Castéra-Verduzan (en gascon : Lo Casterar e Verdusan), est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Auch, un territoire céréalier et viticole qui s'est également constitué en pays au sens aménagement du territoire en 2003.
Pour les articles homonymes, voir Castéra.
Castéra-Verduzan | |
![]() Le village avec son église Saint-Blaise en 2021. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gers |
Arrondissement | Auch |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne |
Maire Mandat |
Claude Nef 2020-2026 |
Code postal | 32410 |
Code commune | 32083 |
Démographie | |
Gentilé | Casterois, Casteroises |
Population municipale |
1 006 hab. (2019 ![]() |
Densité | 51 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 48′ 19″ nord, 0° 25′ 53″ est |
Altitude | 119 m Min. 97 m Max. 221 m |
Superficie | 19,82 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Auch (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Baïse-Armagnac |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan et par divers autres petits cours d'eau.
Castéra-Verduzan est une commune rurale qui compte 1 006 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Castérois ou Castéroises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Blaise, inscrite en 1927, et la croix de cimetière de Verduzan, inscrite en 1927.
Castéra-Verduzan est une commune située en Gascogne entre Condom et Auch.
Castéra-Verduzan est limitrophe de sept autres communes.
Beaucaire | Ayguetinte | Larroque-Saint-Sernin |
Rozès | ![]() |
Cézan |
Bonas | Jegun |
La superficie de la commune est de 1 982 hectares ; son altitude varie de 97 à 221 mètres[2].
Castéra-Verduzan se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Accès avec la RD 930 et était sur l'ancienne ligne SNCF de Condom à Castéra-Verduzan.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Baïse, l'Auloue, la Loustère, le ruisseau de Lahontan, un bras de l'Auloue, un bras de l'Auloue, le ruisseau de Masca, le ruisseau de Mounouat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[5],[Carte 1].
La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[6].
L'Auloue, d'une longueur totale de 45,4 km, prend sa source dans la commune de L'Isle-de-Noé et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Baïse à Valence-sur-Baïse, après avoir traversé 16 communes[7].
La Loustère, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de Castin et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Auloue sur le territoire communal, après avoir traversé 5 communes[8].
Le ruisseau de Lahontan, d'une longueur totale de 11,6 km, prend sa source dans la commune de Castillon-Massas et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Loustère à Jegun, après avoir traversé 5 communes[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucaire », sur la commune de Beaucaire, mise en service en 1973[15] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 777,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 22 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[19] à 13,5 °C pour 1991-2020[20].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].
Castéra-Verduzan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[I 1],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), zones agricoles hétérogènes (43,2 %), prairies (3,9 %), zones urbanisées (2,9 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Castéra-Verduzan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse, l'Auloue, la Loustère et le ruisseau de Lahontan. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009, 2013 et 2020[30],[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 489 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 489 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 1998, 2002, 2003, 2011, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Castéra-Verduzan est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[33].
L'origine du nom du village est né de la fusion de plusieurs entités et notamment de la localité de Verduzan et du hameau de Castéra. L'ordonnance royale du fonde la nouvelle commune regroupant Verduzan, Lacavalerie et Castéra-Vivent[34] et de ce fait son nom actuel.
Les thermes sont connues depuis les Romains. La station thermale est fondée sous Louis XV et fusionne les deux hameaux.
L'ordonnance royale du fonde la nouvelle commune regroupant Verduzan, Lacavalerie et Castéra-Vivent[34]. C’est la seule création de village neuf depuis le Moyen-Âge dans le Gers[35].
La ville est très éprouvée par la crue de l'Auloue le . Ce drame, commémoré notamment par un odonyme local, la place du , donne une nouvelle jeunesse à la station thermale.
À l'origine de la cité, il y a trois villages construits sur les deux collines sculptées par la rivière Auloue. À l'ouest Verduzan et son château lequel a complètement disparu. Au sud-est, sur un coteau faisant face à Verduzan, s'élevait le hameau de Castéra, à l'église en ruine. Et au nord, le hameau de La claverie[34] qui fût une commanderie de l'ordre du Temple puis une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dite de La Cavalerie en Armagnac[36].
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[37],[38].
Commune faisant partie de l'arrondissement d'Auch de la communauté d'agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne et du canton de Baïse-Armagnac (avant le redécoupage départemental de 2014, Castéra-Verduzan faisait partie de l'ex-canton de Valence-sur-Baïse).
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1922 | 1941 | Marius Philip | SFIO | Conseiller d'arrondissement (1937-1940) |
1945 | 1965 | Marius Philip | SFIO | Conseiller d'arrondissement (1937-1940) |
1965 | 1995 | Aubert Garcia | PS | Sénateur et Médecin |
1995 | 2008 | Pierre Espiet | PS | Cardiologue |
2008 | 2014 | Jean-Michel Garcia | PS | Médecin |
2014 | 2020 | Pierre Espiet | PS | Cardiologue |
2020 | En cours | Claude Nef | Entrepreneur | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 1 006 habitants[Note 6], en augmentation de 5,34 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
502 | 525 | 560 | 578 | 1 027 | 1 070 | 1 328 | 1 176 | 1 064 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 080 | 1 080 | 1 014 | 1 062 | 1 056 | 1 027 | 904 | 875 | 860 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
858 | 893 | 786 | 784 | 766 | 765 | 761 | 790 | 794 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 | 2015 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
738 | 719 | 753 | 794 | 830 | 901 | 906 | 949 | 990 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 006 | - | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[43] | 1975[43] | 1982[43] | 1990[43] | 1999[43] | 2006[44] | 2009[45] | 2013[46] |
Rang de la commune dans le département | 38 | 37 | 37 | 33 | 34 | 33 | 34 | 34 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Castéra-Verduzan fait partie de l'académie de Toulouse.
Médiathèque,
Base de plein air et de loisirs, baignade, football, basket-ball, randonnée pédestre, chasse, pétanque, à proximité de l'hippodrome de Baron[47],
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 437 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 924 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 160 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,3 % | 6,3 % | 9,3 % |
Département[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 486 personnes, parmi lesquelles on compte 80,6 % d'actifs (71,3 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 19,4 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 297 emplois en 2018, contre 337 en 2013 et 283 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 370, soit un indicateur de concentration d'emploi de 80,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,8 %[I 10].
Sur ces 370 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 135 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
93 établissements[Note 9] sont implantés à Castéra-Verduzan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 93 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 9 | 9,7 % | (12,3 %) |
Construction | 8 | 8,6 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 24 | 25,8 % | (27,7 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,1 % | (3,5 %) |
Activités immobilières | 8 | 8,6 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 13 | 14 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 14 | 15,1 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 16 | 17,2 % | (8,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,8 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 93 entreprises implantées à Castéra-Verduzan), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48] :
La commune est dans le Ténarèze, une petite région agricole occupant le centre du département du Gers, faisant transition entre lʼAstarac “pyrénéen”, dont elle est originaire et dont elle prolonge et atténue le modelé, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 39 | 27 | 22 | 21 |
SAU[Note 12] (ha) | 1 441 | 1 312 | 1 345 | 1 241 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 27 en 2000 puis à 22 en 2010[51] et enfin à 21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[52],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 441 ha en 1988 à 1 241 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 37 à 59 ha[51].
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Son blasonnement est : d'argent à l'écusson de sable chargé de deux besants du champ rangés en pal et accompagné de deux branches de laurier au naturel les pieds passés en sautoir. |
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Figure | Nom et blasonnement |
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Famille Verduzan
D'azur à deux besant d'argent rangés en pal. |
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