Cornillon est une commune française située dans le nord-est du département du Gard, en région Occitanie.
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Cornillon | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien |
Maire Mandat |
Gilles Delalieu 2020-2026 |
Code postal | 30630 |
Code commune | 30096 |
Démographie | |
Population municipale |
949 hab. (2019 ![]() |
Densité | 61 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 13′ 33″ nord, 4° 29′ 15″ est |
Altitude | Min. 58 m Max. 360 m |
Superficie | 15,58 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bagnols-sur-Cèze (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-Saint-Esprit |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | cornillon.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Cèze, le ruisseau de Rodières et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (la « forêt de Valbonne », « la Cèze et ses gorges » et les « garrigues de Lussan ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cornillon est une commune rurale qui compte 949 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze. Ses habitants sont appelés les Cornillonois ou Cornillonoises.
La commune se trouve en bordure de la Cèze, au nord-est du département du Gard.
Saint-André-de-Roquepertuis | Issirac | Saint-Christol-de-Rodières |
Goudargues | ![]() |
Saint-Laurent-de-Carnols |
Verfeuil | La Roque-sur-Cèze |
Le site de Cornillon se situe sur un piton rocheux, à 80 m environ. La place du Barry surplombe une très grande partie de la vallée de la Cèze.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montclus », sur la commune de Montclus, mise en service en 1978[6] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 917,1 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 35 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,5 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[12].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :
et un au titre de la directive oiseaux[14] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[18] : la « rivière de la Cèze en amont de la Roque-sur-Cèze » (96 ha), couvrant 5 communes du département[19] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[18] :
Cornillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,8 %), cultures permanentes (43,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (1,8 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Cornillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Cèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1991, 1994, 1997, 1998 et 2002[27],[25].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 485 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 485 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983[25].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sénéchas, un ouvrage de classe A[Note 9] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cornillon est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].
Occitan Cournihoun, Cournilhou, du roman Cornilhon, du bas latin Cornillo, Cornilio[34].
L'histoire de Cornillon est liée à celle de son château dont les origines remontent au XIIIe siècle. Les ruines du château et les maisons anciennes qui constituent le village témoignent encore de cette histoire riche. Au cours du XIVe siècle, une famille originaire du Limousin, devint propriétaire du château. Les Roger de Beaufort, déjà fieffés à Rosiers-d'Égletons dans la vicomté de Ventadour, grâce à la munificence de la papauté d'Avignon imposèrent leurs armoiries d’argent à une bande d’azur accolée de six roses de gueules en ourlé sur Cornillon et la vallée de la Cèze[35]. Avec l'aide financière de son frère Clément VI, Guillaume II Roger, comte de Beaufort acheta entre 1342 et 1352, les seigneuries de Cornillon, Vénéjan, de Portes et la Baronnie d’Anduze. La chapelle de Cornillon, dédiée à Saint-Martial de Limoges, fut transformée en une véritable salle au trésor pour abriter les richesses de Clément VI. On y trouvait une partie de sa vaisselle, dont soixante-six pièces en argent doré et deux-cent quarante et une pièces en argent blanc. S’y ajoutaient, selon l'inventaire publié par Jean-Pierre Papon, « des crucifix ornés de perles et pierres précieuses, des croix pectorales en or et en argent, des dizaines d’anneaux épiscopaux et pontificaux, deux reliquaires en argent doré dont l'un contient un morceau de la croix de Saint-André et l'autre des ossements de Saint-Thomas ». Il y avait aussi des patènes en or, des burettes en argent, des bagues et anneaux ornés de rubis, de saphirs et de pierres précieuses, des gemmes et des perles, des vêtements sacerdotaux, des vases sacrés, et surtout « une horloge ornée de pour pulser les heures » ainsi qu'une somme équivalent en argent à 139 970 livres[35].
Guillaume II testa le en son château de Cornillon, en faveur de son dernier fils Raymond de Beaufort, en lui donnant la moitié de la vicomté de Valernes, la seigneurie de Saint-Rémy-de-Provence, les châteaux de Marguerittes et de Cornillon en y ajoutant les mas de Saint-Mabille et de Vérune, propriétés viticoles sises sur ce dernier fief[35]. Une telle richesse ne pouvait qu'attirer les convoitises. Au début de 1382, les Tuchins, paysans pauvres et armés venus de la Haute Auvergne, descendirent vers la vallée du Rhône. Ils s'emparèrent, entre autres, du château de Cornillon et de son trésor. Guillaume III Roger de Beaufort, Lieutenant des armes du Sénéchal de Beaucaire, organisa la répression. Il commença par semer la terreur avant de pacifier le pays en expulsant les chefs tuchins. La paix fut signée en février 1383[35]. Raymond, le dernier demi-frère de Guillaume III, vicomte de Valernes et seigneur de Cornillon décéda en 1420. Sans enfant, il lègue une partie de ses fiefs aux fils d'un autre demi-frère, Marquès/Marquis Roger de Beaufort, marquis de Canilhac, un des fils cadets de Guillaume III. C’est à son cadet Louis de Canilhac que fut attribué Cornillon. La pierre tombale de Raymond de Beaufort où l’on voit gravée son effigie en pied, se trouve à Avignon, au musée du Petit Palais. Elle provient de l’église Saint-Martial d’Avignon où il avait été inhumé[35].
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la seigneurie de Cornillon appartenait à la famille de Sibert[36].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
avant 1907 | ? | Ulysse Lambert | Conseiller d'arrondissement (Canton de Rémuzat) | |
1947 | 1961 | André Bergeon | ||
1961 | 1965 | André Colombet | ||
1965 | 1974 | Aimé Couderc | ||
1974 | 1979 | Lucienne Bouletin | ||
1979 | 1995 | Marcel Pradier | ||
1995 | En cours | Gérard Castor | SE | Agriculteur retraité |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2019, la commune comptait 949 habitants[Note 10], en augmentation de 1,93 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
750 | 721 | 731 | 919 | 977 | 963 | 950 | 894 | 938 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
936 | 981 | 930 | 815 | 801 | 747 | 731 | 741 | 672 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
614 | 616 | 579 | 538 | 552 | 556 | 551 | 478 | 460 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
442 | 432 | 448 | 538 | 609 | 689 | 847 | 937 | 922 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
949 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 362 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 826 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 460 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 7,8 % | 8,4 % | 10,9 % |
Département[I 7] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 545 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2 % d'actifs (63,2 % ayant un emploi et 10,9 % de chômeurs) et 25,8 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 317 emplois en 2018, contre 281 en 2013 et 242 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 348, soit un indicateur de concentration d'emploi de 91,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,7 %[I 10].
Sur ces 348 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 133 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 82,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
86 établissements[Note 13] sont implantés à Cornillon au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 86 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 4 | 4,7 % | (7,9 %) |
Construction | 16 | 18,6 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 20 | 23,3 % | (30 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2,3 % | (3 %) |
Activités immobilières | 10 | 11,6 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 9 | 10,5 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 17 | 19,8 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 8 | 9,3 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,3 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 86 entreprises implantées à Cornillon), contre 30 % au niveau départemental[I 14].
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41] :
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 59 | 44 | 31 | 21 |
SAU[Note 16] (ha) | 569 | 643 | 605 | 570 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 59 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 44 en 2000 puis à 31 en 2010[44] et enfin à 21 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[45],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 569 ha en 1988 à 570 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à 27 ha[44].
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Blason | De gueules à la fasce losangée d'argent et de gueules[36]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |