbie, rédigés par Adalard de Corbie indique que la villae Domnus Audoenus était un domaine chargé de la perception des dîmes pour l'abbaye de Corbie.
On retrouve la trace de Démuin en 1131 date à laquelle il est fait mention de la présence d'un miles de Démuin, officier qui dirigeait vraisemblablement la maison du seigneur de Boves. Un dénombrement établi 1168 par Robert Ier de Boves indique que la seigneurie de Démuin relevait de l’avouerie de Corbie dont la famille de Boves avait hérité au XIesiècle en tant que vicomte[11].
Au XIIIesiècle, il existait un hôpital à Démuin.
Jehan de Demuin fut le père, ou le grand-père de Péronne de Demuin, alliée à Witasse de Campremy, dont la fille Marie de Campremy, décédée après 1394, épousa Jean de Clermont-Nesle, puis Guillaume de Bracquemeont.
La première mention de la présence d’un château à Démuin date de 1418[11].
En 1422, les Anglais incendièrent le village et le château. Le village fut par la suite rebâti entièrement dans la vallée.
Époque moderne
En 1526, Lancelot Bournel, seigneur de Démuin, obtint du roi François Ier, la création de deux foires annuelles et d'un marché hebdomadaire.
La seigneurie de Démuin, en 1543, fut acquise par François de Rasse. Elle passa ensuite à Louise d'Oignies, épouse Philibert-Emmanuel d'Ailly, baron de Picquigny, qui la revendit en 1614 à Jean Lucas, échevin d'Amiens et à son frère, Guillain, aumônier du roi[14].
En 1636, lors du siège de Corbie, le roi Louis XIII résida au château de Démuin.
Aux XVIIeetXVIIIesiècles, les habitants s'adonnaient au commerce de laine, à la fabrication de métiers à tisser, à la fabrication de bas[1].
Époque contemporaine
Révolution française, Consulat et Ier Empire
Le château de Démuin fut détruit à la Révolution.
Le 15 octobre 1814, un incendie ravagea le village, seules seize maisons furent épargnées. On ne déplora qu'une seule victime. 600 habitants étaient sans logement et sans ressource, ils trouvèrent refuge dans les communes avoisinantes. Grâce aux quêtes effectuées dans toute la France, le village fut reconstruit l'année suivante.
Deuxième République, Second Empire, guerre de 1870-1871
En 1851, au moment de la moisson, le village fut déclaré en état de siège et subit une occupation militaire à cause d'une révolte.
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, la commune subit l'occupation prussienne après la bataille de Villers-Bretonneux du 27 novembre 1870. L'occupation dura jusqu'au 21 juin 1871. 36 jeunes gens de la commune participèrent aux combats, deux furent tués, un blessé et 20 furent faits prisonniers et détenus en Prusse.
Au printemps 1871, une épidémie de variole et une épizootie sévirent dans la commune, toutes les bêtes à cornes durent être abattues[1].
Fin du XIXesiècle
Le travail à domicile occupe la majeure partie de la population de la commune: fabrication de gilets de laine et de bas pour des entrepreneurs de Marcelcave, Villers-Bretonneux ou Corbie; teinture... Il existait un pressoir à cidre ambulant, une entreprise de battage à vapeur, des scieries, un atelier d’équarrissage pour 150 bêtes qui récupérait les peaux et transformait les chairs en engrais et deux dresseurs de chiens de chasse[1].
Première Guerre mondiale
Le village se trouvait dans la zone des combats ou de leur arrière durant la Première Guerre mondiale[15],[16],[17],[18],[19]. L'état-major du 35ecorps d'armée du général Jacquot est implanté à Démuin en août 1916, lors de la bataille de la Somme[20].
La commune est notamment concernée par la bataille de la Marne (1918) pendant laquelle, le , une nouvelle offensive mécanisée[21],[22],[23] alliée[24], entre Morlancourt et Braches, inflige un revers sans précédent à l'armée allemande: c'est le «jour de deuil de l'armée allemande», selon l'expression du général Ludendorff[25],[26]. Les Canadiens prennent le un obusier lourd de 210 mm Krupp modèle 16 (Langer 21 cmMörser 16) et le retournent contre les Allemands. Il est exposé depuis au parc des Plaines d’Abraham à Québec[27],[28].
L'armée française réalisa pendant le conflit à Démuin et autour un réseau de voies ferrées à écartement de 0,60 m. du système Péchot afin d'alimenter le front.
Entre-deux-guerres
Ruines du village vers 1920.
Le village, totalement détruit à l'issue du conflit[29], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [30].
Le ministère des Régions libérées (MRL) créé après la Première Guerre mondiale, pour remettre en état les régions dévastées et y rétablir une vie économique, rachète après l'Armistice les réseaux militaires à voie de 60 cm ainsi que le matériel qui se trouve sans emploi. Les réseaux sont restructurés par le MRL afin de faciliter leur utilisation civile et leur mise en service progressive. En 1919, le kilométrage exploité passe en moins de six mois de 152 km (au ) à 3 346 km (au ).
Pendant toute cette période, le réseau de Péronne subit de nombreux aménagements pour desservir les localités à reconstruire, il connait son apogée en 1923. Mais dès 1921, des lignes non utilisées sont mises en adjudication pour dépose et des lots de matériel en surplus sont vendus. Le MRL afferme également les lignes ayant un intérêt civil et, fin 1926, le MRL n'a plus d'activité ferroviaire à voie de 60. Une partie du réseau de la Somme est affermée le avec 20 locomotives et 800 wagons, mais, avec le progrès de la reconstruction et le développement de la traction automobile, l'exploitant cesse son exploitation courant 1928.
Plan du réseau exploité par le MRL dans la Somme en 1923.
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[31], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la «communauté de communes du canton de Moreuil», créée par un arrêté préfectoral du et renommée «communauté de communes Avre Luce Moreuil» (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, le préfet de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre-Luce-Moreuil[32], le préfet dévoile en son projet qui prévoit le regroupement «des communautés de communes d’Avre-Luce-Moreuil et du Val-de-Noye», le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[33],[34]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[35] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [36] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [37], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Enseignant retraité Président (1995 → 2001) puis vice président (2014 → 2016) de la CCALM Vice-Président (2017 → 2019) puis président (2019 → ) de la CCALN Réélu pour le mandat 2020-2026[40]
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].
En 2019, la commune comptait 524 habitants[Note 3], en augmentation de 10,08% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
747
748
716
733
771
818
800
808
821
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
794
793
790
756
797
772
744
722
690
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
644
618
572
398
443
432
434
398
416
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
353
360
325
385
419
431
449
452
472
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
471
524
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Équipements municipaux
Afin de satisfaire aux obligations en matière d'accessibilité et de confidentialité, la municipalité a décidé de déplacer la mairie dans les locaux de l’ancienne école. La livraison du nouvel équipement est escomptée en 7[44].
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce, géré par le syndicat intercommunal scolaire (SISCO) qui regroupe en 2014 les communes de Démuin, Domart-sur-la Luce, Thennes, Berteaucourt-lèsThennes, Hangard, Ignaucourt et Aubercourt[45]. En 2017, près de 100 enfants déjeunent à la cantine organisée à la salle des fêtes. Le SISCO a décidé la création d'une salle de restauration scolaire à Démuin, dont l'ouverture est escomptée en 2018[46].
En 2020, la structure accueille 190 enfants de huit communes[47]
Économie
L'activité dominante de la commune reste l'agriculture.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L’église Saint-Ouen[48], détruite pendant la Première Guerre mondiale puis reconstruite.
La chapelle du cimetière: la chapelle primitive a été détruite au cours des combats de la Première Guerre mondiale; elle est reconstruite en 1930[49].
Les vestiges de l'ancien château[50] ont été l'objet d'une campagne de fouilles au début de 2012[51],[52],[53].
Le Toronto cemetery: cimetière militaire édifié en par le 3ebataillon canadien, dit Toronto Regiment. Il contient 101 tombes de soldats canadiens et britanniques et 4 tombes de soldats allemands prisonniers[54].
Le Demuin British cemetery, également édifié par le 3ebataillon canadien en : il contient 43 tombes, dont 40 tombes de soldats canadiens[55].
Le monument aux morts.
La Luce, affluent de l'Avre, passe dans le village.
Calvaire art déco
Monument canadien
Personnalités liées à la commune
Alcius Ledieu, né le à Démuin et mort en 1912 à Lincheux, écrivain d'histoire locale, biographe, conservateur de la bibliothèque d'Abbeville. On lui reconnait une œuvre de près de 160 ouvrages, dont les Contes licencieux de la Picardie.
Héraldique
Blason
De gueules à deux branches d'alisier d'or passées en double sautoir; au chef échiqueté d'argent et d'azur.
Détails
La commune de Démuin a adopté ces armoiries reprises de celles de Philibert-Emmanuel d'Ailly, seigneur du lieu au début du XVIIe siècle, en les modifiant: l'or a remplacé l'argent, en brisure[14]. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Vol. 5: Nouvelles et légendes recueillies à DémuinLire sur Gallica
Vol. 6: Petite grammaire du patois de Démuin, réédité sous le titre de: Petite grammaire du patois picard, Paris: chez H. Welter, 1909, 168 p. Lire sur Gallica
Lithographie Winckler-Hiver, Abbeville, «Plan du territoire de Démuin.», Documents numérisés, fonds Macqueron, sur arkhenum.fr, Bibliothèque municipale d'Abbeville, fin du xixesiècle (consulté le ).
Carte spéciale des régions dévastées: 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Notice géographique et historique sur la commune de Démuin, rédigée par M. Laurent, instituteur, Amiens, Archives départementales de la Somme Lire en ligne
Section photographique de l'armée, «Photo: Demuin. Parc à bétail de corps d'armée», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, sur argonnaute.u-paris10.fr, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Demuin. Tirailleur sénégalais», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, sur argonnaute.u-paris10.fr, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Demuin (près). Tank anglais dit "Whippet"», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, sur argonnaute.u-paris10.fr, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Demuin (près). Tank anglais dit "Whippet"», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, sur argonnaute.u-paris10.fr, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Demuin (près). Cavalerie anglaise», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, sur argonnaute.u-paris10.fr, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Carlos Da Silva, «Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand: Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Le maire de Demuin appelé à succéder à Pierre Boulanger à la tête de la CCALM: Les élus de la Communauté de communes Avre, Luce, Noye (CCALN) se réuniront jeudi 27 juin pour désigner le successeur du regretté Pierre Boulanger. Alain Dovergne, 68 ans, fait l’objet d’un large consensus», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Aude Collina, «Alain Dovergne reste maire de Démuin», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Le maire reste Alain Dovergne, également président de la Communauté de communes Avre Luce Noye».
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Imp. Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4etrimestre 2003, 302p. (ASINB000WR15W8), p.212.
Alain Pouteau, «Toronto cemetery - Démuin», Cimetières militaires canadiens dans la Somme, sur picardie1418.com, Picardie 14-18 - La Grande Guerre aujourd'hui dans l'Aisne, l'Oise et la Somme, (consulté le ).
Alain Pouteau, «British cemetery - Démuin», Cimetières militaires canadiens dans la Somme, sur picardie1418.com, Picardie 14-18 - La Grande Guerre aujourd'hui dans l'Aisne, l'Oise et la Somme, (consulté le ).
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