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Crisolles est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

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Crisolles

La mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Gérard Delanef
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60181
Démographie
Gentilé Crisollois, Crisolloises
Population
municipale
901 hab. (2019 )
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 20″ nord, 3° 01′ 01″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 181 m
Superficie 10,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Crisolles
Géolocalisation sur la carte : France
Crisolles
Géolocalisation sur la carte : Oise
Crisolles
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Crisolles
Liens
Site web http://crisolles.paysnoyonnais.fr/

    Géographie



    Description


    Crisolles est un bourg périurbain du Noyonnais dans l'Oise, situé à km au nord de Noyon, 27 kmau nord-est de Compiègne, 70 km au vord-est de Beauvais, 60 km au sud-est d'Amiens, 14 km au sud de Ham et 31 km de Saint-Quentin.

    Il est desservi par l'ancienne RN 32 (actuelle RD 932), et est traversé par le Sentier de grande randonnée GR 655 ou Via Turonensis.

    L'est de la commune est constitué par une partie du Bois d'Autrecourt.

    En 1850, Louis Graves indiquait que le « 'territoire de cette commune, dont l'étendue est assez considérable, eu égard aux autres communes du canton, est formé de coteaux boisés au midi , et d'une plaine marécageuse vers le nord[1] ».

    Panorama du village depuis les abords de Genvry.
    Panorama du village depuis les abords de Genvry.

    Communes limitrophes


    Muirancourt Guiscard Quesmy
    Bussy N Grandrû
    O    Crisolles    E
    S
    Genvry Salency
    Noyon
    Béhéricourt

    Hydrographie


    La commune est drainée par le ruisseau de Rimbercourt[1], qui se jette dans la Verse, et est donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 739 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].


    Urbanisme



    Typologie


    Crisolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), forêts (35,1 %), zones urbanisées (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), prairies (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].


    Habitat et logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 421, alors qu'il était de 400 en 2013 et de 387 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crisolles en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 74,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Crisolles en 2018.
    Typologie Crisolles[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 93,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,2 7,1 8,2

    Toponymie


    La localité a été désignée comme Grisolles et Chrysoles .(Carisiola)[1].


    Histoire



    Moyen-Âge


    La cure dé Crisolles est donnée avec plusieurs autres à l'Abbaye Saint-Éloi de Noyon, vers 988, par Liudolphe, évêque de Noyon[1].

    Au Moyen Âge, une maison forte et un château, appartenant aux Templiers de la commanderie d'Eterpigny protégeaient le village, qui appartenait en grande part à l'ordre religieux. L'ancienne église, détruite pendant la Première Guerre mondiale, était considérée comme une ancienne chapelle templière[22],[23].


    Époque contemporaine



    XIXe siècle

    En 1846, le maire, M. Gellée, interdit les toitures de chaume[1], sans doute pour lutter contre les incendies.

    En 1850, la commune est propriétaire de la mairie, du presbytère, d'une école, d'un terrain de jeu d'arc, d'une grande place garnie de plantations, ainsi que de portions de terrain à l'état de friche et de marais. On comptait alors sur le territoire communal un moulin à vent ainsi qu'un moulin à eau, et une exploitation considérable de grès[1].

    Une sucrerie est construite à Crisolles par Alphonse Labarre en 1863. Elle employait 75 salariés pendant la saison[24].

    La sucrerie ferme en 1966 et ses installations sont détruites, à l'exception de la maison de maître[24].


    Première Guerre mondiale

    Le kronprinz Frédéric Guillaume, fils du Kaïser, allemand, Guillaume II a eu son quartier général à Crisolles, dans ce qui est actuellement le Bar du Centre[22].

    Crisolles a été le théâtre de durs combats de mars à septembre 1918, qui l'ont fortement endommagée et le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    La maison de maître de la sucrerie est reconstruite en 1924 et est aujourd'hui encore appelée le Manoir de Crisolles[24]

    La commune n'ayant pas les moyens d'élever un monument aux Morts. le maire Albert Poulin, fit appel à la générosité des habitants de Deville-les-Rouen pour aider à ériger le monument actuel[22].

    Articles détaillés : Occupation du Nord-Est de la France par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
    Reconstruction, vers 1930.
    Reconstruction, vers 1930.

    Seconde Guerre mondiale

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, à l'annonce du Débarquement de Normandie, un maquis se constitue dans le Bois des Usages par des résistants noyonnais. Celui-ci est attaqué sans succès par l'occupant le , mais le garde-chasse Gaston Devulder et Maurice Moreau sont tués lors du combat. En représailles, les Allemands procèdent à une rafle à Crisolles, puis à Salency le [27],[28].


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux



    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.


    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

    Articles détaillés : Liste des cantons de l'Oise, Conseil départemental de l'Oise et Liste des conseillers départementaux de l'Oise.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Articles détaillés : Liste des circonscriptions législatives de l'Oise et Liste des députés de l'Oise.

    Intercommunalité


    Crisolles est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.


    Politique locale


    Lors du second tour des électiuons municipales de 2020 où ne se représentait pas le maire sortant Gérard Lecomte, trois listes étaient en lice, celles menées par Gérard Delanef (apolitique mais soutenue par des élus de l'UMP[30]), par l'ancienne première maire-adjointe Annie Lalanne-Kesterman et par Joachim Gomes, qui ont recueilli 235, 234 et 58 voix. Compte tenu de la voix d'écart qui séparaient les deux premières listes et d'une irrégularité dans la tenue de la liste d'émargement, qui a permis à 4 personnes de voter sans être régulièrement des électeurs de la commune, le tribunal administratif d'Amiens[31] puis le Conseil d'État[32] ont annulé le scrutin.

    Au terme des élections qui se sont ensuivies le 5 juillet 2015[33], au terme duquel la liste conduite par Gérard Delanef (SE) a remporté l'élection avec 174 de plus que celle d’Annie Lalanne-Kesteman (SE) et 220 de plus que celle de Gérard Lecomte (SE)[34], Gérard Delanef a été réélu maire de la commune.


    Liste des maires


    stèle en hommage à Marcel Poulin, devant la mairie.
    stèle en hommage à Marcel Poulin, devant la mairie.
    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1880   Félix Gelle    
    1883   Honoré Mazier    
    1885   Théodore Carrière    
    1892   Arsène Gelle    
    1896   Albert Poulin   Propriétaire de la sucrerie, conseiller d'arrondissement
    1933   Marcel Poulin[28]   Propriétaire de la sucrerie, fils du précédent
    Résistant, mort en déportation
    1944   Pierre Lelong    
    1976   Raymond Santer    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1985 juin 1995 Jacques Lagant    
    juin 1995 avril 2014[30] Gérard Lecomte PS Conseiller général de Guiscard (2004 → 2011)
    avril 2014[36] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Gérard Delanef SE Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[37]
    Articles connexes : Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.

    Instances de démocratie participative


    La commune s'est doté d'un conseil municipal des enfants, dont les membres ont participé à la plantation d'arbres près de la maison des associations en 2021[38].


    Politique de développement durable


    Fin 2021, les habitants de Crisolles ont planté près de la Maison des associations 125 arbres, principalement des jeunes arbustes et des arbres fruitiers, dans le cadre de l'appel à projet régional du plan « 1 million d’arbres en Hauts-de-France »[38].


    Équipements et services publics


    Les enfants de la commune sont scolarisés dans le groupe scolaire Raymond Senter, qui compte quatre classes et une centaine d'enfants[39].

    La commune dispose d'une maison des associations[40].


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

    En 2019, la commune comptait 901 habitants[Note 8], en diminution de 12,95 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    376348496530506506513493492
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    483527552572574497474516493
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    546522532391528562487521553
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5985895607688729851 0171 038957
    2019 - - - - - - - -
    901--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 463 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 50,44 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    0,2 
    2,6 
    75-89 ans
    8,7 
    19,6 
    60-74 ans
    17,8 
    23,1 
    45-59 ans
    22,3 
    19,0 
    30-44 ans
    19,5 
    15,4 
    15-29 ans
    15,2 
    20,0 
    0-14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Article connexe : Liste de monuments aux morts français surmontés d'un coq.

    Personnalités liées à la commune


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    Héraldique


    Blason
    D'argent, à l'arc de gueule posé en barre ; au renard rampant d'azur, posé en bande et brochant sur l'arc ; à la bordure d'azur, chargée : en chef d'une croix pattée d'or accompagnée aux angles de deux besants d'argent ; sur les flancs deux calices d'or ; en pointe d'une billette couchée d'argent, accompagnée sur les flancs de deux autres besants du même[50]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Processions de géants


    Article détaillé : Géants de processions et de cortèges.

    Voir aussi


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références



    Site de l'Insee


    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 40-42.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Crisolles et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Crisolles et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Histoire de Crisolles », sur http://crisolles.paysnoyonnais.fr (consulté le ).
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    30. « Gérard Delanef vise la mairie de Crisolles », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Gérard Delanef part donc au combat pour succéder au maire socialiste Gérard Lecomte, en poste depuis 1995 et qui ne se représentera pas. Bien que théoriquement apolitique, la liste Réanimons Crisolles a reçu le soutien, sur sa page Facebook, d'élus de droite comme l'ancien député UMP, François-Michel Gonnot, le conseiller général UMP de Compiègne-Nord, Eric de Valroger et le responsable UMP du Noyonnais, Alexandre Cavé ».
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    48. Alexis Bisson, « Oise : fermé depuis deux ans, le parc Carisiolas bientôt reconverti... en centre de ball-trap : L’ancien parc de loisirs médiéval de Crisolles, en proie à des difficultés financières, avait fermé ses portes début 2020. Le site de 13 hectares a été racheté par un entrepreneur habitant la commune et passionné de tir aux plateau », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « À Crisolles, le centre de ball-trap prêt à dégainer dans l’ancien parc Carisiolas : Un couple d’entrepreneurs compte ouvrir le mois prochain son centre de tir de loisir dans le site boisé de l’ancien parc d’attractions médiévales de Crisolles, après d’importants travaux depuis l’été 2021 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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    [de] Crisolles

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    [en] Crisolles

    Crisolles (French pronunciation: ​[kʁizɔl]) is a commune in the Oise department in northern France.
    - [fr] Crisolles



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