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Bunus est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Bunus

L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Éric Ithurralde
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64150
Démographie
Gentilé Bunuztar
Population
municipale
131 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 39″ nord, 1° 04′ 07″ ouest
Altitude Min. 138 m
Max. 531 m
Superficie 6,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Bunus
Géolocalisation sur la carte : France
Bunus
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Bunus
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bunus

    Le gentilé est Bunuztar[1],[2].


    Géographie



    Localisation


    La commune de Bunus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 106 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 65 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 21 km de Saint-Palais[6], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Saint-Just-Ibarre (2,1 km), Ibarrolle (2,3 km), Larceveau-Arros-Cibits (3,3 km), Juxue (3,5 km), Ostabat-Asme (5,1 km), Hosta (5,9 km), Arhansus (6,0 km), Gamarthe (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bunus fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays d’Ostabarret (Oztibarre), à l’est de ce territoire[12].

    Communes limitrophes de Bunus[13]
    Larceveau-Arros-Cibits Juxue
    Ibarrolle Saint-Just-Ibarre

    Géologie, sismicité


    La région est une région de flyschs du Crétacé supérieur, très épais (plusieurs kilomètres) et à fort pendage avec des dépôts alluvionnaires (sables et argiles surmontés de limons) du quaternaire[14] le long de la Bidouze[Carte 1],[Carte 2]. Ce type de terrain est peu propice aux captages d'eau, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sources Zahagui et Hastokia à Hosta et Ur Belcha à Musculdy[15] dépendantes du massif karstique des Arbailles.

    La région est située en zone sismique 4[16] correspondant à un risque moyen. Les évènements récents (depuis 1980) les plus importants se sont produits en 2000, 2002 et 2004. Situés à 2 et 5 km de profondeur, leur magnitude était ML=2,0[17], donc trop faibles pour être ressentis.


    Hydrographie


    Réseaux hydrographique et routier de Bunus.
    Réseaux hydrographique et routier de Bunus.

    La commune est drainée par la Bidouze, Hosta ur Handia, le ruisseau de Laminosine, Babatzeko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[18],[Carte 3].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Guiche, après avoir traversé 26 communes[19].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 559 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[25] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 47 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[29], à 14,3 °C pour 1981-2010[30], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[31].


    Milieux naturels et biodiversité



    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[33], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[34],[Carte 4].


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 8] sont recensées sur la commune[35],[Carte 5] :


    Urbanisme



    Typologie


    Bunus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[38],[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (47,5 %), zones agricoles hétérogènes (29,7 %), forêts (16,4 %), prairies (6,3 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].


    Lieux-dits et hameaux



    Voies de communication et transports



    Histoire

    La D 918 entre Larceveau et Mauléon s'est appelée RD 2 jusqu'en 1933. Devenue nationale, elle a été déclassée dans les années 70.

    Le tronçon Cibits - col d'Osquich a été entièrement modifié à la fin du XVIIIe siècle, en particulier au niveau de Bunus[44].

    En 1881 une ligne de tramway à voie métrique est envisagée entre Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port avec un embranchement à Larceveau vers Bunus et Saint-Just[45]. En 1912 la ligne est déclarée d'intérêt public et les expropriations commencent en 1914. La première guerre mondiale provoquera l'arrêt du projet.


    Actuellement

    Saint-Just-Ibarre est desservie par la route départementale D 918 Musculdy-Larceveau, par la D 120 vers Ibarrolle, ainsi que par la D168 vers Hosta.

    La gare TER la plus proche est celle de Saint-Jean-Pied-de-Port à 20,9 km (ligne Saint-Jean-Pied-de-Port - Bayonne). La gare TGV la plus proche est celle d'Orthez à 56,4 km (ligne Tarbes - Paris Montparnasse).

    L'aéroport le plus proche est celui de Biarritz-Pays Basque à 65,3 km.

    93 % des ménages ont au moins une voiture et 54,4 % en ont deux ou plus en 2018[46]. Les transports utilisés en 2018 pour se rendre au travail sont les suivants[46] :

    Moyen de déplacement
    pas de déplacement25,9 %
    marche, roller, patinette1,7 %
    vélo (y compris VAE)1,7 %
    2 roues motorisées0
    voiture70,7 %
    transport en commun0

    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Bunus est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[47]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[48].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009 et 2014[49],[47].

    Bunus est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[50]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[51],[52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bunus.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bunus.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 96,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[54].


    Toponymie



    Attestations anciennes


    Le toponyme Bunus est documenté sous la forme[55] Bunes (1365) ainsi que sous les formes[56] Bunos (1439, notaires de Labastide-Villefranche[57]) et Bunuz (1621, Martin Biscay[58]).


    Étymologie


    Bunus a suivi l'évolution d'un ancien Bun-oz, Munhoz[59] qui signifie simplement « hauteurs » ou « collines »[60] (de la racine basque bun-/mun- « colline » ; voir aussi le village de Bun).


    Graphie basque


    Son nom basque actuel est Bunuze[1],[2].


    Histoire


    La Première Guerre mondiale entraîne une hécatombe d'hommes jeunes puisque 8 d'entre eux meurent. Cela représente environ un quart des hommes de la tranche 21-49 ans susceptibles de porter une arme[61].


    Personnalités liées à la commune



    Politique et administration



    Administration


    Liste des maires successifs[62]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1838 1840 Dindaburu[63]   révoqué par décision de justice
    1840 1845 Guillaume Astabie[64]    
    1846 1849 Dindaburu    
    1870 1876 Idiart    
    1876 1878 Espellet    
    1878 1880 Indaburu    
    1881 1887 Espellet    
    1888 1889 Etcheberry[65]    
    1900 1913 Espellet[66]    
    1995 2001 Laurent Ithurralde   commerçant
    2001 2008 Jean-Marie Astabie DVD agriculteur
    2008 En cours Eric Ithurralde   commerçant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité


    Bunus appartient à six structures intercommunales[67] :


    Population et société



    Démographie


    Le recensement[68] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[69], comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[70], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Bunus la présence de 8 feux, le second de 39 feux.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[71]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[72].

    En 2019, la commune comptait 131 habitants[Note 11], en diminution de 14,38 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    360180308292390398352377317
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    290272306295285238224217229
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    263237252202226213204193170
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    189189173162151139143139152
    2015 2019 - - - - - - -
    134131-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[73] puis Insee à partir de 2006[74].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Logement


    En 2018 les 74 résidences se partagent en 61 maisons (81,6%) et 14 appartements (18,4%). Le nombre moyen de pièces est de 6,0 pour les maisons et 4,0 pour les appartements[46].

    Logements en 2018
    nombrepourcentage
    résidences74---
    principales5574,3
    secondaires1418,9
    vacantes56,8
    Date de construction des résidences principales
    nombrepourcentage
    avant 19191732,1
    1919-1945916,1
    1946-1970916,1
    1971-1990610,7
    1991-200558,9
    2006-2015916,1

    Emploi et revenus


    En 2019 le revenu médian par unité de consommation est de 18 850 [46] contre 22 040  pour l'ensemble des Français[75].

    En 2018 les résidents occupent 69 emplois dont 56 sont situés sur la commune. Ils se répartissent de la façon suivante[46] :

    Type d'emploi
    salarié30fonction publique, CDI29
    CDD1
    Emploi aidé---
    apprentissage, stage---
    non-salarié26indépendant14
    employeur13
    aide familial---

    Enseignement


    La commune dispose d'une école élémentaire publique[76].


    Économie


    L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.


    Associations, animation


    L'association Supastera organise chaque année à la fin août « les entretiens d’Inxauseta », manifestation consacrée au logement en France à laquelle participent les personnalités françaises du domaine, professionnels et politiques[77].


    Culture locale et patrimoine


    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Bunus est le bas-navarrais oriental.

    Structure du village

    Le village est scindé en deux par la départementale D 918. D'un côté, l'on trouve le bâtiment de l'école communale qui abrite également la mairie, des habitations, des champs de maïs et le bourg du village avec son fronton et son église entourée du cimetière. De l'autre côté de la route, se trouvent la boulangerie et le petit café du village. Ce côté regroupe également différents corps d'artistes-artisans : un menuisier et un potier. Le village est rythmé par la vie agricole : troupeaux de brebis et de vaches font partie intégrante du paysage.


    Patrimoine civil



    Patrimoine religieux


    L'église Saint-Jean-Baptiste[79] date du début du XVIIIe siècle.


    Équipements


    enseignement

    La commune dispose d'une école primaire.


    Pour approfondir



    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[32].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. « Alluvions de l'Adour et de l'Echez, l'Arros, la Bidouze et la Nive »
    2. « Carte géologique de France », sur Géoportail
    3. « Carte hydrographique de Bunus » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    4. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bunus », sur www.geoportail.gouv.fr.
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Bunus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    8. « Carte IGN », sur Géoportail
    9. « Cadastre napoléonien : Bunus »

    Références


    1. Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, 1926
    2. - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune de Bunus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Bunus et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Bunus et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Bunus et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches de Bunus », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Nafarroa Beherea : toponymes (noms de lieux) sur le site de l'Académie de la langue basque.
    13. Carte IGN sous Géoportail
    14. C. Garnier, « Avis technique dans le cadre d’une demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle par remontée de nappe »
    15. « Qualité de l'eau sur l'unité de distribution : région de l'Ostabarret. Synthèse de l'année 2018 », sur Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine
    16. « IRSN : le zonage sismique de la France »
    17. « Nouvelle Aquitaine : mon environnement »
    18. « Fiche communale de Bunus », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    19. Sandre, « la Bidouze ».
    20. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    На других языках


    [en] Bunus

    Bunus (Basque: Bunuze)[3] is a commune in the Pyrénées-Atlantiques department in southwestern France.
    - [fr] Bunus

    [ru] Бюнюс

    Бюню́с (фр. Bunus) — коммуна во Франции, находится в регионе Новая Аквитания. Департамент — Атлантические Пиренеи. Входит в состав кантона Пеи-де-Бидаш, Амикюз и Остибар. Округ коммуны — Байонна.



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